Même si c’était vrai, je ne le croirais pas !

par olivier cabanel
samedi 29 décembre 2012

Cette phrase étonnante a été prononcée par un scientifique, membre d’un grand nombre de commissions à la Nasa, et citée dans le livre étonnant de Steven M.Greer : « Révélations ».

Cet ouvrage imposant, en 2 tomes, épais de 400 pages chacun, (lien) est une compilation de témoignages sur un sujet largement controversé depuis des années et qui fait sourire les uns, et énerve les autres, traités aimablement de « soucoupistes » allumés, à qui ils reprochent parfois de consommer des produits illicites.

Sauf que pour cette fois, les témoins sont des personnalités indiscutables, et que les documents cités dans l’ouvrage ont été photographiés et publiés pour confirmer les dires des uns et des autres.

Il s’agit donc dans ce livre d’expliquer comment s’y prennent depuis longtemps les « autorités » au plus haut niveau de chaque pays pour cacher l’invraisemblable profusion de preuves de l’existence des OVNIS.

Le mot est lâché…Objets Volants Non Identifiés, mais ceux qui en parlent aujourd’hui sont des personnalités, pas de vagues agriculteurs de Corrèze, ou d’ailleurs, qu’il est si facile de faire passer pour des doux dingues.

Ceux là ne sont pas prêts de témoigner encore une fois à la gendarmerie de leurs villages, même si l’un de ces engins venait se poser à quelques mètres d’eux...

Et pourtant, depuis 1947, il y a eu 150 millions d’observations recensées dans le monde. lien

Pour commencer, il faut évoquer Jean Kisling, ancien pilote de chasse, et ancien commandant de bord à Air France.

A l’été 1945, il avait été envoyé, aux commandes d’un P47, puissant avion de chasse de l’époque, capable d’atteindre des altitudes supérieures à 10 000 mètres, pour intercepter des « ballons » mystérieux.

Arrivé en vue des « ballons », il lâchât une longue salve de sa mitrailleuse en direction des « ballons », se révélant être des soucoupes volantes, lesquelles disparurent à une vitesse exceptionnelle ; Ce combat aérien fut suivi par plus de 1000 témoins oculaires.

Le débriefing envoyé au Pentagone n’aura aucun retour concernant cet « incident ».

Plus tard, en 1952, il se retrouvera en compagnie d’une délégation qui se rendait en Europe pour traiter des « Flying Discs », et apprendra que les américains avaient récupéré une soucoupe volante laquelle s’était écrasée près d’El Paso, Texas, et dont tous les occupants étaient morts.

Lorsqu’il demanda « pourquoi n’en informez vous pas les citoyens américains ? », son interlocuteur lui répondit « révéler la vérité entrainerait une panique généralisée sur toute la planète ».

63 ans après ces événements, Kisling à déclaré : « pour moi, il n’existe pas le moindre doute, les soucoupes volantes existent et viennent d’un autre système solaire. Je suis extrêmement étonné que de soi-disant grands scientifiques refusent encore obstinément à l’heure actuelle d’accepter l’idée de l’existence d’une vie E.T. intelligente ». lien

Mais revenons au livre de Steven M.Greer : un grand nombre de ces témoins sont des militaires, souvent de hauts gradés, des fonctionnaires de ministères, des professeurs, des docteurs, des spécialistes gestionnaires de radars, des personnalités accréditées, tenues au secret.

Passons sur les nombreux témoignages, comme celui de Neil Daniel, pilote de ligne, qui en mars 1977 qui ayant constaté un changement de cap de son DC10, pourtant sous pilotage automatique, du à une « perturbation magnétique  » à 11 300 mètres d’altitude, a observé, en compagnie de l’officier principal, et de son second « un truc » rond, de 30 mètres de diamètre, avec des lumières très brillantes, aussi violentes que des éclats de flash, ou celui d’un autre pilote qui après avoir observé pendant 18 minutes un objet identique, et à qui, après enquête, s’est vu répondre par les enquêteurs : « c’était un feu follet  », sauf que l’avion était à 5 500 mètres d’altitude, et filait à 460 km/h, et allons a l’essentiel. (Page 180-tome 1)

Cette difficulté de croire est si forte que certains voient mais préfèrent ne pas avoir vu, tel ce passager d’un vol de Graham Bethune, capitaine de frégate et pilote de la Navy.

Il raconte avec force détail la rencontre avec un ovni manifestement très amical, et demandant à un passager, un médecin, psychiatre de son état, ce qu’il en pensait, il y eut cet échange cocasse :

« Doc, vous avez vu ce qu’on a vu ? » lequel à répondu : « Ouais, c’était une soucoupe volante » ajoutant : « je ne l’ai pas regardé, parce que je ne crois pas en ce genre de choses ». (Page 147-tome 1)

Prenons un autre récit, celui du capitaine Robert Salas, diplômé de l’Air Force Academy.

Il était de service à l’Oscar Flight (groupe surveillant des missiles stratégiques nucléaires) le 16 mars 1967.

A 18 mètres sous terre, il reçu un appel d’un garde de sécurité de surface, lequel observant « des lumières étranges volant sans bruit autour du site  », a fait sortir tous ses hommes, armés, prêts à faire feu…quelques instants après, tous les missiles étaient désactivés sans qu’ils aient pu faire quoi que ce soit pour l’empêcher.

A 90 kilomètres de là, sur un autre site, appelé « Echo Flight », la même situation s’est reproduite, et les dix missiles à tête nucléaire ont tous étés mis « hors d’état de fonctionner ». (Page 216 tome 1)

L’ordre lui a été donné de ne jamais parler de ça à qui que ce soit, famille, équipiers, « même pas entre nous  ».

Il y a mieux.

C’est le professeur Robert Jacobs, professeur dans une grande université aux USA, et officier dans l’Air Force en 1960, qui le raconte.

Lors du lancement d’un missile Atlas, alors que chacun se félicitait de sa réussite, lequel avait été filmé, il fut convoqué dans le bureau du commandant afin de visionner le document.

Sur le document, on voit parfaitement les trois étages se séparer les uns après les autres, puis, grâce au télescope, on voit s’approcher de la tête factice un objet qui émet un faisceau lumineux en direction de celle-ci provocant la chute de celle-ci.

L’objet, les traits de lumière .., la tête étaient en train de grimper directement à travers les couches supérieures de l’atmosphère à environ 110 km d’altitude, évoluant à  20 000 km/h quand cet OVNI les a rejoint, à volé à coté d’eux, et est reparti.

Conclusion du commandant Mansmann qui avait organisé la projection : «  il ne faudra plus jamais que vous reparliez de ça. En ce qui vous concerne  », ajouta-t-il à l’attention de Jacobs, «  tout ça n’est jamais arrivé  ». (Page 233-tome 1)

Rendons-nous sur le pont du porte-avion USS John F.Kennedy au cœur de l’été 1971, ou James Kopf travaille en qualité de spécialiste en opération de transmission.

En pleine nuit, les 8 télétypes se sont mis en train d’écrire des messages totalement incohérents.

Un cri venant de l’extérieur « Dieu était là ! C’était la fin du monde  » l’a poussé avec d’autres à se rendre sur la passerelle des transmissions, point le plus élevé du porte-avion.

Une grande sphère lumineuse d’environ 100 mètres de long se tenait au dessus du navire.

« L’objet émettait des pulsations et sa couleur allait d’une sorte de jaune à de l’orangé ».

L’objet est resté stationnaire pendant 5 minutes, et aucun avion n’a été en mesure de décoller : « ils essayaient de faire démarrer ces chasseurs (…) ils étaient hors d’état de fonctionner ».

Tout l’équipage est resté en alerte générale, ou aux poste de combat, pendant à peu près 2 heures.

Quelques jours plus tard, le commandant décida de s’adresser aux 5000 hommes de l’équipage : « j’aimerais rappeler à l’équipage que certains évènements qui ont eu lieu à bord d’un des principaux vaisseaux de combat de la Navy sont considérés comme classés et qu’il ne devra pas en être discuté avec qui que ce soit qui n’aurait pas un droit de savoir ».

Le navire était armé d’engins nucléaires, et le navire s’est retrouvé « électroniquement invalidé  ».

Les pilotes de ces engins n’aimeraient donc pas nos fusées à tête nucléaire ?

La fin du livre de Greer s’aventure en terrain de connaissance, puisqu’il y évoque Nikola Tesla, et la possibilité, avec les témoignages en prime, qu’il y aurait non seulement des OVNIS non terriens, et d’autres qui seraient fabriqués sur notre bonne et vieille terre : les scientifiques se seraient largement inspirés des travaux menés par les savants nazis de la seconde guerre mondiale ; (lien) ils auraient récupéré non seulement les études en cours, mais aussi un (ou plusieurs) engin à énergie magnétique que les chercheurs d’Hitler avaient mis au point. vidéo

C’est ce que confirme Mark Mc Candlish, un artiste conceptuel, qui a travaillé pour beaucoup des plus grandes sociétés aérospatiales des USA et qui raconte avec force détails avoir vu dans le hangar d’une base militaire de l’Air Force, une soucoupe volante.

Un autre, nommé Brad Sorensen, en a vu 3, flottant au dessus du sol dans un hangar de la base aérienne de Norton…(page 290-tome 2)

Comme aurait pu dire mon vieil ami africain : « Ovni soit qui mal y pense »

L’image illustrant l’article provient de « lifeorigin.free.fr »

Merci aux internautes de leur aide précieuse

Olivier Cabanel

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