Pies Impies et Pies qui chantent

par lisca
jeudi 16 décembre 2021

 

Les médias-baleines, croqués par des requins marteau, se contorsionnent sur les plages de l'hiver. En sortent des scies à dormir debout, qui brouillent l'info. Mais comme il faut que les nouvelles circulent, des pies dans le jardin France se sont mises à faire leur petit sherlok au nid.

Quand elles ne sifflotent pas un touit occasionnel, ces pies se lancent, entre deux nuages de grêle, dans la recherche du réel tous azimuths.

 

Il y a les contes pour petits gosses censés bien se terminer, et la réalité parfois monstrueuse. Elles font du tri sélectif.

Et que je te fouille les dossiers, les archives, les poubelles, les généalogies. Elles nous débusquent de drôles de bêtes de l'événement ; des anguilles sous roche, bien charnues quoique immangeables.

 

La dernière sherlokette se prénomme Natacha. Elle a découvert des trucs vraiment fous. Fous ou folle ? Vous choisirez. Une revue non subventionnée, très lue dans les ambassades parle de sa trouvaille de façon détaillée.

Si l'information révélée – avec la promesse que d'autres vont suivre – est exacte, il faut se rendre à l'évidence : notre perception du pouvoir, de l'Etat, du pays dont nous croyons faire partie, est tourneboulée : notre univers vacille et nous ne savons pas tout à fait qui nous prend pour des brêles et qui nous parle franc, dans les sphères bureaucratiques.

Bon et moi là-dedans, direz-vous. Hier, c'était pareil. Ce qui est nouveau, c'est que la situation induite par la spéculation devient intenable. Il faut trouver des vraies valeurs qui paient, ça urge.

 

La pie réfléchit en becquetant le caniveau. Pourquoi tant de célébrités ont-elles, depuis le covidisme, disparu des radars ? Oh, direz-vous, il y a eu Elvis Presley autrefois, possiblement échappé des griffes de ses agents et producteurs cupides par la ruse : un exil complet, secret, aux antipodes, une fausse mort.

Ces stars en ont fait autant, c'est tout. Elles ont eu peur ; elles donnent l'exemple.

 

Non. Car il y a trop de faux-semblants. Nicole Kidman brutalement rajeunie, remplacée par une actrice ingénue aux doux yeux bleus, le 4 décembre dernier (NK a la cinquantaine, en réalité, et le regard dur), Woody Allen qu'on ne voit plus nulle part et qui présenterait cette année un film a priori ridicule (pour couler sa mémoire ?). Hillary Clinton, qui souffrait d'une grave thrombose début 2013 (après vaccin, avant tout le monde ?), et qui se fait remplacer par une comédienne ou une autre, elle aussi, lors de ses sorties médiatiques.

Que sont leurs sosies devenus, qui nous avaient si près tenus, jamais lâchés ?

Eux et tant d'autres stars pixellisées ne peuvent s'être ainsi volatilisés.

De quoi auraient peur ces stars en déclin, d'ailleurs ? D'un virus dont leurs semblables se moquent ouvertement ? De l'ennemi public numéro 1, le traqueur universel ?

D'autant plus qu'il faut beaucoup d'argent et d'entregent pour pouvoir se terrer tout confort dans un abri en sous-sol. Or nul argent n'est insaisissable, nulle cache éternelle si la Banque en a ainsi décidé.

 

La Banque justement voudrait bien faire autre chose qu'imprimer des feuilles volantes. Elle aime le tangible. Qui peut lui donner du solide ? Ni vous ni moi, même s'il reste quelques petites choses à glaner. Elle pense utiliser un jour peut-être, après OGMisation et homogénéisation, l'être humain global : un pôv type ielisé, dégénéré, abâtardi, stérile, forever young jusqu'à sa date de péremption. Un imbécile heureux !

Mais il y a du grain de sable dans les rouages.

Souvenir : quoi des cohortes mercenaires feraient la loi dans nos foyers ?!!!!

Et maintenant dans notre patrimoine génétique !

 

Presque rien à tirer de nos poches percées, même si le beau sang rouge et la cellule humaine restent banquables et rapportent, au détriment de leur ex-propriétaire. À l'inverse, les célébrités, sang bleu ou pas, ont de beaux restes qui peuvent changer de mains.

Supposition :

Pour s'emparer des biens meubles et immeubles d'un riche non décideur, il faut y aller à la forban de guichet ou de prétoire : l'accuser d'un détournement de mineur qu'il a très probablement commis avec ou sans son plein gré, grâce à la mafia dissimulée qui maître-chante et veille au grain. C'est ce qu'on fait de mieux comme accusation. En effet, une bande organisée n'ira pas inculper son client ou protégé de vols, escroqueries, abus financiers, mensonges criminels, chantage : elle se tirerait dans les pattes et démaillerait le filet qu'elle a patiemment tissé.

 

Le plein-aux-as est donc accusé dans une affaire de mœurs, gravissime (crimes sur enfant) ou pas. On lui sort des photos. Il est atterré. Il ne voulait pas, on l'a forcé ou enivré ou menacé. Parfois il est intimement mêlé aux abus depuis l'enfance, en tant qu'otage de la CIA, victime devenue bourreau à son tour.

Mais il n'a pas vraiment d'avocat, le procès n'est pas vraiment public. S'il ne signe pas une confession, sa descendance se verra affectée d'une façon ou d'une autre, et sa mémoire sera souillée. Il se confesse alors, à la mao ; on n'entendra plus parler de lui autrement qu'en fiction. C'est le deal, paraît-il. Fictif ? En vrai ?

 

Qui le confesse ? Mystère. Des amis pourfendeurs d'abus, style Robin des bois ? Des grandes ou même moyennes puissances qui se vengent sur la zélite après avoir gagné une manche militaire ? La bande organisée des maîtres-chanteurs qui veut supprimer les témoins de ses propres crimes ? Un tribunal parallèle, militaire, créé de toutes pièces ?

On ne nous le dira pas.

 

Le prince Andrew, qu'attirait Ghislaine Maxwell – pas une jouvencelle, celle-là – se voit embarqué dans les affaires louches de cette personne qu'il suivait un peu partout. Il pensait s'amuser en toute discrétion comme un garnement dans une île perdue, le voilà brutalement déchu de ses prérogatives de prince royal, entraîné dans la chute de l'astre implosé, sa réputation terminée, sa famille empêtrée, ses loisirs empêchés. Il y a de quoi lorgner sur les biens de la famille en question, avouez-le ; et c'est pour ça qu'on l'accuse, pensent ses avocats très bien payés.

Un ami du titré précise que "le prince est confiné la plupart du temps à Royal Lodge (Windsor) depuis novembre 2019 ". Pas plus libre qu'un vaxxé deux-doses, donc. Au moins, c'est joli chez lui.
 

Sa Lisbeth de mère, invisible, a communiqué il y a un mois une conversion prolixe au climatisme, mais par vidéo uniquement, ce qui est 100% inhabituel et même shocking. Depuis, rien. Le prince Charles et Harry le neveu sont aussi aux abonnés absents.

Que se passe-t-il ? Nous croirons à l'existence des Windsor quand nous verrons la reine au balcon, avec ses fils, face à la foule, filmés de près. En présentiel comme disent les maîtres de l'esbroufe. Ainsi le veut la coutume, qui n'est pas sotte, loin de là.

 

Une hypothèse sortie du chapeau : imaginons que trois puissances de ce nouveau monde (Russie, Chine, États-Unis en partie) se soient mises d'accord pour en finir avec le Vieux Monde fabriqué en 1945 et qui, épuisé, traîne ses tatanes.

Ajoutant à la plèbe ceux qui se prennent pour l'élite, le plus souvent à tort.

Y aurait-il une famille bancaire émergente inconnue agissant contre une autre rassise, spéculative, pyramidale à la Ponzi, quasi-moisie, faiseuse de stars ?

Il s'agirait de TOUT remplacer sauf quelques familles de décideurs (les plandémiaques) et la nouvelle famille bancaire. La plupart des vieux enfants gâtés du vieux monde seraient ainsi voués à la disparition.

Nous en serions à la phase : cours camarade. Slogan destiné aux argentés qui peuvent se payer avion et faux passeport ; injonction incrémentée d'un doigt attalien, qui devient pour la populace : à la niche, bon à rien ! Toi la course, c'est pour demain.

 

Comme on le voit (le déplore, s'en réjouit ?) le vieux monde est cerné par des forces obscures, il cherche à s'abriter quelque part. Mais, comme pour les cavaleurs en vadrouille des confinements planétaires : police partout, justice qui s'marre ! Où se réfugier quand, dans son pays à soi (qu'on croit tel) des maîtres-chanteurs nébuleux/globuleux, qui considèrent les habitants, inclus leurs "protégés", comme autant de serfs, de vaches à lait ou de cobayes sous chantage, décident du sort de ces derniers ?

 

Où ? Là-haut ! crie la pie impie. Dans mon nid, j'ai un trésor.

 


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