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Commentaire de Hervé Hum

sur Dans quelle cohérence allons-nous vivre ?


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Hervé Hum Hervé Hum 5 février 15:54

@Luniterre

Vous, vous n’avez toujours pas compris que je ne raisonne pas sur la base du système actuel, mais sur la base du système que je soutiens et qui rend absurde votre remarque.

L’outil de production étant collectivisé pour tout ce qui se fait et s’échange en commun, j’en ait rien à foutre de votre « élargissement du capital industriel des propriétaires entre eux » puisqu’ils perdent le droit de propriété qui est le devoir de non propriété des autres, pour établir une économie basé sur la recherche d’équilibre entre droits et devoirs et qui est de mon point de vue la définition de la responsabilité .

ainsi, toute production robotisé qui ne fait pas entrer de travail humain, réduit d’autant le coût et donc le prix de vente du bien produit. Cela ne change pas, mais ce qui change, c’est que le profit en terme de gain de productivité est mutualisé.

toutefois, vous pouvez bien disposer des moyens de production automatisé, reste toujours la disponibilité de la ressource et gestion des matières 1ères. Ce qui pose alors ses propres conditions de gestion d’accès et donc, impacte le prix de vente. Malheureusement, reste à inventer le moyen de production infinie sans contraintes, sans conséquences désastreuses.

Le fait est que seul le temps de vie humain à de la valeur monétaire et le but de la majorité des humains n’étant pas de faire la guerre à son ou ses voisins, mais de vivre en paix relationnelles et qui implique des lois les plus équitables possibles. De mettre la coopération devant la compétition et de tirer son intérêt, profit particulier via son utilité à l’accomplissement de la volonté générale. Mais en tenant toujours compte des effets d’échelles liées aux conditions locales.

Ainsi, si vous décrétez collectivement que la première mission de la production est de satisfaire les besoins primaires de toute la collectivité, c’est que vous pouvez passer aux besoins dits secondaires une fois la mission première accomplie. Alors, les productions se font en parallèle, mais c’est la seconde qui sert de variable d’ajustement lorsque nécessaire.

Mais cela peut fonctionner que sous condition de transparence totale du système dans tout son processus de production et d’investissement et non sur la manipulation.

Tous les outils nécessaires à la mise en oeuvre d’un tel système existent déjà, mais pas la conscience collective, or, c’est la conscience qui décide !


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