Chalut la compagnie, hum !!! , celui qui pour une raison x, sûrement un fou, a inclut la mort, sa mort, la fin , sa fin dans le programme de la pensée, ce qui nécessite au minimum qu’il y ait eu un état visionnaire à la base, et bien vit cela comme le reste.Comment vit il le reste ? cherche et tu trouveras ou cela se révelera..peut être !

Si ce n’est pas le cas, bien sur c’est coton, panique à tous les étages, fuite du réel, ce qui est impossible , trouillomètre à zéro etc peur bien sur, remarquons que le mot peur ne parle pas du tout, un effet du hasard ? je ne crois pas, car c’est LA clé majeure du maître pour nous parquer..même chose pour le berger et son troupeau, il y a cependant une différence majeure entre les autres animaux et les humains qui est que les autres animaux sauf ceux que nous avons nous même totalement dégénérés comme nous à notre image, l’esclave aime bien avoir aussi son esclave, , les autres animaux genre moutons, vaches etc ne sont pas assez con pour aller se mettre sous la dictature d’un berger..

Bon çà à l’air de marcher encore une fois..

Je dis cela car une vision profonde me montra il y a 13 mois ce que je suis en train de dire ici...et bien c’est libérateur, ah merde vivre ce qui est fait serait libérateur ? oui mais seulement si c’est profond donc au delà de la pensée.....survivre dans la peur est invivable pour moi , comme tous expert en peur, j’en vois les conséquences perverses sur ce qui devient une non vie.. mais ceci reste le choix de chacun comme celui de refuser comme 95% des humains la coopération, le partage équitable etc et ceci volontairement, des nécessites vitales ,entérinant par là même , tout ce que nous détestons et cependant construisons jours après jours.comme .les guerres qui seront là inévitablement comme la pauvreté comme les destructions de pays, comme les crimes de masse, comme ce maître dément et mauvais etc et oui ce monde est issu de nos choix à tous que les voleurs qui nous mènent en bateau font bien sur passer pour un état naturel des choses, s’ auto pardonnant ainsi de leurs crimes et comme disait Étienne de la Boétie il y a 500 ans alors âgé de 17-18 ans : Mais ils ne font guère mieux ceux d’aujourd’hui qui, avant de commettre leurs crimes les plus graves, les font toujours précéder de quelques jolis discours sur le bien public et le soulagement des malheureux

Bon et alors ? Rien je parlais c’est tout..