Jean-Philippe Desbordes : La bien-pensance de Gauche condamnée à 20 ans de prison
par Jean-Luc ROBERT
samedi 1er mars 2025
Jean-Philippe Desbordes vient d'être condamné à 20 de prison pour Viols et actes de barbarie sur ses 2 belles-filles, et la bien-pensance de gauche demeure silencieuse !
Né le 10 décembre 1969 à Paris, il a eu une carrière prolifique en tant que journaliste et réalisateur. Il a collaboré avec diverses radios locales de Radio France et France Info entre 1988 et 1992, puis avec des publications telles qu'Actuel, Le Canard enchaîné, InfoMatin, L’Événement du Jeudi, Libé Le Magazine et Charlie Hebdo de 1992 à 2005. Parallèlement, il a été reporter pour des émissions télévisées comme La Marche du Siècle, Pièces à conviction, Envoyé spécial, Le Vrai Journal, Arte Info et Arte Reportage. Il a également réalisé des documentaires pour Arte, France 3, France 2 et France 5 entre 1991 et 2006. En outre, il a publié plusieurs essais et a été chargé de cours au pôle audiovisuel de l'université de Marne-la-Vallée.
Cependant, derrière cette façade respectable, des actes criminels graves ont été révélés. En septembre 2020, Jean-Philippe Desbordes a été mis en examen pour violences et privation de soins sur les filles mineures de sa compagne, ainsi que pour viols avec actes de barbarie sur l'une d'elles et sur une de ses élèves. Son procès, qui s'est tenu en novembre 2024 devant la cour d'assises de l'Ariège, a mis en lumière des abus répétés et des actes de torture commis entre 2017 et 2020. Les victimes ont décrit des sévices d'une extrême gravité, l'une d'elles affirmant : "J’étais une esclave, il me tenait en laisse".
Lors du procès, il a également été révélé que Jean-Philippe Desbordes avait falsifié ses qualifications professionnelles, prétendant détenir des diplômes qu'il n'avait jamais obtenus. Ces révélations soulignent l'importance de ne pas se fier uniquement aux apparences ou aux parcours professionnels ostensiblement honorables, car ils peuvent masquer des comportements profondément répréhensibles.
Cette affaire met en évidence la nécessité d'une vigilance accrue face aux individus qui, malgré une image publique irréprochable, peuvent commettre des actes monstrueux dans la sphère privée.