Le Hamas : une organisation criminelle qui compromet la sécurité de Gaza et d’Israël
par Giuseppe di Bella di Santa Sofia
samedi 9 novembre 2024
Le 7 octobre 2023, le Hamas a déclenché une attaque surprise contre Israël, marquant une escalade tragique dans un conflit qui s’enlise depuis beaucoup trop longtemps. Cette offensive a non seulement entraîné une réponse militaire israélienne, mais a également mis en lumière la nature profondément criminelle de ce mouvement, qui se présente souvent comme un défenseur des droits des Palestiniens. Pourtant, derrière ce masque de résistance se cache une organisation terroriste, à l’idéologie mortifère, qui a causé d'innombrables souffrances aux Gazaouis eux-mêmes, tout en perpétrant des actes de terrorisme qui ne peuvent être justifiés par aucune cause, aussi noble soit-elle
Les crimes du Hamas : une histoire de violence et de terreur
Le Hamas, fondé en 1987, a toujours eu recours à la violence pour atteindre ses objectifs politiques. Ses attaques contre des civils israéliens, notamment par le biais de lancements de roquettes et la planification d'attentats-suicides, sont des actes de terrorisme qui ont causé la mort de milliers de personnes innocentes. Mais au-delà de ces agressions aux conséquences humaines tragiques, le Hamas a également instauré un régime de terreur à l'intérieur même de la bande de Gaza. Les Gazaouis vivent sous une oppression constante et oppressante, où la dissidence est réprimée par la violence. Les opposants politiques, les journalistes et même les simples citoyens qui osent critiquer le Hamas sont très souvent arrêtés, torturés ou exécutés.
Les nombreux crimes et méfaits du Hamas ne se limitent pas à la répression interne. L'organisation terroriste islamiste utilise, sans aucun état d’âme, les populations civiles comme boucliers humains, plaçant ses infrastructures militaires à proximité d'écoles, d'hôpitaux et de zones résidentielles. Cette stratégie monstrueuse non seulement met en danger la vie des Gazaouis, mais elle rend également toute réponse militaire israélienne plus complexe et tragique. En utilisant les civils comme instruments de guerre, le Hamas démontre un mépris total pour la vie humaine, tant celle des Palestiniens que des Israéliens, juifs ou non. L’État d’Israël et une nation cosmopolite où chaque citoyen, quelle que soit sa religion, dispose des mêmes droits. Il y a deux millions d’Israéliens qui sont musulmans, soit près de 18 % de la population totale, ce qui est loin d’être négligeable.
Le détournement des ressources et l'exploitation des Gazaouis
Le Hamas a également prouvé qu'il était capable de détourner les ressources destinées à la population de Gaza pour financer ses activités militaires et terroristes. Les milliards de dollars d'aide internationale, censés améliorer les conditions de vie des Gazaouis, ont été utilisés pour construire des tunnels, acquérir des armes et renforcer son appareil militaire. Pendant ce temps, les infrastructures de base, telles que l'eau, l'électricité et les soins de santé, continuent de se détériorer à une vitesse particulièrement alarmant.e Les Gazaouis souffrent de pénuries alimentaires récurrentes et d'un accès très limité, voire totalement inexistant, aux soins médicaux, tandis que le Hamas investit dans des projets militaires très coûteux.
Cette exploitation des ressources et des besoins fondamentaux des Gazaouis est une trahison de la mission que le Hamas prétend défendre depuis qu’il dirige la totalité de la bande de Gaza. Au lieu de travailler pour le bien-être de sa population, le mouvement islamiste choisit de prioriser ses ambitions militaires et politiques. Cette dynamique a conduit à une situation où les Gazaouis sont pris en otage par leur propre gouvernement, qui n’a plus aucune légitimité depuis de très nombreuses années.
La réponse militaire israélienne légitime
Depuis l'attaque du 7 octobre 2023, l’État d’Israël a intensifié ses opérations militaires contre le Hamas dans la bande de Gaza. Bien que ces actions soient souvent qualifiées de disproportionnées, il est crucial de comprendre le contexte dans lequel elles se déroulent. Le Hamas, en tant qu'organisation terroriste, a choisi de mener une guerre contre un État souverain qui bénéficie de la reconnaissance internationale, mettant en danger la vie de milliers de civils. La réponse israélienne, bien que douloureuse et souvent tragique pour les Gazaouis, vise à neutraliser une menace existentielle, qui met également en danger une bonne partie du Moyen-Orient.
Le Hamas a la capacité de mettre fin à ce conflit tragique en ordonnant à ses nervis fanatisés de déposer les armes. En choisissant de continuer le conflit, il met non seulement met en péril la vie des 2 200 000 Gazaouis, mais il renforce également la position de l’État hébreu, qui se voit contraint de protéger ses citoyens. La paix ne peut être atteinte que si le Hamas renonce à la violence définitivement.
La véritable nature du Hamas : un obstacle à la paix
Le Hamas se présente souvent comme un mouvement de résistance, mais cette image est trompeuse. En réalité, il constitue un obstacle majeur à la paix et à la prospérité des Palestiniens. En rejetant toute forme de négociation et en s'accrochant à une idéologie de violence, le Hamas empêche la création d'un État palestinien viable et bénéficiant d’une reconnaissance internationale. Les Gazaouis, qui aspirent à une vie meilleure, sont pris au piège d'un cycle de violences perpétuelles dont ils sont les premières victimes.
Les véritables résistants sont ceux qui œuvrent pour la paix, le dialogue et la coexistence. Les Gazaouis méritent un avenir sans terreur, sans oppression et sans guerre. Le Hamas, en tant qu'organisation terroriste qui prône la destruction totale de l'État hébreu, ne peut être considéré comme un représentant légitime de leur lutte. Au contraire, il est le principal responsable de leurs souffrances et de leur désespoir.
Considérer publiquement, notamment sur les réseaux sociaux, que le Hamas est un mouvement de résistance est une réelle imposture et révèle un manque cruel de discernement et d’aveuglement idéologique, ainsi qu’un mépris total de la vie humaine. D’ailleurs, cela constitue un délit d'apologie du terrorisme sévèrement puni par la législation française, entre autres.
« La prétention qu’a le terrorisme d’agir au nom des pauvres est une flagrante imposture. »
Jean-Paul II