J’ai découvert l’eau de jouvence

par olivier cabanel
mardi 9 septembre 2008

Ce rêve que chacun caresse a été pour les habitants de la vallée de Hunza une réalité.

Les Hunzas vivent plus que centenaires, en parfaite santé, pratiquement sans cancer, ni rhumatismes ni caries dentaires.
Ils habitent la vallée de Hunza, dans l’Himalaya, au Pakistan.
Les femmes sont capables d’avoir des enfants à un âge avancé.
Ce peuple qui regorge de vitalité doit cette longévité exceptionnelle à l’eau qu’ils boivent tous les jours, depuis leur plus tendre enfance.
Le Dr Henri Coanda, père de la dynamique des fluides et prix Nobel à 78 ans, passa soixante ans à étudier cette eau.
Il constata qu’elle avait des propriétés étranges : sa température d’ébullition et de congélation, sa viscosité et sa tension superficielle ne correspondaient pas aux mesures habituelles.
Devenu trop vieux pour continuer ses recherches, il passa le flambeau au Dr Flanagan.
Celui-ci chercha encore pendant trente ans sur l’échantillon prélevé initialement quarante ans auparavant.
En effet, la Vallée d’Hunza n’a plus la pureté d’antan, car une autoroute y mène, et le progrès y a fait son apparition avec son ballet de pollutions.
Le docteur découvrit donc dans cette eau de toutes petites sphères minérales lisses, pas plus grande que 5 nanomètres de diamètre, soit 2 000 fois plus petites qu’un globule rouge.
Ces sphères étaient porteuses d’un potentiel électrique très élevé, appelé potentiel zeta (hydride de silice).
Ces minéraux, appelés nanocolloïdes, se trouvent en grande quantité dans l’eau des Hunzas.
Par leur potentiel électrique très élevé, ils interagissent avec l’oxygène et l’hydrogène de l’eau et créent ainsi des structures cristallines minuscules.
Celles-ci ressemblent beaucoup aux structures cristallines des fluides qui entourent nos cellules et aux protéines dans nos cellules.
La caractéristique de cette eau est sa tension superficielle bien inférieure à celle de l’eau ordinaire.
Pour que l’eau pénètre les cellules du corps et les hydrate, il faut une tension superficielle de 45 Dynes.
Une tension superficielle moindre rend l’eau plus « mouillante ».
Alexis Carrel (autre prix Nobel) dit que le secret de la vie consiste à alimenter les cellules et à leur permettre de se débarrasser des déchets et des toxines.
Si les nutriments ne peuvent pénétrer dans les cellules suite à la tension superficielle élevée de l’eau, alors les cellules se déshydratent et meurent de leurs propres déchets.
Comme l’eau et les lipides ne se mélangent pas, quand la tension superficielle est trop élevée, les nutriments restent en suspension à l’extérieur des cellules, et notre corps n’en profite pas.
Depuis le Dr Flanagan a recréé artificiellement cette eau, et après en avoir offert 10 000 flacons par mois, pendant plusieurs mois, décida de créer une entreprise de distribution de cette eau qu’il a appelée « Crystal Energy ».
La bible évoque beaucoup de centenaires, dont le célèbre Mathusalem, l’eau en était-elle responsable ?
Ce qui est certain c’est que l’eau que nous buvons aujourd’hui n’a rien à voir avec l’eau que buvaient nos ancêtres, dont on nous dit que la moyenne d’âge était bien inférieure à nous.
Seulement, c’est oublier bien vite une donnée : la mortalité infantile était très grande par le passé, et on raisonne en termes de moyenne.
Il est bien probable que ceux qui survivaient avaient des vies beaucoup plus longues que nous, et étaient en bien meilleure santé.
Seulement voilà, aujourd’hui, le Pakistan déjà pollué par le progrès, est le nouveau terrain de jeu des puissances mondiales, et il faut remettre l’immortalité à plus tard.
Car comme disait un vieil ami africain :
« Le vieil éléphant sait où trouver de l’eau ».
A lire d’Hélène Laberge, la vallée des immortels, encyclopédie de l’Agora.

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