Confucius vs Mélenchon : le sage et le félon

par politzer
vendredi 13 juin 2025

 

Duel au sommet du cynisme

Prenez Confucius, le vieux sage chinois, barbu et sérieux, qui prône la vertu (ren), l’harmonie (li), et un monde où les méritants ne se font pas rouler dans la farine. En face, Jean-Luc Mélenchon,(9000€ de retraite, appart à Paris , résidence secondaire, jeune femme de 27 ans sa cadette dans son lit), le félon de La France Insoumise (LFI), ex-PS reconverti en tribun braillard, qui promet la révolution tout en pactisant avec le MEDEF comme un maquignon au marché. Pendant que Confucius rêve d’une société juste, Mélenchon, ce renard matois, manipule Assa Traoré, qui flanque des claques verbales aux Gilets jaunes en les traitant de « fascistes » (vidéo Les Observateurs, 2020), et laisse les ouvriers se débrouiller avec des miettes. Dans ce duel entre la droiture et la fourberie, le félon joue les matamores, mais c’est Confucius qui rigole en dernier.

Confucius : la vertu, pas les entourloupes

Confucius (551-479 av. J.-C.) n’était pas du genre à faire des selfies avec des caïds. Sa philosophie ? Bienveillance (ren), respect des règles (li), et justice (yi). Les chefs doivent montrer l’exemple (de), sinon le peuple peut leur botter le train, via le « Mandat du Ciel » (Tianming). Sous les Han (206 av. J.-C. - 220 ap. J.-C.), les empereurs détournent ses idées pour se faire mousser, avec des examens confucéens pour recruter des fonctionnaires lèche-bottes. Mais Confucius, lui, n’est pas un béni-oui-oui : ses disciples, comme Mencius, rappellent que les tyrans peuvent dégager, et des lettrés dénoncent la corruption. Son soft power – convaincre par la morale, pas les menottes – vise une société où les ouvriers, qui suent sang et eau, sont respectés, pas où des caïds font la loi (3 milliards € de trafic, Intérieur 2023).

Mélenchon : le félon en costard de Che Guevara

Mélenchon, lui, c’est le roi des enfumeurs. Après avoir siroté des cocktails au PS pendant 25 ans, il fonde LFI en 2016, pas pour sauver le peuple, mais pour rafler des voix. Son populisme, piqué à Chantal Mouffe, balance des promesses juteuses – SMIC à 1 600 €, taxes sur les milliardaires – qui font baver les banlieues (49 % en Seine-Saint-Denis, 2022). Mais derrière la tchatche, c’est du pipeau. En 2024, son acolyte Éric Coquerel sort la pépite : « Le patronat éclairé veut plus d’immigrés » (BFMTV), s’alignant sur le MEDEF, qui salive pour 3,9 millions de travailleurs low-cost d’ici 2050 (1 600 € net, Dares 2023). Une gaffe ? Mon œil ! Mélenchon, ce félon, sait que son bla-bla pro-immigration (régularisation, accueil) gave les patrons de main-d’œuvre pas chère, tout en lui filant les votes des quartiers. Sur X, @Pierre_GTIL se marre : « Mélenchon et le MEDEF, les inséparables de l’immigration ! »

Le MEDEF, futé, fait semblant de grogner. Roux de Bézieux le traite d’« anti-entreprise » (2024), mais glisse en 2022 que son programme est « sérieux » (France 2). En 2020, Mélenchon vote 45 milliards € pour les patrons, puis pleurniche sur une « bourde ». Un félon qui joue les vierges effarouchées ! Ce pacte tacite canarde le RN, chouchou des ouvriers (32 %, IFOP 2022) avec son anti-immigration, et les communistes anti-immigration (PRCF), qui crient que l’immigration est une arme capitaliste. Mélenchon, en posant en chevalier blanc, torpille ses rivaux, sert le MEDEF, et se fait mousser auprès des bobos macronistes. Confucius, lui, l’aurait viré pour manque de yi (droiture).

Assa Traoré : la diva des banlieues

Assa Traoré, star du comité « Vérité pour Adama », est la marionnette du félon. Avec une fratrie au CV judiciaire chargé (trafic, violences – Le Figaro, 2020), elle joue les héroïnes contre les « violences policières », dopée par LFI (marches, Coquerel, Panot, 2023). Mais elle sème la zizanie. En 2020, une vidéo la coince (Les Observateurs) : elle cogne sur les Gilets jaunes, ces prolos en colère, en les traitant de « fascistes » et « racistes ». Démenti foireux, le clip est clair : « Pas de place pour ces fachos. » Mélenchon, qui jouait les fans des Gilets jaunes (Melenchon.fr, 2019), laisse Traoré casser la baraque, histoire de diviser les mécontents. Sur X, @NicolasZeMinus rigole : « Mélenchon, de la récup’ des Gilets jaunes à la fanfare Traoré ! »

Traoré, pas juste une « sotte », savoure son quart d’heure de gloire : bouquin (Le Combat Adama, 2019), plateaux télé, elle se rêve en star. Mais Mélenchon, ce félon, tire les ficelles, utilisant sa furia pour polariser, au détriment des ouvriers, qui filent chez le RN, dégoûtés par ce cirque.

Les ouvriers : les dindons de la farce

Les ouvriers, eux, morflent. À 1 900 € net, avec des retraites à 1 200 € (Drees, 2024), ils bossent dans des conditions pourries (30 % de bobos physiques, Inrs 2023), concurrencés par des immigrés et snobés par LFI. Pendant ce temps, 10 milliards € s’évaporent dans les banlieues (Cohésion des territoires, 2023), où des caïds, pas les habitants, se gavent via des trafics (3 milliards €) et des émeutes bidouillées (2005, 2023). Les banlieues, pleines de travailleurs, sont otages de ces « racailles », mais Mélenchon préfère parader avec Traoré que défendre les prolos.

Un narratif racial bidon

Mélenchon et Traoré braillent sur un « racisme systémique » (Obono, 2020), un conte inventé, par Dray et Mitterrand (SOS Racisme, 1984) pour casser le PCF et rafler des votes. Les émeutes, orchestrées par les caïds, deviennent un pseudo-conflit racial, fracturant la France. Confucius, lui, prônerait l’unité, pas ce bazar clivant. Mélenchon, ce félon, sait que ce narratif torpille le RN tout en soudant son électorat, mais il poignarde l’harmonie dans le dos.

Conclusion : le félon à la lanterne !

Confucius, avec sa vertu, enverrait Mélenchon au piquet. Son pacte tacite avec le MEDEF – immigration pour les patrons, voix pour LFI – crache sur les ouvriers, pendant que Traoré en Louboutin à 3000€ la paire , diva à la langue bien pendue et au poing levé, insulte les Gilets jaunes. Les caïds se frottent les mains, les fonds publics s’envolent, et les prolos trinquent. La droiture confucéenne, qui célèbre le mérite, pulvérise les magouilles de ce félon. Mélenchon, prends des notes : la vertu gagne, la félonie s’écrase !

 


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