L’homme et le dinosaure

par olivier cabanel
lundi 29 novembre 2010

Pas un jour ne passe sans qu’une certitude de la science ne vienne en chasser une autre.

On retrouve des traces de l’homme de plus en plus anciennes, et des preuves de cataclysmes de plus en plus proches.

Comme disait Gabin « on ne sait jamais rien, mais çà je le sais ».

Pendant que les dinosaures des principaux partis politiques, écrasant les petits candidats, se préparent à aller briguer nos suffrages pour 2012, d’autres dinosaures pourraient refaire parler d’eux sous peu.

Le doute est scientifique, et pourtant, jusqu’à ce jour, la plupart des scientifiques continuent d’affirmer, vent debout, que l’homme et les dinosaures n’ont jamais pu se croiser.

Il est de coutume d’affirmer que les dinosaures aient disparu lors de la chute d’un météorite qui, il y a 65 millions d’années, provoqua un hiver nucléaire pendant une dizaine d’années. lien

Le choc aurait provoqué sur l’ensemble de la terre d’abord une température de 400°, puis une chute brutale des températures.

Un régime auquel pas grand-chose ne résiste.

Quand à nos ancêtres, aux dernières nouvelles, le plus ancien de tous, le samburupithèque, serait vieux de 9 millions d’années ( lien) battant haut la main le record d’Ardi cette femelle (ardipithcus ramidus) découverte par Tim White en Ethiopie en 1992. (4,4 millions d’années) lien

On le voit, il y a un large espace de 56 millions d’années pendant lesquelles ni l’homme, ni le dinosaure n’aient eu la moindre chance de se croiser, d’après les avis scientifiques.

Pourtant des questions continuent de se poser.

Quid des grands dinosaures aquatiques ?

Pourquoi auraient-ils disparus, protégés qu’ils étaient dans leurs éléments ?

Certains évoquent le fameux « monstre du Loch Ness » qui pourrait être un pliosaure. lien

Ce qui est contesté. lien

Régulièrement les témoignages s’ajoutent aux témoignages, sans que rien de probant ne puisse être confirmé.

Officiellement les derniers dinosaures ont donc disparu il y a 65 millions d’années.

le Xiongguanlong découvert en 2005 aurait été le premier tyrannosaure à vivre au début du Crétacé, il y a entre 113 et 117 millions d’années.

Il serait le chainon manquant entre les T-Rex et le Guanglong Wucali, petit tyrannosaure qui vivait il y a 160 millions d’années. lien

Sur ce lien, on peut voir défiler nos différents ancêtres.

Il est convenu que seuls sont morts les grands dinosaures, et que les survivants (les petits) auraient donné naissance à nos oiseaux d’aujourd’hui, mais comment ne pas imaginer que quelques dinosaures quelque soit leur taille aient survécu à l’extinction massive d’il y a 65 millions d’années ?

Et comment ne pas imaginer que nous retrouverons chaque fois des hominidés toujours plus anciens ?

Certains scientifiques s’interrogent aujourd’hui sur la survivance possible de dinosaures dans les premiers niveaux de l’ère tertiaire.

En effet, les découvertes d’œufs fossiles de dinosaures se multiplient dans le sud de la France. Ils sont datés entre 60 et 65 millions d’années, soit, pour certains, après l’extinction massive d’il y a 65 Millions d’années. lien

Sur cette vidéo, la naissance d’un dinosaure.

C’est ici que la science pourrait à commencer à douter.

Il y a par exemple les pierres d’ICA.

A 360 km au sud de Lima, la petite ville péruvienne d’Ica nous raconte une étrange aventure.

En 1626, un missionnaire jésuite, Pedro Simon fait une drôle de découverte.

Des pierres gravées représentant (entre autres) des hommes et des dinosaures.

Il consigne sa découverte dans son livre « noticias historiales ».

En 1909, l’archéologue Carlos Belli en trouve à son tour.

Puis en 1955, les frères Carlos et Pablo Soldi en récoltent 114. lien

Aujourd’hui on connait plus de 15 000 pierres en andésite gravée et même si certaines sont sujettes à caution, il est serait possible que d’autres soient tout à fait authentiques. lien

En effet, appâté par les offres alléchantes de scientifiques, comme le docteur Javier Cabrera qui monnayait chaque découverte, il est évident que certaines gravures puissent être des faux.

Pourtant, lorsque ces pierres, qu’il a appelées des Glyptolithes, sont découvertes dans des tombes pré-incaïques, l’authenticité de celles-ci devient incontestable.

D’ailleurs des analyses réalisées par un laboratoire péruvien, et un autre allemand les datent d’au moins 4500 ans. lien

C’est aussi ce qu’a constaté un architecte, Santiago Agurto Calvo, qui en 1966 en trouva quelques unes lors de l’ouverture de tombes incas à Ocucaje. Lien

Robert Charroux dans son « énigme des Andes  » de 1976 décrivait sa rencontre avec le docteur Cabrera, et pour lui, il était impossible qu’il s’agisse d’un canular.

Pourtant malgré les affirmations de spécialistes affirmant que toutes ces gravures sont contemporaines et donc des faux, un galet pourrait être révélateur de l’authenticité des autres.

Sur l’un des glyptolithes, apparait manifestement un titanosaure : l’ampelosaurus.

Or, l’existence de ce dinosaure n’est connue que depuis les années1970 ainsi que l’affirme V. Battaglia sur son site.

Dès lors comment des paysans péruviens auraient pu dessiner des dinosaures dont l’existence étaient alors inconnue ?

Et puis, ce n’est qu’en 1996 qu’un paléontologue trouva un crâne complet de Titanosaure.

A Campagne-sur-Aude, en juillet 1989 des fouilles importantes ont permis la découvertes de plusieurs dizaines d’ossements de sauropodes, qui sont pour la plupart des  ampelosaurus. lien

En 1986, l’architecte (et paléontologue par passion) Pierre Tréand fait des fouilles à Serre de Brigoule (Drôme) et découvre des silex gravés datant de plus de 20 millions d’années, représentants des dinosaures. lien

En voila donc un de plus qui découvre des gravures prouvant que l’homme et le dinosaure aient pu voisiner.

Henri Coupon en a réalisé un livre : « ces dinosaures dont la science ne veut pas  » (éditions Slatkine-1998)

Bien avant eux, en 1945 Waldemar Julsrud, un archéologue amateur, avait découvert à Acambaro, au Mexique, 32 000 poteries et figurines intactes montrant des hommes aux cotés de dinosaures. lien

A Lussac-les-châteaux, une campagne de fouilles (1938) à mis à jour plusieurs pierres gravées (15 000-30 000 avant jc) dont on nous dit pour celle de la page 169 qu’il s’agit d’un félin grondant, ce qui n’est pas évident. (le musée se visite)

Il faut donc croire que : soit nos ancêtres sont plus anciens que l’on ne l’affirme, soit que quelques dinosaures aient échappé à l’extinction des espèces il y a 65 millions d’années, et qu’en tout cas, la rencontre entre l’homme et le dinosaure soit possible.

Ce qui fait une énorme pierre jetée dans la mare des certitudes scientifiques.

Il est naturellement facile d’écarter d’un revers de main complaisant cette possibilité, capable de changer la donne en matière d’histoire.

Mais une fois de plus, le doute ne doit-il pas permettre de faire apparaitre une autre vérité, aussi dérangeante soit-elle ?

D’autant que si l’on y songe, la terre a subi déjà à plusieurs reprises des cataclysmes qui ont provoqué la disparition de milliers d’espèces.

Sans remonter à 65 millions d’années, il faut ici rappeler qu’il y a 75 000 ans un hyper volcan a provoqué la quasi disparition de l’espèce humaine, et il ne serait resté sur notre planète qu’environ 2000 êtres humains (dont nous sommes fatalement tous les descendants) qui manifestement étaient tous noirs. Lien

On peut aussi imaginer que la fin de chaque cycle de la terre ait des conséquences sur les espèces qui y vivent.

On le sait maintenant, notre terre à, tout comme tout ce qui vit sur elle, un cycle décrit par Milankovitch.

Il est de 25960 ans. lien

Si l’on compare la planète à une toupie, elle tourne autour d’un axe invisible, lequel se retrouve dans la même position tous les 25960 ans, ce qui n’est gère éloigné des 26 000 ans évoqués par les Mayas.

C’est d’ailleurs il y a 24 000-28 000 ans que l’homme moderne a remplacé l’homme de Neandertal, même s’il est prouvé depuis peu que nous avons dans nos gènes du Neandertal. lien

D’autant que l’homme n’est pas innocent non plus dans ces disparitions, et que les sommets censés s’attaquer au problème crucial posé par le réchauffement climatique se suivent et se ressemblent.

Ils accouchent régulièrement d’une souris.

A Copenhague justement, c’est Hugo Chavez qui affirmait : « si le climat était une banque, les pays riches l’auraient sauvé depuis longtemps ». vidéo

Ce qui a fait dire au Président Français : « Chavez est fou », ainsi que l’ont révélées les 250 000 documents secrets publiés par Wikileaks. lien

A se demander lequel des deux l’est ?

 Car comme disait mon vieil ami africain :

« Ton futur dépens de tes rêves, alors ne perds pas de temps, va vite te coucher ».

 L’image illustrant l’article provient de « ipapy.blogspot.com »


Lire l'article complet, et les commentaires