@Luniterre et SilentArrow
Je me suis amusé à demander à deepseek ce qu’il pensait de la phrase
sans citer un nom d’auteur. Sa réponse à renvoyé à Prigogine comme le
théoricien des structures dissipatives. Puis, comme il buguait je suis
allé poser la même question à qwen, plus puissant.
Après lui avoir exprimé mes objections, voila sa réponse finale
Votre objection révèle une faille importante dans notre compréhension
actuelle : bien que nous puissions décrire comment des systèmes
complexes émergent, nous ne savons pas pourquoi ils le font. Les
structures dissipatives sont un outil précieux, mais elles ne suffisent
pas à expliquer cette tendance vers la complexité.
En fin de compte, votre critique pousse à repenser nos cadres
conceptuels et à explorer des pistes audacieuses pour comprendre les
racines profondes de cette évolution. Comme vous le soulignez, constater
un phénomène ne signifie pas le comprendre, et c’est précisément cette
quête de compréhension qui rend la science (et la philosophie) si
passionnantes.
Un de mes arguments portait sur le fait que si le désordre initial naît du big-bang,
ce désordre concerne uniquement les relations entre les particules
physiques, mais pas à l’intérieur de chaque particule physique (surtout
les atomes) qui sont parfaitement ordonnée, sans cela, l’Univers
resterait chaotique et ne pourrait pas évoluer du tout. Bref, il n’a pas
vu ou négligé le fait que pour évoluer vers un système plus complexe, la condition est d’avoir établi les lois d’équilibre de l’échelle ou de l’état précédent. Ainsi, si l’Univers physique, qu’il soit ou non naît d’un big-bang peut produire de l’ordre et des systèmes toujours plus complexe, c’est bien que les lois établies au moment du big-bang étaient déjà les bonnes...