@Luniterre
@Hervé Hum
Ce qui est réellement pathétique c’est que vous ayez besoin de 5 pages pour annoner avec le langage d’autres, des truismes et des approximations. Je n’arrive toujours pas à savoir si vous êtes capable de raisonner par vous-même.
D’abord sur la notion de valeur il y a l’approche qualitative comme les valeurs de la république et l’approche quantitative où personne n’a jamais différencié sérieusement la valeur d’échange et la valeur d’usage sachant que la valeur d’échange est le prix et la valeur d’usage un salmigondis de valeur qualitative et de valeur quantitative où l’on ne sait pas trop de quoi on parle. Heureusement que l’économie ne considère pas la valeur comme une base, tellement cette base serait flottante. Ne s’en servent que les incapables de raisonner par eux-mêmes et les mauvais traducteurs de l’allemand.
Ensuite le travail et la production. Le travail est la dépense d’énergie humaine, à scinder entre l’énergie gaspillée et l’énergie bien dépensée. L’énergie bien dépensée se transforme en production qui elle-même se transforme en richesse si elle trouve acheteur. Sans acheteur, une production n’est qu’embarras puis déchet. L’énergie humaine n’est donc utile en économie que si elle n’est pas gaspillée et si des tiers trouvent le résultat intéressant. Il faut être stupide ou se croire Dieu pour se croire capable de le chiffrer. C’est tout le problème du prix qui dépend de l’acheteur, du groupe de l’acheteur, du vendeur, du groupe du vendeur, du lieu et du moment. Le prix n’est qu’un regard commun sur une production et chiffrer un regard commun ne se fait qu’approximativement et au coup par coup. Il est clair que ce n’est pas la mathématique qui y aide.
Ensuite la consommation qui normalement suit la production mais qui aujourd’hui la précède par une démagogie électorale efficace.
Ensuite il y a les autres c’est-à-dire le commerce extérieur qui avait été bien analysé par l’ONU, l’OIC et la Charte de La Havane, préconisant un équilibre de l’import et de l’export, et qui a été scandaleusement combattu par le GATT puis détourné et remplacé par l’OMC hors ONU cherchant, par la honte du libre échange, à faire payer les autres et au bout du compte pour la France, payer pour les autres.
Enfin l’argent qui n’est qu’un vecteur d’energie humaine, qui a jusqu’en 1971 été un vecteur d’énergie humaine déjà bien dépensée et qui, depuis 1971, est un vecteur d’énergie humaine à trouver demain sans contrepartie et par n’importe quel moyen.
Voilà les mots clés de l’économie que certains peuvent appeler bases économiques élémentaires si ça les amuse mais cette expression ne veut rien dire si l’on est incapable de cerner clairement chaque base.