Les Jeux Olympiques 2012, qui va tenir le flambeau ?
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lundi 4 juillet 2005
L’heure du résultat approche à deux jours de la désignation de la ville qui accueillera les Jeux olympiques de 2012. Le suspense est à son comble. Quoi qu’il arrive, pourra t-on en vouloir au maire de Paris Bertrand Delanoë dont la communication sur les JO à Paris relevait presque de l’affaire personnelle ? De Singapour, où il appuie la candidature française quelques échos se font entendre : « nous sommes sereins, à l’aise, transparents » a déclaré le maire de Paris Bertrand Delanoë.
« Paris et la France sont prêts et sont en harmonie complète avec ce que peut être l’olympisme en ce début de XXIe siècle », « La victoire sera collective » et puis encore un tour de piste : « nous continuerons jusqu’à la dernière seconde à honorer l’esprit du sport, c’est-à-dire le fairplay ». Londres réplique sur un autre terrain, pour l’architecte du futur stade olympique londonien Rod Sheard le stade de France a été conçu pour le football et pour le rugby, or le rugby n’est pas un sport olympique. Le combat des chefs est donc lancé, le CIO se réunit Mercredi prochain pour le couronnement final à Singapour : finalement nous sommes tout près de la boxe Thaï.
La guerre des derniers jours des JO 2012 entre Londres et Paris est lancée. Concernant l’invitation du premier ministre britannique Tony Blair pour les membres du CIO, Jacques Rogge, Le président du Comité international olympique a déclaré "Les contacts entre des membres de la candidature d’une ville, dans un sens large, et des membres du CIO sont parfaitement permis".
Un tsunami à Singapour pour la délégation Franco-Delannoïenne ?