Le printemps de la démocrature
par Réflexions du Miroir
mercredi 19 mars 2025
En août 2018, j'écrivais "L'automne de la démocrature".
Ces derniers temps, on n'a jamais parlé autant de question d'argent et de guerre. Au niveau du pouvoir d'achat de chacun, de la politique, s'est ajouté le niveau de la géopolitique. La démocratie est en péril sur plusieurs fronts.
Pas un jour, sans un nouveau décret et un annonce de Trump. Poutine, lui, reste dans l'ombre. En arbitre, il compte les points.
La locution latine "Si vis pacem, para bellum" n'a jamais été aussi vraie en Europe. La Communauté européenne trouve 800 milliards d'euros sous le tapis dans l'effort de guerre pour l'Europe. Ce n'est pas uniquement par l'argent que l'on change les mentalités intrinsèque à la géopolitique.
Tant que les guerres dans le monde ne nous touchent pas de trop près, tout va bien. Quand elles se rapprochent , rien ne va plus et on s'excite.
Je me suis braqué surtout sur la démocratie qui se penche de plus en plus vers la dictature. Je termine ce billet par le magazine Philosophie qui pose la question "Qu'est-ce qu'un rapport saint à l'argent ?"
Economie de guerre et guerre commerciale
Hubert Vedrine, haut fonctionnaire et homme politique français longtemps membre du Parti socialiste avait répondu au sujet de la situation politique de l'Europe Hubert Védrine
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Intéressant débat "Bonsoir l'Amérique du 14 mars" au sujet de l'Amérique et de l'économie podcast :
La magazine "Trends tendances" se demande si Trump a déjà cassé l'économie américaine ?
"Trahison de l'Ukraine, éclatement de l'Otan, destruction du commerce international, etc. En moins de deux mois passé à la Maison Blanche Trump a fait plus de mal à l'économie occidental que la Russie en 40 années de guerre froide. Et la Bourse américaine tangue déjà fortement", est-il mentionné en préambule du dossier.
Je dirais même plus : "Trump a cassé la machine à fric que les Américains avait créée et dont ils profitaient".
Pour fonctionner, cette machine a des pièces qui ne proviennent de là, où les prix sont les moins chers par un effet boomerang.
En autocrate, Poutine a répondu en acceptant la proposition de paix pendant 30 jours d'une manière qui n'a plus rien à voir avec la diplomatie et de compromis.
La guerre sévit aux portes de l'Europe depuis 3 ans avec la Russie. Trump n'en a rien à cirer. Son intérêt n'en fait pas partie. Il dévoile son jeu en avant-première avec des initiatives en distillant ce qui existe déjà. Les Américains ne sont plus les alliés de l'Europe. Mais il a un ami en la personne de Poutine parce qu'il est à son niveau de compétence et qui souvent le dépasse.
Trump veut la paix. La guerre, d'après lui, a coûté déjà trop de morts et trop d'argent à l'Amérique. Pendant sa campagne électorale, il avait dit que la guerre serait immédiatement terminée. Aujourd'hui encore, il répète que s'il avait été au pouvoir à la place de Joe Biden, la guerre n'aurait même pas eu lieu.
Trump confond la gestion d'un pays avec celle d'une affaire commerciale. Il fait tout le contraire face à Poutine comme si c'était un copier-coller en politique ou en géopolitique.
"Faire un deal" n'est donc pas "faire la paix" comme Trump le faisait avec celui qu'il appelait "The Rocket Man", King Jung Un.
Les deux astronautes qui devaient vivre huit jours dans la navette spatiale sont revenus. Ils y sont restés dans l'ISS pendant 9 mois
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Je ne sais pas pas s'ils seront heureux de regagner notre belle terre après qu'ils l'aie vue de haut.
Les différences de mentalités entre eux et nous, ne sont pas qu'une vue de l'esprit.
Dans le passé, j'ai participé à des réunions par téléphone avec les Etats-Unis, réunissant plusieurs pays à l'écoute. Un jour, je faisais une allusion ou une remarque plutôt négative sur le business. A l'autre bout du fil, un blanc. L'américain au bout du fil n'avait même pas compris le message que je lui envoyais. Ce n'est donc pas Trump uniquement qui ne comprend pas les finesses du jeu et du busines au niveau mondial
Trump par Trump est son livre en tant que dealmaker. C'est donc un professionnel qui excelle dans l'art de la négociation par une connaissance approfondie des marchés et des transactions, ainsi qu'une capacité à anticiper les besoins et les attentes des parties prenantes. Il sait calculer les risques des projets qu'il entreprend avec des calculs de tendance du marché. Il explique son action dans un discours fleuve comme le faisait Castro.
Trump a déjà fait faillite dans ses entreprise immobilières. Il s'en est ressorti avec des magouilles.
Si l'on suit ce qui se passe en Bourse actuellement à cause de son protectionnisme, c'est tout le contraire de ce qu'il faudrait faire. Les Etats-Unis sont ébranlés sur ses bases et Wall Street est déboussolé.
Trump est imprévisible. Sa vérité un jour, il l'a contredit le lendemain.
Investir dans un futur incertain est la pire situation en Bourse.
Les "extrasystoles en Bourse " existent mais elles suivent les tendances des marchés dans un va-et-vient entre achats et ventes en fonction des gains et des pertes dans une "relance par la Bourse et la Vie" .
La possibilité de récession américaine n'est pas à exclure. En Europe, il ne reste à espérer que la Wall Street reste seule impactée par les conneries de Trump.
Nous sommes dans une période d'un marché "Kangourou" dans des mouvements erratiques vers le haut ou vers le bas sans justification et dans une hésitation entre j'achète ou je vends. Il n'y a plus de tendances qui tiennent la route sur les graphiques. Je peux en parler dans années 1980, mon premier PC a servi, avec des copains, à écrire un logiciel de mise en graphique tout intervenait pour faire des graphiques avec tendances et avec le PER. Internet n'existait pas. Les cours de de quelques actions en Bourse étaient entrés à la main. J'ai encore en bibliothèque, une multitude de livres qui parlent de la Bourse en tenant compte des cours des monnaies correspondantes "Spéculons en paix".
Aujourd'hui, la valeur du dollar a baissé et celle de l'euro monté. C'est un signe à mettre en évidence avec le risque systémique. Prendre en considération quelques initiatives dans l'urgence s'impose pour éviter ce président Mikado comme dit Geert Noels. Nos importations américaines devront diminuer pour répliquer aux taxes américaines de nos exportations qui devront trouver d'autres débouchés.
Trump ne connait manifestement pas les règles du management. Il ne sait pas qu'avant de prendre une décision, il faut assurer ses arrières dans ses "troupes".
Son fascisme le fait décider de tout et non de s'intéresser à ce que pense ses équipes et de ses gens. Elles vont le suivre dans son sens ou au contraire finir par le torpiller de l'intérieur et devenir le vers dans la pomme. Trump n'a pas compris que l'argent du beurre" fonctionne les deux sens, qu'il "se fabrique à l'étranger".
Le commerce de l'import-export est devenu très juteux.
La Communauté européenne veut dégager 800 milliards d'euros pour les efforts de guerre en priorité et pousser les "anciens" problèmes sociétaux au second plan.
Un débat en France est en route pour déterminer la raison de ce montant astronomique dans le détail, avec la question "pour quoi faire ?"
En plein protectionnisme, plus ou moins isolée, Trump s'est lancé dans un expansionnisme en voulant annexer le Canada et le Groenland, le Canal de Panama. Poutine, en spectateur de ses discussions diplomatiques, boit du petit lait en arrière-plan, sans intervenir ouvertement dans la discussion. Poutine a les ficelles des marionnettes.
Les États-Unis devraient se méfier : la dernière fois qu'ils ont menacé le Canada, son armée a brûlé la Maison-Blanche. (*).
Donald Trump veut attribuer tous les budgets dans une économie exclusivement pro-américaine avec des idées conservatrices, en oubliant totalement le réchauffement du climat, la science de la connaissance et du développement de la recherche. Ces derniers jours, les hurricanes ont balayé tout le territoire américain.
J'ai toujours remarqué quand je travaillais qu'une situation qui ne va pas bien à l'extérieur, se répercute tôt ou tard vers l'intérieur. A l'intérieur, tout le secteur de l'aide à la population est abandonné et les personnes du secteur public. Faut pas pleurer mais ni Trump ni Poutine se foutent complètement de la population avec des envies de grandeurs.
Les grandes universités américaines créent des Prix Nobel. Elles vont être en panne d'étudiants qui iront dans d'autres pays se former pour mettre en actions de nouvelles idées progressistes.
Trump veut annuler les contrats avec les agences de presse mondiale : "Nous devons produire l'information nous-même", c'est dire que la presse est devenue une ennemie puisqu'elle l'empêche d'émettre ses propres vérités, sa propagande et ses Fakenews.
Elon Musk a été nommé « ministère de l'Efficacité gouvernementale », dans le département de l'Efficacité gouvernementale. Bourré de drogues dures comme la Kétamine, Musk est chargé de procéder à des coupes drastiques dans de nombreux programmes et agences gouvernementaux et à licencier des milliers de salariés fédéraux. Son influence s'étend sur les pays européens, apportant publiquement son soutien à des partis d'extrême droite pour saper ce qui reste de démocratie en Europe.
Elon Musk, le plus riche du monde, est libertarien.
Le libertarianisme est une idéologie et philosophie politique développée aux États-Unis autour d'un groupe de théories qui donnent une priorité stricte à la liberté et au droit naturel, mettant l'accent sur la liberté de choix, l'individualisme et l'association volontaire sur d'autres valeurs telles que l'autorité, la tradition et l'égalité. L'État est de ce fait une institution coercitive, illégitime, voire inutile à valoriser la liberté individuelle et d'association volontaire.
Le libertarienne Hannah Arendt est plus politologue que philosophe. Elle est connue pour ses travaux sur le totalitarisme, la modernité et la philosophie dans l'histoire. Elle considérait que « la majeure partie de la philosophie politique depuis Platon s'interpréterait aisément comme une série d'essais en vue de découvrir les fondements théoriques et les moyens pratiques d'une évasion définitive de la politique civile et du savoir-vivre. Juive, elle a été chargée par Blumenfeld de recenser les thèmes de la propagande antisémite. Arrêtée en 1933 par la Gestapo et relâchée, elle a quitté l'Allemagne pour s'expatrier aux Etats Unis. Ses nombreuses citations cachent des métaphores et d'autres figures de style sur les thèmes de la liberté de la presse, des tromperies, de l'obligation de penser, des mots justes, du totalitarisme, de la vérité, de l'éducation, de la solitude, de la dépendance, de l'influence des autres, de la culture, des idéologies, de la croyance et du vide.
En principe tout le monde est corruptible. Tout est dépendant du nombre de zéros d'un montant derrière un chiffre significatif.
Trump fait de la pub en achetant une Tesla alors que les ventes de la Tesla sont en chute libre. D'après lui, ce n'est pas de la pub, mais presque une obligation d'acheter des Tesla pour soutenir l'économie américaine.
Les Etats-Unis ont une longue histoire liée à l'argent que l'on appelle "Le culte de la richesse".
Pour les plus riches, Dieu est le seul maître.
"En France, l’économie de guerre » du concept à la réalité".
Poutine joue au Calimero quand on voit les trois épisodes du documentaire "Les poisons de Poutine" qui sont passés sur notre antenne.
La dictature est souvent commencée par une démocratie pour attirer des électeurs.
La typologie des démocraties contient plusieurs volets.
La sociale démocratie a vécu longtemps dans la relative douceur avec un rythme de bon papa. Ces derniers temps, la démocratie a du plomb dans l'aile. Le droit à l'expression est dans le collimateur des dictateurs qui n'aiment pas être appelés ainsi, même s'ils le sont en réalité.
Des réactions de démocrates se perdent seulement dans des conjonctures de timing avec des dictateurs.
Le plus grand souci de la démocratie, c'est qu'elle est souvent trop lente à se mettre en place. Trop de personnes avec des idées différentes à réunir pour gouverner un pays alors que dans une dictature où il suffit d'avoir un leader charismatique qui prend des allures de dieux sur terre et quelques prophètes qui vendent ses idées.
Un pourcentage non négligeable de citoyens désirerait un pouvoir fort.
Octobre 2024, le magazine philosophie posait une question bête et méchante
- Novembre 2023, j'écrivai "L'esprit démocratique s'étiole"
- Octobre 2010, "Bye-Bye démocratie ?"
- Août 2018, "L'automne de la démocrature ?"
J'arrête ici. La messe est dite.
Selon le documentaire "USA - Histoire militaire", les Etats-Unis n'ont jamais cessé d'être en guerre quelque part dans le monde.
Alors, est-ce que nous sommes entrés dans une économie de guerre ou plus prosaïquement, prêt à subir seulement une guerre commerciale ?
- On tente les deux, mon Capitaine.
Cela dépend de la tendance dans laquelle nous pencheront dans le futur et en répondant à la question suivante :
- Comment transférer nos responsabilités à des représentants qui, individuellement ne respectent pas des lois et nous ferment ensuite la gueule ?
- Devons-nous adopter la méthode de "Humour noir" avec des brutes qui gouvernent et des abrutis qui les applaudissent ?
A qui profite les guerres par 'l'effet drapeau"
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J'ai parlé de ce qu'est, pour moi, "Etre patriote aujourd'hui".
Le patriotisme est avant tout basé sur la loyauté envers sa patrie, tandis que le nationalisme est un projet politique pouvant avoir des connotations liées à une association avec des forces utilisant la violence, le rejet de l'autre, voir le terrorisme. Ce n'est donc pas des synonymes.
Autre question : à qui profite aussi les crimes ?
En temps de paix, quand on tue quelqu'un, on devient un assassin, mais en période de guerre, quand on tue 1.000 personnes, on reçoit des gallons et on devient général.
L'économie de guerre à l'américaine
Elle commence après l'attaque de Pearl Harbor le 7 décembre 1941. Elle vise à maximiser la production militaire et en demandant à la population américaine de soutenir l'effort de guerre par des mesures économiques adoptées successives : Cela se résume par 4 opérations :
- Mobilisation industrielle et économique par le War Production Board
- Régulation de l'économie et rationnement par l'Office of Price Administration et le financement par des War Bonds,
- Mobilisation de la main-d'œuvre par "Rosie the Riveter".
- Conséquences positives en mettant fin à la Grande Dépression et au chômage massif des années 30 et négatives par l'invasion des produits américains et la dépendance vis-à-vis des Américains.
En Belgique, à la fin de la guerre
Quand le spectre de l'inflation, héritée de l'entre-deux-guerres, l'Opération Gutt veut relancer l'économie. En octobre 1944, Camille Gutt imagine un stratagème qui remplacerait la papier-monnaie tout en bloquant les avoirs en banque et aux comptes chèques postaux pour contrôler de la masse monétaire. Dans la semaine du 7 octobre 1944, tous les citoyens belges doivent déposer leurs anciens billets de plus de 100 francs "anciens" à la banque. Ceux de 20 et 50 francs restent valides. Puis, 2.000 "nouveaux" francs belges constituant 10 % des avoirs peuvent être retirés. Le surplus reste bloqué, remboursable à la reprise de la production. Les chefs d'entreprise peuvent retirer 1.000 francs par personne employée et 3.000 francs à la fin du mois. Pas de demande d'avances à la banque centrale nationale. En finale de cette stratégie, 34 milliards de FB sont remboursés, 64 milliards sont convertis en emprunts financés par un impôt spécifique. La masse monétaire est ainsi passée de 140 milliards de billets de banque à 25 milliards
Parler de "la stratégie du maillon faible au sujet de la Grèce qui subissait encore les affres de la dictature des colonels. avec une sous-évaluation de leurs potentiels pour entrer dans l'Europe. Les banques se sont fermées. Les fonds sont bloqués pour la population.
Le billet "À droite toute" est la tendance actuelle en Belgique et dans d'autres pays européens probablement après un décalage dans le temps avec les réussites électorales de Trump 1er et 2nd. En préambule de ce billet, la vidéo "A droite toute" raconte l'histoire de la montée de l’extrême droite française juste avant la Seconde Guerre mondiale entre 1935 et 1939, avec à la base, un complot dans lequel personne ne sort indemne de l'histoire.
Le cas du cancer de Emilie Dequenne extrêmement rare dont je parlais dimanche, je le commence par autre chose que la politique par son volet médical : Pourquoi le cancer touche de plus en plus les moins de 50 ans ? 4 belges sur 100 sont diagnostiqués d’un cancer. Le décès de l’actrice Emilie Dequenne nous a rappelé que cette maladie touche les plus âgés, mais frappe aussi les plus jeunes. Le nombre de patients atteints d’un cancer est en augmentation, notamment chez les moins de 50 ans.
En hommage à Emilie Duquenne, je prends le film "Chez nous" dans lequel elle a joué le rôle de Pauline, infirmière libérale. Confrontée à la misère sociale, à la disparition des services publics, tout en jonglant avec une vie personnelle bien remplie. Elle s'occupe de son père, ancien métallurgiste malade de l'amiante. Ses enfants, qu'elle élève seule. Un jour, le docteur Berthier, médecin fortuné et ancien député européen, lui propose de se présenter aux élections municipales en tête de la liste du Rassemblement National Populaire (RNP), mouvement populiste du Bloc Patriotique, parti d'extrême-droite. Pauline se laisse séduire par le discours, à la fibre sociale, en appelant au peuple, de Berthier qui évoque la notoriété et l'empathie de Pauline, et le soutien de ses amis, ouvertement racistes. Elle accepte d'être candidate. Des proches se détournent d'elle et n'est plus la bienvenue chez certains de ses patients".
Le billet "Gauche, droite, gauche..." parle des mutations politiques qui existent à la suite de fréquentations douteuses. Henri de Man, le plus authentique penseur socialiste du 20ème siècle, a dérivé progressivement vers le fascisme.
Quand on est sous "Sous des influences convictionnelles", tout passe à la trappe des souvenirs de bien-être. Si l'argent est le nerf de la guerre, il est aussi le sang de la vie pour le commun des mortels.
Il y a cinq ans le Covid-19 à monopoliser tous les moyens financiers pour éradiquer cette épidémie. La recherche d'un vaccin efficace et sa mise en place, ont été attaquée par une multitude de mésinformations et de complotistes sur les réseaux sociaux. Le "quoi qu'il en coûte" a permis de trouver des fonds de grandes ampleurs et de s'en relever vaille que vaille. Le FMI est intervenu et à contribuer au redressement. Il s'agissait de prêts qu'il fallait rembourser en payant des intérêts dont les taux sont restés, heureusement relativement bas. Le réapprovisionnement des fonds de réserve a eu lieu pour prévenir un nouveau mauvais coup du sort.
La nouvelle épidémie de Covid se retrouve peut-être dans l'administration MAGA de Trump. Dans ce cas, il n'est pas à espérer qu'elle soit trop longue.
Samedi, environ 300 personnes se sont réunies pour une "manifestation couchée", organisée, devant la gare de Bruxelles-Central. L'objectif ? Défendre les droits des malades du Covid long et "lutter contre l’oubli du Covid", selon les associations "Not recovered Belgium" et "Long Covid Belgium". "Chaque effort que je fais, je le paye tout de suite", disent plusieurs malades de Covid long.
Ce matin, la plume de Thomas Gunzig parle d'un sujet qu'il déteste : les jeunes.....
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Germany is back.
Elle s'arme à fond la caisse.
L'administration de Trump créera-t-elle un esprit Make Europe Great Again long ?
Qu'est ce qu'un rapporte sain à l'argent ?
Le magazine Philosophies se posait la question.
La Fable de La Fontaine "La Cigale et la Fourmi" revient tout de suite à la mémoire.
Le magazine Philosophie permet de s'évaluer en fonction d'une série de questions tendancieuses qui seraient révélatrices de son caractère face à l'argent. J'ai passé le test d'évaluation. Sans surprise, je suis positionné parmi les fourmis.
Le cactus sur l'argent trop cher vous donnera le contenu avec une contenant humoristique et performant
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L'argent n'est pas un problème en soi quand il reste liquide. Pour raison de facilité, il est distribué par les banques mais avec 625 euros de maximum par semaine. Tout doit devenir transactionnel pour laisser des traces.
Nous allons connaitre une stagflation qui correspond à la combinaison toxique d'une inflation toujours élevée et d'une économie faible ou stagnante. Les magasins ferment. Les achats et les ventes stagnent. Leurs travailleurs sont au chômage.
L'argent est fait pour rouler et pas pour stagner. Il apporte des potentiels de réalisation de projets importants mais dépend surtout de ce qu'on en fait et cela ne veut pas dire uniquement consommer bêtement.
“Celui qui accomplit de grandes choses ne rechigne pas devant de menues dépenses.”
A la retraite, je me suis retiré de tout cela. J'avais prévu que la pension de retraite n'allait pas être au sommet.
Le coût de la vie, je l'avais appelé avec humour "Le "décoût" de la vie".
Puis il y a les innocents qui croient et se laissent entuber par Madoff "L'oracle maudit de la finance", qui n'a rien imaginé sinon retester le système de Ponzi. Ca marche(ra) toujours il l'a prouvé jusqu'au moment où la tendance haussière de la conjoncteur s'est retournée et que rembourser les prêteurs n'a plus pu se faire.
Les fondations du libre échangisme se fondent dans "le paradigme du partage".
La productivité, un vilain mot ? pour certains "oui" et pour d'autres "cela dépend si on a le vent en poupe".
L'utopie des égalités ? n'est pas un faux problème. Assumer les différences avec tellement de vues différentes dans l'esprit est loin d'être simple.
Mais d'après le cactus nous sommes dans des politiques du Comédy club alors tout est possible
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La RTBF répond tous les jours de la semaine lors d'un QR à une question des spéctateur. D'un air candide, j'avais posé la question : "Est-ce que le système serait perturbé si les travailleurs décidaient de prendre leur retraite quand ils le voulaient en tenant compte des années prestées". J'attends encore la réponse. Je n'avais pas donné de spécifications si c'était en avant ou après l'âge l'égal de 65 ans en Belgique.
Ploutos désignait le dieu de la richesse et de l'abondance tout comme les Egyptiens antiques qui représentaient leur sagesse et leurs vices à des dieux avec des têtes d'animaux dans leur mythologie en préparant leur vie éternelle. Plus question de redouter l'enfer puisqu'ils repartaient avec tous leurs biens.
Vous prenez une personne en particulier. Vous lui parlez les yeux dans les yeux, Vous vous dites "il ou elle est charmante". Vous commencez à lui écrire franchement. Le contact devient houleux. Vous la rencontrez dans un groupe d'autres personnes sous l'influence par des convictions, de proche en proche, elle devient votre ennemi et est prête si vous insistez, en la poussant un peu, à vous tuer. Voilà, le monde des hommes dans des splendeurs inavouables. Les autres êtres vivants ne connaissent ni l'argent ni la guerre. Les mâles se battent seulement pour séduire et conquérir une femelle dans le but de la meilleure reproduction de l'espèce.
'Faites l'amour, pas la guerre" disait le slogan antiguerre issu de la contre-culture des années 1960 aux États-Unis (Make Love, Not War).
Georges Bizet avait déjà tout dit dans son opéra "Carmen"
La nouvelle chanteuse Ilona sort son album en reprenant le même thème
Allusion