Macron vend l’immigration (aux frais du contribuable) au patronat
par politzer
vendredi 30 mai 2025
mais il n’assure pas le service après-vente dont les citoyens subissent les dommages
Sous François Bayrou, Premier ministre depuis décembre 2024, ces enjeux sont esquivés au profit d’un discours vague d’« unité nationale ».
Pendant ce temps, la « petite bourgeoisie » du Parti socialiste (PS) et de La France insoumise (LFI) s’acharne contre le Rassemblement national (RN) pour protéger son alternance et les prébendes de l’État, distribuées à leurs obligés.
Cet article décrypte ce marché inéquitable, ses gagnants et ses perdants, et propose des solutions inspirées de la taxe de Marc Chesney, des fraudes dénoncées par Charles Prats, et de l’héritage de Georges Marchais.
Une immigration au service du patronat
L’immigration économique, avec environ 30 000 entrées par an (INSEE, 2024), est une aubaine pour les secteurs à faible rentabilité comme le BTP, la restauration, l’agriculture et les services. En 2023, 1,2 million d’emplois peu qualifiés étaient occupés par des immigrés ou leurs descendants, à des salaires 20 % inférieurs à la moyenne nationale (DARES).
Cette main-d’œuvre, souvent précaire et non syndiquée, permet aux entreprises de compenser la baisse de leur profitabilité (30 % en 2023 contre 35 % en 2000, selon Patrick Artus).
Le Medef et les fédérations patronales (BTP, hôtellerie) organisations anti nationales, soutiennent cette immigration, qui évite une hausse des salaires nuisible à leurs marges.
Ce « deal » repose sur les contribuables. Les coûts associés à l’immigration – accueil, logement, santé, éducation, aides sociales – s’élèvent à environ 20 milliards d’euros par an (OCDE, 2023). Ces dépenses, financées par les impôts (TVA, impôt sur le revenu, taxes locales), ne subventionnent pas directement les emplois, mais permettent d’intégrer les immigrés, dont les salaires bas profitent d’abord aux entreprises. Par exemple :
Logement : 2 milliards pour les centres d’accueil et l’hébergement d’urgence.
Santé : 3 milliards pour l’Aide médicale d’État (AME) et les soins.
Éducation : 5 milliards pour scolariser 200 000 élèves migrants (2023).
Aides sociales : 10 milliards pour le RSA, allocations familiales et autres prestations.
Les citoyens paient pour un système qui favorise le patronat, tandis que les entreprises encaissent les bénéfices. Cette iniquité, dénoncée comme une « vente » sans « service après-vente », fait écho à l’avertissement de Georges Marchais (1981) : l’immigration sert le capital en divisant les travailleurs.
Macron, pour apaiser les critiques, a durci son discours (loi immigration 2023) tout en maintenant les flux économiques sous la pression des lobbies. Ce double jeu – contrôle affiché, ouverture réelle – renforce l’impression d’une immigration livrée au patronat, sans assumer les conséquences pour la société.
Le fiasco du « service après-vente » : un chaos pour les citoyens
Si le patronat encaisse les profits, les citoyens subissent les effets d’une immigration anarchique, sans que l’État ne gère les retombées. Insécurité, narcotrafic, tensions raciales et fraudes alimentent une défiance massive (74 % des Français ne font pas confiance au gouvernement, Elabe 2025).
Insécurité et narcotrafic
La peur pour la sécurité des enfants domine. En 2023, la France a recensé 1 010 homicides, dont 152 mineurs (15 %), souvent victimes de rixes ou de violences liées au narcotrafic (SSMSI, 2024). Les agressions à l’arme blanche (44 000 cas, dont 8 800 contre des mineurs) ont grimpé de 10 % depuis 2019. Le narcotrafic explose, avec 27 tonnes de cocaïne saisies (UNODC, 2023), mais seulement 10 % des conteneurs portuaires sont contrôlés. Des jeunes, dès 12 ans, sont recrutés comme guetteurs ou dealers, alimentant les violences urbaines.
Les Français nés de parents immigrés (2e génération, 15 % de la population) sont surreprésentés dans ces délits : 25-30 % des mis en cause pour vols violents, 20-25 % pour homicides (SSMSI, 2023). Ce « lumpen d’origine immigrée », attise les tensions dans les quartiers sensibles, où des parents impuissants, indifférents ou complices aggravent le chaos. Bayrou promet 10 000 policiers d’ici 2027, mais c’est insuffisant face aux 20 000 nécessaires pour atteindre le ratio allemand (4,5 agents pour 1 000 habitants).
Tensions raciales
Le racisme anti-blanc, reconnu par Bruno Retailleau et Sophie Primas (2025), représente 6-12 % des plaintes pour racisme (CNCDH, 2024). Dans les lycées et transports, 29 % des parents blancs signalent des insultes (« sale blanc ») ou des agressions contre leurs enfants (CSA, 2023). Ces aberrations, fruits d’une intégration défaillante, sont un effet collatéral d’une politique migratoire acharnée. Bayrou, pour ne pas fracturer sa coalition (MoDem, LR, Renaissance), évoque la « cohésion » sans aborder ces tensions, renforçant le sentiment d’abandon.
Fraudes sociales et fiscales
Les fraudes, mises en lumière par Charles Prats, alourdissent la facture. Les fraudes sociales (cartes Vitale frauduleuses) coûtent 2 à 10 milliards d’euros par an, souvent liées à des non-résidents. La fraude fiscale (paradis fiscaux, multinationales) atteint 80 milliards (Prats, 2024). Ces pertes, financées par les contribuables, profitent à des élites économiques et à des réseaux criminels. Bayrou, sous l’influence des lobbies, ignore ces alertes, laissant les Français payer pour un système défaillant.
La « petite bourgeoisie » PS-LFI contre le RN : protéger l’alternance et les prébendes
Un acteur clé de ce silence est la « petite bourgeoisie » politique du PS et de LFI, qui lutte contre le RN non par conviction, mais pour préserver son alternance et monopoliser les prébendes de l’État, distribuées à leurs obligés dans l’appareil public.
Motivations de la lutte contre le RN
Préserver l’alternance
Système bipartisan : Depuis 1981, PS et LR (puis Renaissance) se partagent le pouvoir via une alternance qui garantit leur accès aux postes. Le RN, avec 35 % des intentions de vote (IFOP, mai 2025), menace ce système en refusant toute coalition. Une victoire du RN (par exemple, en 2027) pourrait imposer une proportionnelle ou des référendums, marginalisant PS (6 % en 2022) et LFI (15 %, IFOP 2025).
PS : Réduit à ses bastions locaux (50 mairies de plus de 30 000 habitants, 7 régions en 2021), le PS craint une percée du RN dans les banlieues populaires (20 % en Seine-Saint-Denis, 2022), qui fragiliserait ses fiefs où il place ses cadres.
LFI : Forte dans les quartiers immigrés (70 % pour Mélenchon en Seine-Saint-Denis, 2022), LFI perd les ouvriers blancs au profit du RN (35 % vs 15 %). En diabolisant le RN, LFI protège son électorat et son rôle dans l’opposition.
Monopoliser les prébendes
Un gâteau juteux : L’appareil d’État offre des milliers de postes et avantages :
Élus : Un député gagne 7 500 euros net/mois, un ministre 10 000 euros, un conseiller municipal 500-2 000 euros. Les élus locaux (500 000 conseillers) cumulent souvent des mandats, pour 10 milliards d’euros/an (Cour des comptes, 2023).
Cabinets et agences : 10 000 conseillers ministériels/régionaux touchent 5 000-15 000 euros/mois. Les agences publiques (CNIL, ADEME) emploient 50 000 cadres à 4 000-10 000 euros/mois.
Entreprises publiques : Les PDG de la SNCF ou d’EDF, souvent proches du PS ou de LFI via des réseaux (ENA, Sciences Po), gagnent 400 000 euros/an.
Coût total : La fonction publique élective et para-étatique mobilise 1,2 million de personnes, pour 80 milliards d’euros/an.
PS : Le PS a colonisé l’appareil d’État (mairies, régions, associations). La mairie de Paris (PS) emploie 50 000 agents, dont 10 % dans des postes de complaisance (Cour des comptes, 2022). Les subventions aux associations (1 milliard/an) servent à placer des obligés.
LFI : LFI profite des postes parlementaires (77 députés en 2022, 5 000 collaborateurs à 3 000-7 000 euros/mois). Les proches de Mélenchon (conseillers, communicants) bénéficient de ces prébendes.
Alliance avec Macron : un front populaire de façade
Contexte : En 2022, PS et LFI ont formé la NUPES pour contrer le RN, puis soutenu Macron face à Le Pen (67 % des voix PS/LFI au second tour). En 2024, face à la montée du RN (35 %), ils se rapprochent de Renaissance dans un « front républicain », qualifié de « front populaire » par LFI, mais loin de l’esprit de 1936.
Motivations :
PS : En déclin, le PS s’accroche à Macron pour conserver ses postes locaux et négocier des maroquins (ex. : ministres PS en 2017). En luttant contre le RN, il se pose en rempart moral, masquant son effacement.
LFI : Malgré ses critiques de Macron, LFI soutient le front anti-RN pour sécuriser ses sièges et son influence dans les banlieues. Mélenchon, accusé de clientélisme (subventions aux associations communautaires), protège son électorat immigré.
Hypocrisie : Ce « front populaire » est une alliance opportuniste pour préserver l’alternance PS-LFI-Renaissance, qui garantit les prébendes, pas une union des travailleurs.
Contradictions idéologiques
PS : Jadis parti des ouvriers, le PS s’est embourgeoisé (70 % de ses élus sont CSP+, INSEE 2024). Il défend l’immigration pour plaire au patronat (subventions aux entreprises). En luttant contre le RN, il évite l’insécurité, qui fragiliserait ses mairies.
LFI : LFI prône la justice sociale, mais son discours pro-immigration heurte les ouvriers blancs (35 % pour le RN). En s’alliant à Macron contre le RN, LFI trahit l’héritage de Marchais, qui dénonçait l’immigration comme un outil du capital.
Pourquoi ce silence ?
Le silence de Macron, prolongé par Bayrou, s’explique par :
Pression patronale : Le Medef (10 millions d’euros pour Renaissance en 2023) exige l’immigration économique. Une restriction augmenterait les salaires, nuisant aux marges.
Crainte du RN : Nommer l’insécurité ou le racisme anti-blanc doperait le RN (35 %). Bayrou esquive pour préserver sa coalition.
Crise budgétaire : Avec une dette à 120 % du PIB, Bayrou privilégie des prélèvements temporaires (loi de décembre 2024).
Complicité PS-LFI : En luttant contre le RN, PS et LFI sécurisent leurs prébendes, au détriment des Français.
Solutions : réparer les dommages, briser les privilèges
Pour répondre à ce fiasco, des solutions s’imposent, inspirées par Chesney, Prats, et Marchais :
Recruter 20 000 policiers d’ici 2028 (3,8 pour 1 000 habitants vs 4,5 en Allemagne).
Sécurité
Tripler les contrôles portuaires (10 % à 30 %) pour bloquer la cocaïne (27 tonnes saisies, 2023).
Doubler et élire les juges (1 pour 10 000 habitants) pour juger 80 % des plaintes.
Immigration :
Stopper l’immigration
Taxe Chesney : Une micro-taxe (0,01-0,2 %) sur les transactions électroniques pour supprimer la TVA (150 milliards) et les impôts , redonnant 1 500 euros/an aux ménages, et taxer les narcos (50 milliards de blanchiment).
Fraudes : Auditer les cartes Vitale (2 milliards récupérables) et récupérer 40 milliards de fraude fiscale (Prats).
Prébendes : Réduire de 50 % les indemnités des élus (5 milliards économisés) et supprimer 50 % des postes dans les agences publiques.
Tensions : Reconnaître le racisme anti-blanc (6-12 % des plaintes) et autoriser les statistiques ethniques.
Conclusion
Macron a livré l’immigration au patronat, offrant 1,2 million d’emplois à bas coût financés par 20 milliards d’impôts pour l’intégration des migrants, mais il a abandonné les citoyens face à l’insécurité (152 mineurs tués, 44 000 agressions), aux tensions raciales et aux fraudes (80 milliards). Bayrou esquive, tandis que PS et LFI luttent contre le RN pour protéger leur alternance et leurs prébendes (80 milliards pour l’appareil d’État). La taxe Chesney, les réformes de Prats, et l’esprit de Marchais – stopper l’immigration– offrent une voie pour rétablir la justice. Sans action, la colère des Français, qui veulent leurs enfants en vie, risque d’exploser.