@Luniterre
La prise de pouvoir personnel, voilà ce qui peut être interdit.
Sauf que cela implique de suivre la logique précisément et non son imaginaire.
Et la réponse passe par des règles ou lois communes, or, la loi étant toujours celle du plus fort, cela implique que la force soit mutualisée au niveau le plus élevé, c’est à dire, entre les peuples des nations. Exactement comme cela se fait à l’intérieur d’une nation, mais où il y a la justification de la prise de pouvoir personnel par la guerre et menace de guerre perpétuelle, parce que cela nécessite des chefs de guerres et la soumission du peuple avec interdiction d’opposition intérieure.
Pourquoi croyez vous que les dirigeants des usa, tout bords confondues attisent toujours la menace de guerre et l’état d’urgence permanent. Leur stratégie consiste à « jouer »" au pompier pyromane. Eteindre ou étouffer un conflit quand un autre conflit éclate.
votre utopie consiste à croire qu’on peut faire d’un prédateur un végétarien, on peut seulement le contrôler et détourner le prédateur vers une proie qui ne consiste pas à manger le temps de vie de son prochain par la violence pour imposer un impôt via la propriété privé des moyens de productions collectifs et la division des végétariens en communautés qu’on pousse à se battre selon l’intérêt qu’on y trouve et toujours pour s’assurer de sa position dominante dont la seule justification est un monde avec des peuples en menace ou état de guerre. Mais en imposant au prédateur de servir la collectivité en justifiant son profit et prise d’intérêt par son apport à atteindre le but collectif.
Dans 1984, Orwell explique que c’est par la menace permanente des autres blocs qu’il faut se soumettre au chef et interdire toute opposition intérieure. Et la limite orwellienne du système capitaliste fondée sur la domination d’un petit nombre, c’est qu’il existe au moins deux blocs ou empires que se font face. Mais il peut en exister autant que l’on veut au delà. Il y a donc une limite basse, mais pour la limite haute, elle dépend de l’environnement.
L’idéal capitaliste d’un monde avec le petit nombre globalisé et le grand nombre divisé, se heurte à la recherche du meilleur taux de profit pour ce petit nombre face à la volonté du grand nombre d’améliorer ses propres conditions de vies et qui dont, voit d’un très mauvais oeil ce petit nombre.
Conséquence, la nécessité d’attiser la menace de guerre et de provoquer des conflits pour dissiper autant que possible la colère du peuple. Tout en alimentant en détournant la vindicte populaire contre un bouc émissaire qu’est l’immigré, dont on alimente la source. Etc...
Ce sont des faits, observables tout le long de l’histoire humaine, car fondamentalement, il n’y a pas de différence avec l’ancien régime nobiliaire, seule la forme à changé.
Bonne soirée à vous aussi.