Pourquoi un événement majeur se prépare pour mettre fin à la guerre en Ukraine ? Le paradoxe des guerres dans le progrès du monde

par Hamed
mardi 14 mai 2024

 Le monde aujourd’hui avec la guerre en Ukraine est à « un tournant de l’histoire ». Il est peu probable que cette guerre va se terminer rapidement et les pays concernés essentiellement occidentaux et russe prennent le chemin de la raison et trouvent des compromis pour arrêter cette guerre et qu’ils se dirigent résolument vers la paix. Tout laisse penser que la guerre en Ukraine va s’enliser et, dans la durée, provoquer des incertitudes telles que tout peut arriver.

Et qu’entend-on par incertitudes sur cette guerre qui risque de durer ? Et qu’arrivera-t-il en 2024 voire en 2025 si le conflit se prolonge ? Peut-on penser que la guerre en Ukraine restera en l’état, c’est-à-dire d’un côté l’Ukraine soutenue par l’Europe et les États-Unis, de l’autre la Fédération de Russie ; et les deux parties s’épuisent dans une guerre d’usure sans visibilité de sortie, et les combats durent depuis deux ans et bientôt trois mois de la troisième année.

Certes, des armements toujours massifs qu’apportent les États-Unis et l’Europe à l’Ukraine, et une volonté du pouvoir de Kiev de libérer ses territoires occupés par les forces russes, la guerre continuera jusqu’à la victoire : c’est ce que comptent l’Ukraine et ses alliés occidentaux mais depuis une année, l’Ukraine est sur la défensive. Ce qui n’est pas le cas pour la Fédération de Russie, pour qui plus le conflit dure plus le facteur temps semble militer plus pour son armée que pour l’armée ukrainienne qui risque de s’épuiser dans cette guerre, malgré les aides occidentales.

Cependant, il faut se méfier du facteur temps, le doute, avec le temps, va s’installer pour les deux parties. En effet, l’idée que la Russie battra en retraite et quittera l’Ukraine est déjà une option retenue par les pays occidentaux comme pour le régime de Kiev. Une telle situation si elle venait à arriver mettra en échec la Russie, ce qui affaiblira d’une manière considérable ses prétentions géostratégiques sur l’aire d’influence que l’OTAN et l’Occident lui disputent. Dès lors, la voie est balisée pour l’Occident d’élargir son aire d’influence à la Géorgie, la Moldavie, le Monténégro, l’Albanie au détriment de la Russie ; ce qui explique le soutien presque sans réserve de tous les types d’armements dont l’Ukraine a besoin, de même pour son financement par les États-Unis et l’Europe.

Cependant, le conflit semble s’enliser dans une guerre de positions, malgré les avancées de la Russie sur les lignes de front. Les avertissements du président russe Vladimir Poutine à plusieurs reprises aux pays européens sur le risque de cobelligérance dans le conflit, et la menace d’utiliser l’arme nucléaire, au cas où la Russie se trouvait en danger, a déjà été intégrée dans la riposte occidentale dans la guerre en Ukraine. Il est clair qu’aucune partie n’est intéressée d’en arriver là compte tenu des conséquences apocalyptiques qui surviendraient. Personne n’y serait à l’abri dans un conflit nucléaire.

Aussi tant que la Russie pense qu’elle va l’emporter, malgré le soutien massif en armements lourds et aériens à l'Ukraine et les sanctions économiques occidentales tout azimut, la situation restera maîtrisée, elle ne dérapera pas. Mais la situation a beaucoup évolué depuis deux ans ; depuis les contre-offensives ukrainiennes manquées, en 2022 et 2023, on parle de moins en moins de victoire de l’Ukraine sur la Fédération de Russie.

Cela signifie dans l’inconscient collectif des dirigeants européens et américains que l’issue de la guerre est déjà entendue, qu’il est très possible qu’elle se terminera par une victoire pour la Russie, cependant l'Ukraine reste toujours soutenue compte tenu des enjeux qui se jouent dans cette guerre. On comprend pourquoi la Suède et la Finlande, pour leur protection, ont rejoint l’OTAN, qui est passé de 30 à 32 membres.

La situation qui ressort aujourd’hui laisse penser que la guerre en Ukraine ne s’arrêtera pas et le conflit va se poursuivre, et l'escalade aussi. Dans cette guerre, il y a une légitimation historique avérée de part et d’autre, pour l’Occident de continuer dans la stratégie d’élargissement en Europe, ce qui leur donne une plus grande prise géostratégique sur le continent européen ; il en va de même pour la Russie qui n’entend pas d’être encerclée par l’Europe, surtout qu’à elle seule, elle couvre, par sa superficie, une grande partie de l’Eurasie. Et il est peu probable qu’un compromis entre les deux parties règlerait le conflit et mettrait fin à la guerre. Chaque partie vise la victoire, et ce faisant, prépare son avenir géostratégique et géopolitique de demain.

Et c’est précisément là que le bât blesse, les deux parties vont aller jusqu’au bout. La situation militaire en Ukraine risque d’être critique, et très probablement, elle le sera. Et donc au cas où il n’y a pas de solution dans cette guerre, où l’armée russe malgré quelques succès s’enlise, idem pour l’armée ukrainienne qui ne voit pas d’évolution positive, cela se traduira par le doute, le sentiment d’usure de la guerre, la lassitude devant un conflit qui s’éternise et consomme beaucoup d’armements et d’aides financières. Et surtout l’opinion publique ukrainienne verra très mal cette guerre, surtout que l'armée ukrainienne confrontée à une pénurie croissante de soldats, le président a signé un décret pour élargir la conscription ; une mobilisation pour les hommes ukrainiens à l’étranger âgés de 18 ans à 60 ans.

Le problème pour le pouvoir de Kiev qui est soutenu par l’Occident est de recouvrer l’intégrité territoriale de son territoire ; pour la Russie, elle est confrontée aux populations russophones qu’elle doit protéger, qui, par référendum au niveau de leurs régions, ont opté pour leur rattachement à la Russie, et l’aval russe a suivi par les annexions ; par celles-ci, la Russie a visé à briser l’encerclement stratégique occidental. Ce qui explique la double raison qui a poussé la Russie à envahir l’Ukraine. L’objectif de cette invasion a été dictée à la fois par des buts stratégiques et aussi nationaux, des populations entières en Crimée et dans le Donbass ont rejeté le pouvoir central ukrainien.

On comprend aussi pourquoi une grande puissance nucléaire ne pouvait laisser tomber des millions d'Ukrainiens russophones d’origine russe ; et si ces populations russes se sont trouvées englobées en Ukraine, force de dire que cela ne relève que d’un « accident de l’histoire ».

Quant au pouvoir ukrainien, s’il est soutenu par l’Occident, c’est parce qu’il joue d’abord sa carte pour s’imposer sur le plan national et peu importe le choix des populations russophones dans les régions de l’est de l’Ukraine qui font frontières avec la Russie, et aussi pour se maintenir au pouvoir, il a besoin du soutien massif de l’Occident pour rejeter la Russie hors de l’Ukraine. Quant à l’Occident, il a besoin de l’Ukraine ; il utilise le régime de l’Ukraine pour élargir son aire d’influence stratégique toujours plus élargie, face à la Russie et la Biélorussie, deux alliés de longue date.

Une telle situation ne pourrait être que dangereuse à terme pour la Russie ; un enserrement stratégique, en Europe, si l’Ukraine sortait victorieuse, finirait par toucher la Biélorussie qui, à son tour, par une révolution colorée, rejoindrait l’Union européenne et donc l’Occident ; une telle situation viendrait renforcer le bras armé des États-Unis en Europe, l’OTAN.

On comprend dès lors l’impossible compromis, dans l’équation où la guerre apparaît la seule issue de sortie de crise. Posons-nous la question sur cette situation dramatique qui ressemble, dans un certain sens, à ce qui a été le prélude des deux Guerres mondiales. « Que va-t-il se passer en 2024, en 2025, sur le théâtre de guerre en Ukraine ? »

Les États-Unis, la France et le Royaume-Uni, l’Allemagne ainsi que les pays d’Europe frontaliers comme la Pologne, la Roumanie, la Slovaquie, les pays baltes par où transitent le convoiement d’armements vont continuer à acheminer des armements à l’Ukraine. Le battage médiatique va continuer ; un seul problème et celui-ci est majeur, c’est le « facteur temps » ; il sera l’ennemi à cette ambiance de guerre qui progressivement va rapprocher voire transformer, avec le temps qui passe, tous les espoirs de victoires en ambiance de doute, d’incertitude, surtout que chaque partie restera accrochée à ses conditions, ce qui n’est pas favorable aux négociations de paix.

Les menaces d’usage d’armes nucléaires brandies par la Russie seront irrecevables par l’Occident ; elles n’affecteront pas le cours de la guerre puisque la Russie ne menace de guerre nucléaire des pays occidentaux qui ne font au fond qu’aider l’Ukraine à se défendre de l’occupation russe ; en clair, une agression contre un pays qui n’a pas agressé la Russie et qui n’a fait que défendre son territoire nonobstant des populations russophones qui se sont rebellées contre le pouvoir central ukrainien.

Donc une guerre nucléaire qui entre tout au plus dans la guerre psychologique, médiatique, et ne change en rien à l’équilibre des forces. Cependant une partie qui se trouverait en situation difficile, et c’est surtout l’Ukraine qui l’est face à la Russie, et dépendante de l’Occident qui ne lui accorderait pas tous les armements qu’elle demande, peut chercher un moyen qui changerait le cours de la guerre.

Que serait ce « moyen » ? Il est évident qu’il serait ou devrait être très fort ou suffisamment fort pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Aussi peut-on dire arrivé à une guerre complexe, où rien n’apparaît pour mettre fin aux combats et sans visibilité de sortie de crise, que ce soit en 2024 ou en 2025, viendra comme l’attestent toutes les guerres passées où l’enlisement était le maître-mot de la situation, et les exemples sont foison : première guerre mondiale, deuxième guerre mondiale, guerre de Corée, guerre du Vietnam, guerre en Irak, guerre en Afghanistan…, un événement non prévu, et surtout majeur, remettrait en question tout le cours de la guerre. Et si cet événement est déjà en marche ? 

Il n’est certes pas encore pressenti, mais tout indique qu’il travaille déjà dans son futur avènement. Certes, il est difficile d’expliquer cet événement ou des événements similaires qui ont fait irruption dans les guerres passées, mais l’auteur ne peut s’empêcher d’avertir que cela pourrait survenir s’il n’y a pas moyen d’arrêter la guerre autrement. Toutes les parties campent sur leurs positions, et la situation peut être très critique, et cette annonce de l’auteur qui en fait ressemble à une prédiction mais n’est pas une prédiction pour la raison très simple que toutes les guerres passées où les protagonistes en guerre s’étaient enlisées, il y a eu toujours un événement qui a surgi et mit fin à la guerre.

Et cet avènement peut s’opère soit dès le début du conflit où l’enlisement commence à être perceptible, soit au milieu soit à la fin où un événement surgi de nulle part change les donnes et met fin au conflit. En réalité, il n’y a pas d’événement qui sort de nulle part, tout événement a un sens, et qu’il travaille déjà en amont, ou si cet événement est pressenti par la marche même de la guerre et donc dans les faits des combats et des objectifs visés.

L’auteur ne dit pas ce que sera cet événement, et pourtant « cet événement à venir est criant, et tout se fait ou est en train de se faire pour qu’il arrive.  » Que ce soit l’Occident, i.e. les États-Unis et les principales puissances européennes, principalement la Grande-Bretagne, la France, l’Allemagne, cet événement est déjà enveloppé, pour ne pas dire apprêté, mais les puissances ne le disent pas, même si elles commencent à le pressentir mais refusent à l’admettre parce qu’elles sont trop engagées dans le conflit ; la raison est simple, elles ne veulent pas paraître défaitistes et espèrent toujours qu’il y aura un sursaut qui les remettra sur la voie de la victoire.

Même dilemme pour la Russie qui est confrontée à la question : « Comment arrêter la guerre ? Et sortir avec des gains territoriaux tout en libérant des populations russophones d’origine russe du pouvoir central ukrainiennes. »

C’est là la problématique pour les deux camps, cependant la Russie est plus convaincue de gagner la guerre alors que l’Ukraine, la conviction de sortir victorieuse s’amenuise de mois en mois. Mais la guerre continuera, cela est certain, aucun camp ne voudra perdre la face. La guerre ira jusqu’à l’épuisement d’une partie. Mais l’épuisement n’est pas limité dans le temps pour la bonne raison que même si la Russie est plus puissante et pourrait l’emporter, l’Ukraine continuera à mener les combats en défensive et en offensive puisque l’Occident sera toujours là à la soutenir.

Aussi, pour mettre fin à la guerre, et l’événement dont l’auteur parle et il n’en donne que des contours pour que chacun puisse comprendre que ce qui se passe dans la guerre en Ukraine, une guerre qui aura à bouleverser l’ordre de puissance mondial, ne peut qu’être suivie minutieusement par les centres de commandement suprême des deux camps, en particulier ceux qui pensent la stratégie de guerre en lien aux grands enjeux stratégiques du monde.

Aussi l’auteur non qu’il est convaincu, et ici ne se pose pas de rapport avec la conviction, mais de savoir de ce que les décideurs des deux camps ont en tête dans cette guerre qui les oppose, et personne ne veut la défaite, donc seul un événement ou des événements graves qui fera ou feront irruption et remettra ou remettront en question tout le cours de la guerre.

 Évidemment, cet événement n’arrivera que lorsque la situation est enlisée, bloquée ; le soutien financier massif et en armements (chars, canons tout calibre, missiles, avions de combat, etc.) par l’Occident et les sanctions économiques contre la Russie ne feront qu’engluer le conflit dans une guerre sans fin.

Et les décisions de guerre prises par les décideurs du monde, et donc des deux camps, Occident-Russie, relèvent de la logique de guerre qui énonce dans son principe général qu’un camp doit perdre et l’autre camp doit gagner. Mais si les deux camps ne veulent pas perdre et ont les moyens de faire durer la guerre ; et toute guerre a une fin, et doit avoir une fin, forcément un événement qu’il soit pensé ou non, prévisible ou imprévisible, surgira et mettra fin à la guerre.

Cet événement qui surviendra aura certainement une incidence sur l’avenir du monde, Prenons la guerre de Corée qui a duré trois ans (1950-1953). N’est-ce pas elle qui relevé économiquement l’Asie ? N’est-ce pas elle qui a permis à la Chine devenir ce qu’elle est devenue aujourd’hui, elle s’est hissée au rang de deuxième puissance économique mondiale. Cela ne le paraît pas, et on ne peut croire que la guerre de Corée a permis le développement de l’Asie, et on peut le concéder.

Mais, si on regarde la marche de l’histoire, et que les États-Unis et l’Union soviétique ont été les seules nations sorties victorieuses du Deuxième Conflit mondial, en 1945, sauf que les États-Unis étaient les seuls détenteurs de l’arme atomique. Si l’Union soviétique n’avait pas essayé l’arme atomique, en 1949, la guerre de Corée n’aurait certainement pas eu lieu. Ni l’URSS ni la Chine ne se seraient hasardés à pousser la Corée du Nord à attaquer la Corée du Sud. Ce qui s’est passé à Hiroshima et Nagasaki qui ont vu le 6 et 9 août 1945 plus de 100 000 morts « disparaître » de la surface de la terre, en quelques secondes, étaient suffisamment édifiant pour dissuader les puissances adverses de toute guerre contre les intérêts des États-Unis en Asie.

Or, la guerre de Corée a eu lieu, et a été permise depuis que l’URSS a procédé à son premier essai nucléaire, le 29 août 1949, la mettant désormais à parité avec les États-Unis. L’URSS n’avait plus à craindre d’une attaque nucléaire américaine. Mais ce que l’URSS ne savait pas, c’est que cette guerre va amener les États-Unis à changer de 180° sa stratégie en Asie ; ils relèveront désormais tous leurs alliés en Asie économiquement en les transformant en rempart capitaliste face aux deux puissances communistes, la Chine et l’URSS.

C’est ainsi que le Japon sortira de l’occupation américaine et progressivement se relèvera sur le plan économique mondial jusqu’à devenir une puissance économique mondiale. Il en va de même pour la Corée du Sud, Singapour, Hong Kong, bref tous les alliés à la superpuissance du monde.

Si les États-Unis seraient restés seule puissance nucléaire au monde, il est évident que la puissance américaine continuera à occuper militairement le Japon, et ne s’avisera pas à l’élever au rang de puissance économique dans le monde, ni à élever les autres pays asiatiques sur le plan économique ; elle aidera certainement les pays d’Asie, mais l’arme atomique suffira pour endiguer l’expansion du communisme.

Mais la Nature est ce qu’elle est dans la viabilité de l’humanité ; en accordant l’arme atomique à l’URSS comme elle l’a fait pour les États-Unis, ce qui a permis de provoquer la guerre de Corée, le développement économique de l’Asie était comme « programmé » dans cette guerre On comprend alors l’importance de la guerre de Corée dans la marche de l’histoire. Trente après le déclenchement de la guerre de Corée, après qu’un grand nombre de pays s’est élevé économiquement, c’est au tour de la Chine de prendre le train du développement économique en marche.

Ceci étant, dans cette analyse, dans ce développement, l’auteur a beaucoup dit, non pas qu’il détient la connaissance de l’avenir du monde en annonçant un événement grave à venir qui mettrait fin à la guerre, mais en réalité, il n’a cherché là qu’à comprendre la métaphysique de la guerre en général, et la guerre en Ukraine en particulier. Il n’a rien inventé, il a regardé l’histoire passée et il y a vu effectivement une métaphysique-monde à l’œuvre dans la marche de l’humanité.

A toute guerre qui s’enlise arrive un événement déterminant qui changera le cours de la guerre et le cours de l’histoire, en particulier les guerres menées par les grandes puissances qui cherchent à décider de la marche du monde. Et c’est là le paradoxe des guerres dans l’histoire, c’est toujours à l’histoire qui est insuffisamment comprise puisque c'est par les événements historiques y compris les guerres que le progrès fait avancer les peuples.

Une question : « L’Union européenne ne doit-elle pas sa naissance à la Deuxième Guerre mondiale ? Les peuples colonisés d’Afrique et d’Asie ne doivent-ils pas leur émancipation, et leur désir d’indépendance, en premier lieu à la Première et la Deuxième Guerre mondiale qui ont rebattu les cartes de puissance du monde. L’Union soviétique et la Chine communiste ne se sont-ils pas instituées en contrepoids à la domination impérialiste de l’Occident pour aider le monde colonisé ? 

Ceci simplement pour montrer que l’histoire n’est pas chaotique ; elle est rationnelle en tout point. Et peu importe l’événement qui aura à trancher entre les puissances, l’essentiel est qu’il arrête cette guerre insensée entre le bloc occidental et une grande puissance nucléaire ; l’important est de préserver les peuples et non de viser que l’intérêt stratégique propre à chaque puissance sans penser aux souffrances des peuples qui subissent la vraie réalité de la guerre.

 

Medjdoub Hamed
Auteur et chercheur spécialisé en Economie mondiale
Relations internationales et Prospective

 


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