Grippe aviaire : argent public gaspillé
par proxy
mardi 18 octobre 2005
Comment le gouvernement français « bluffe » ses administrés sur l’efficacité de produits antiviraux (dont le Tamiflu) et dépense l’argent des contribuables pour son profit et celui des laboratoires pharmaceutiques.
Des voix expérimentées en médecine et des rédacteurs pertinents s’élèvent progressivement contre le battage médiatique de la grippe aviaire. Voilà comment monopoliser les Français sur un sujet "fiévreux", et l’État montre que la santé de ses administrés lui tient à coeur, puisque des millions de doses d’un pseudo-vaccin ont été emmagasinés, après paiement, via nos impôts.
D’autres quantités sont prévues, puisque des appels d’offre ont été promulgués et que des laboratoires se sont portés sur la liste en vue de ce marché juteux.
Tout cela avec l’aval des autorités gouvernementales, alors que ces vaccins sont vraisemblablement inutiles, puisque efficaces uniquement sur des souches virales humaines connues, et non pas sur le virus de la grippe avaire.
Le gouvernement, informé par des professionnels de la santé compétents, dilapide donc l’argent des contribuables en pure perte, sauf pour les laboratoires et le fisc pour la T.V.A. encaissée par les services fiscaux.
Qui plus est, les antiviraux, prescrits uniquement par ordonnance, engendreront d’autres frais, puisque la visite sera prise en charge par les CPAM et les bénéficiaires.
Les Français doivent être responsables, et refuser de céder à la panique.
Seule leur attitude citoyenne limitera le gaspillage orchestré par leur gouvernement et par les laboratoires.