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Commentaire de Vera Mikhaïlichenko

sur Dans la tête de Larossi Abballa : en mission contre un complot imaginaire anti-islam


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Vera Mikhaïlichenko Vera Mikhaïlichenko 17 juin 2016 14:50

@Pilule Rouge
Vous pouvez trouver via internet des dizaines, des centaines de gens qui défendent tout un tas de visions du monde différentes et contradictoires. Je me doute bien qu’un certain nombre de gens défendent l’idée dont vous parlez. Cela ne prouve cependant rien. Désolée, mais la plupart des noms que vous citez ne m’inspirent aucune confiance. Ce sont des militants peu soucieux de vérité.

Et arrêtez de répéter dans tous vos posts que votre contradicteur est « très mal informé »... Cela vous rassure peut-être, mais c’est pénible, et vous empêche de voir vos propres carences.

Une dernière fois (aussi) : cessez de me faire dire des choses que je n’ai pas écrites, vous êtes insupportable. Où est l’amalgame dans mon article entre terroristes et conspirationnistes ? Nulle part. J’ai seulement fait remarquer que le fanatique qui a tué était aussi conspirationniste, ce qui n’a pas arrangé son état d’esprit. Il s’agit d’un cas particulier. Je n’ai fait aucune généralisation.

Vous voyez, vos remarques illustrent parfaitement votre manque de finesse, qui fait que petit à petit vous déformez plein d’informations que vous lisez ou visionnez. Si je ne vous reprenais pas, vous pourriez avoir lu mon article et en sortir avec la conviction que Vera amalgame les terroristes et les conspirationnistes... et de fil en aiguille, vous vous construiriez une fausse image de la réalité. Si vous aviez jeté un œil sur mes précédents articles, vous n’auriez pas pu faire cette erreur de jugement (puisque j’y dénonce la chasse aux conspis). Le problème, c’est que lors de vos découvertes en ligne, il n’y a pas partout une Vera pour vous tenir la main et corriger vos erreurs d’interprétation. D’où de gros dégâts en fin de parcours.

Enfin, me dire que je suis pétrie de certitudes, alors que c’est précisément le reproche que je vous fais, et que j’ai dit moi-même que nous (moi compris) ne savions que très peu de choses... le procédé rhétorique est franchement grossier.


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