Faire un safari au Kenya ? Plus probable que vous ne le pensez !
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mardi 16 mars 2021
Avec les fermetures régionales qui se prolongent sans cesse, le simple fait d'entendre le mot "safari" peut évoquer des sentiments de rancœur. Mais le déploiement du vaccin étant beaucoup plus rapide que prévu, la probabilité de vacances à l'étranger devient de plus en plus réaliste. Si vous recherchez des activités en plein air exceptionnelles, le Kenya est l'endroit idéal.
Pourquoi le Kenya ?
Le Kenya n'est peut-être pas la première destination qui vient à l'esprit pour des vacances après une pandémie. Pourtant, le pays a pleinement profité de l'accalmie touristique de courte durée. Le Kenya a considérablement amélioré ses mesures de sécurité intérieure pour empêcher la propagation du virus. Par conséquent, le nombre de personnes infectées au Kenya a continué à diminuer. Tout cela a été réalisé sans un accès généralisé aux vaccins, ce qui rend la tactique du Kenya encore plus impressionnante. Les vaccins devenant également largement disponibles dans les pays africains, ces chiffres devraient encore diminuer.
Bien que le Kenya ait ouvert ses frontières, le pays continue d'appliquer des règles strictes, tant pour les voyageurs étrangers que pour la population locale. Il s'agit notamment de couvre-feux et du port obligatoire de masques dans les lieux publics. Les voyageurs étrangers entrant dans le pays doivent avoir un résultat négatif au test PCR, qui doit avoir été effectué au maximum 72 heures avant leur date d'arrivée. Les voyageurs doivent également s'inscrire dans un système spécial qui confirme qu'ils n'ont pas de coronavirus. Une fois au Kenya, ils sont à nouveau testés et, selon la durée de leur séjour, plusieurs autres tests peuvent être effectués. Il suffit de dire que le Kenya prend sa sécurité au sérieux. Pourtant, c'est aussi le signe que le pays fait tout ce qu'il peut pour assurer la santé non seulement de sa propre population, mais aussi des visiteurs potentiels.
(https://unsplash.com/photos/PdiOj8kRy28)
Ai-je besoin d'un visa ?
Afin d'encourager les touristes à visiter leur pays, certains gouvernements, comme l'Égypte, ont décidé de supprimer temporairement l'obligation de visa pour les voyageurs étrangers. Le Kenya a décidé de maintenir son obligation de visa simplement parce qu'il s'agit d'une source de revenus dont le pays a désespérément besoin.
Afin d'encourager les touristes à visiter leur pays, certains gouvernements, comme l'Égypte, ont décidé de supprimer temporairement l'obligation de visa pour les voyageurs étrangers. Le Kenya a décidé de maintenir son obligation de visa simplement parce qu'il s'agit d'une source de revenus dont le pays a désespérément besoin.
Néanmoins, le Kenya n'est pas resté inactif sur ce front non plus. En janvier 2021, elle a achevé un ambitieux projet pluriannuel visant à numériser entièrement son système de visas. Dans le passé, les voyageurs pouvaient demander différents types de visas en ligne, à l'ambassade ou même à l'aéroport au Kenya après leur arrivée. Ce n'est plus le cas. À partir de janvier 2021, le seul visa pour le Kenya disponible est le e-visa numérique. Ce visa peut uniquement être demandé en ligne en remplissant le formulaire de demande. Le Kenya a décidé d'abolir tous les autres types de visas car il estimait qu'ils présentaient trop de risques pour la sécurité. Le visa électronique permet un meilleur contrôle des voyageurs entrants afin de garantir la sécurité de la population locale.
Les safaris à nouveau au programme ?
Tout d'abord, le Kenya a toujours été connu comme l'une des principales destinations de safari en Afrique. Le pays offre une grande variété d'animaux sauvages à admirer, dont les légendaires « Big Five », les cinq animaux historiquement les plus difficiles à chasser en Afrique. Les sociétés de safari acceptent à nouveau les réservations, même si elles ont bien sûr elles aussi leurs propres règles et mesures de sécurité pour éviter la propagation du coronavirus. Une chose est certaine : le Kenya est en excellente position pour profiter de la réouverture du monde après la pandémie de coronavirus.