La physique de la conscience

par #gcopin
vendredi 25 novembre 2022

Dans ce livre, il est question de physique de la conscience, un modèle cybernétique de la conscience assurant un contrôle quantique de l’espace-temps. Comme Albert Einstein, l’auteur enterre le temps de Newton pour faire émerger le temps réel de la conscience. En fait un renversement complet de notre vision du monde. Bienvenue dans le monde de demain, celui du vide, pour le dire autrement, celui des mondes invisibles.

Dans cet article, je vous présente un livre récemment édité aux éditions Guy Trédaniel, "La physique de la conscience", l'auteur Philippe Guillement ingénieur physicien français diplômé de l'École Centrale Paris est docteur en physique du rayonnement et exerce son activité au CNRS où il est ingénieur de Recherche.

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je voudrais souligner le courage, l’audace pour un scientifique d’entreprendre sans vergogne cette étude que l’on peut néanmoins qualifier en borderline de la science. Si vous êtes un scientifique intégriste dans l’âme, un positiviste ou scientiste comme diront certains, ou que vous pensez comme Aristote, la réalité est appréhendée par nos sens, je pense qu’il est préférable de passer votre chemin. À l’inverse, si vous pensez comme Platon, avec le monde des idées, la réalité appréhendée par nos sens est une illusion, alors, bienvenue dans le monde intelligible perçu par l’entendement. Il est bon de souligner que notre réalisme scientifique est fondé sur nos notions de connaissances et que l’attitude épistémologique rationnelle est de penser que les théories scientifiques nous indiquent une connaissance au minimum de la réalité, il existe une réalité au-dessus, englobante, extérieure, qui est la métaphysique.

De ce fait, il ne devrait pas exister fondamentalement de sujets tabous en science, il incombe dans ce type de démarche particulière d’être vigilant. Pour ce faire, la science met à notre disposition tout une panoplie d’outils, par exemple le doute méthodique de Descartes, remettre en question les certitudes sans basculer dans les croyances, ou encore la méthode scientifique, observation et formulation d'une problématique, hypothèses, construction d'un modèle, l'observation et l'expérimentation, la communication, l'induction, déduction, raisonnement, réfutabilité de Kurt Gödel, rasoir d’Occam …
D’ailleurs à ce sujet, je partage la devise de l’auteur du livre qui est de dire, je cite : « Un scientifique qui ne s’empare pas des anomalies pour tenter de comprendre la réalité n’est pas un vrai scientifique ».

Pour la compréhension du livre, il faut maîtriser un tantinet la mécanique quantique, la relativité restreinte. Mais, surtout la relativité générale avec l'Univers-bloc, théorie centrale dans le livre, elle est construite à partir de l’équation d'Einstein (équation de champ d'Einstein) où il n’existe pas d’expérimentation tout comme un trou de ver, ou encore l'existence des ondes gravitationnelles avant 2015. Sans observations, ces théories mathématiques sont souvent considérées comme spéculatives. Pendant qu’on y est, un peu de connaissances en neuroscience et en intelligence artificielle seront les bienvenues.

Dans son livre, Philippe Guillement manipule, maîtrise habillement tous ces concepts, il nous fait voyager passionnément dans le monde de la physique de la conscience. Il serait louable de parler du concept "Guillement" tant cette approche pluridisciplinaire est particulière.
Si l’on prend du recul par rapport à la physique et les sciences qui servent de substrat à cette construction singulière en tant que pensée, on trouve entrelacé dans cet échafaudage complexe, une philosophie du bonheur. Le mot bonheur peut fait sourire, néanmoins, on ne va pas tergiverser, ici on parle de bonheur au sens vertueux, par exemple soigner (gérer) son angoisse de mort inhérente à l’humain depuis la nuit des temps. Parler de philosophie du bonheur fait penser irrémédiablement à Spinoza, André Comte-Sponville a écrit, je cite : « Il y a plusieurs demeures dans la maison du philosophe, et celle de Spinoza reste à mes yeux la plus belle, la plus haute, la plus vaste. Tant pis pour nous si nous ne sommes pas capables de l'habiter absolument ! » Alors, êtes-vous prêt à rentrer dans la demeure du bonheur de l’auteur Guillement, au préalable, j’émets un petit bémol concernant la sagesse de Spinoza, elle est fondamentalement différente de Platon qui considère le désir comme un manque. Chez les stoïciens, le bonheur est un affecte indifférent, il me semble que vers la fin du livre, l’auteur est plus prompt à parler de philosophie stoïcienne. Dans ce qui vient d’être écrit, il faut comprendre le mot désir au sens spinoziste : si je désire manger du chocolat, c'est parce que c'est bon ! Eh bien, non ! Chez Spinoza, c’est l’inverse, je cite : « Nous ne désirons aucune chose parce que nous jugeons qu'elle est bonne, mais, au contraire, nous appelons bon ce que nous désirons ». Si j’insiste sur ces notions, bonheur, sagesse et désir, c’est le fait qu’elles sont utiles pour comprendre les notions de futur, passé, présent, dans le livre, oui les mots sont dans le bon ordre !

À présent décryptage, on attaque le gros morceau en commençant par l'Univers-bloc, théorie centrale dans le livre. En fait, il est possible de décrire la réalité qui nous entoure avec nos sens qui parfois nous trompent (le morceau se cire de Descartes) et notre entendement. Pour ce faire, on a besoin des 5 interactions fondamentales, interaction forte, interaction faible, électromagnétisme, et gravitation. Pour information, l’électromagnétisme et l’interaction faible peuvent être groupés en une seule interaction appelée électrofaible. Paradoxalement, la physique standard de Newton que l’on apprend au lycée n’est pas adaptée, sachant qu’elle définit la gravitation comme une force. Dans la relativité d’Einstein, la gravitation n’est pas une force, mais une déformation géométrique du continuum de l’espace-temps (voir diagramme de Minkowski) ou le tissu spatio-temporel si vous préférez (sans masse bien sûr).
Si je fais ce petit flash-back c’est surtout en rapport à la gravitation, pour la petite histoire, en 1955 Einstein adresse une lettre de condoléances à la famille de Michèle Besso, son ami de longue date qui vient de mourir, où il écrit, je cite : « Pour nous, physiciens croyants, cette séparation entre passé, présent et avenir ne garde que la valeur d’une illusion, si tenace soit-elle », il y a vraiment de quoi surprendre.


En fait, Einstein faisait allusion à la conception de l’Univers-bloc, qui conjecture que tous les moments du temps coexistent, et que la succession constitue une illusion. Si l’on réfléchit bien, il ne peut pas en être autrement, sachant que la relativité restreinte affirme déjà haut et court l’inexistence d’une simultanéité absolue. De ce fait, l’idée du temps universel newtonien absolu donné par une horloge maîtresse universelle sur laquelle se règlent toutes les horloges de l'Univers n’est plus soutenable. Pour faire court, j’ai ma propre horloge, tu as ta propre horloge, donc le temps n’existe pas :), plus sérieusement, l’instant présent devient une notion relative à un observateur. Avec un même événement pouvant être dans le passé d'un observateur et le futur d'un autre se croisant au même endroit au même moment, il devient donc difficile de prophétiser pour un des observateurs que le réel n'est que ce qui existe maintenant pour lui. À présent, il est possible de théoriser en toute logique la notion d’éternalisme, selon la théorie de l'Univers-bloc, tout ce qui existe dans l'espace-temps est objectivement de toute éternité. En fait, c’est l’inverse de la théorie du présentisme qui considère que seul le présent existe, contrairement au passé et au futur qui n'existent pas, ce qui laisse une marge de manœuvre concernant le futur (indéterminisme, libre arbitre).

Ici, on ne parle pas du temps humain objectif, idéaliste et mathématisé par la lettre t correspondant au paramètre temps des équations étudié par la science physique, mais de l’espace- temps en fonction de la relativité générale. Il n’y a pas d’écoulement du temps dans un sens ou un autre, du fait de l’intrication entre tous les éléments qui composent l’espace-temps. Il n’est pas possible de modifier séparément / indépendamment la position ou la vitesse d’une particule. L’ensemble des éléments qui compose l’espace-temps est strictement interdépendant, par déduction, on en conclut la même chose pour un bit d’information. Chacun des 7 × 10 puissance 27 atomes que compose en moyenne le corps humain, chaque atome possède sa propre ligne d’Univers, ces myriades de myriades de lignes d’Univers forment l'Univers-bloc. Modifier une information dans l’Univers-bloc revient à agir sur une ligne d’Univers ou ligne temporelle si vous préférez. Il serait pédagogique à ce stade de la théorie de présupposer que l’on ne construit pas avec la conscience une nouvelle ligne D’Univers, mais plus humblement que l’on déforme, triture, distorde la ligne d’Univers existante.

Pourquoi détailler la notion d’Univers-bloc, de temps, en fait un sapiens-sapiens normalement constitué et cultivé en physique qui a une vision globale de l’univers, qui pense également que le scénario du big bang décrit mathématiquement par la relativité restreinte et générale d’Einstein est pour l’instant la meilleure alternative pour décrire l’Univers, il se doit d’accepter ces notions qui revisitent complètement notre vision du monde. Je comprends que la pilule est dure à avaler, sachant que l’épicentre philosophique de la notion d’éternalisme démontre par la force des choses que nous n’avons pas de libre arbitre. Pour info : « Le libre arbitre est la faculté qu’aurait l'être humain de se déterminer librement et par lui seul, à agir et à penser, par opposition au déterminisme ou au fatalisme, qui affirme que la volonté serait déterminée dans chacun de ses actes par des "forces" qui l’y obligent. "Se déterminer à" ou "être déterminé par" illustrent l’enjeu de l’antinomie du libre arbitre d'un côté et du destin ou de la "nécessité" de l'autre » (WKP).

Finalement, depuis plusieurs siècles, nous sommes allés de désillusion en
désillusion, à tel point que Freud disait qu'il était le troisième grand humiliateur. Pour rappel, le premier Copernic avait enlevé la terre du centre de l'univers. Le deuxième, Darwin, trois siècles plus tard, nous montrait que nous ne sommes pas foncièrement différents des animaux, les singes sont nos frères biologiques, aujourd’hui on peut cloner un humain en utilisant un ovule de vache. Le troisième, Freud vient nous annoncer que nous ne sommes même pas maître dans notre propre maison (cerveau). Depuis Einstein est passé pour rappeler que l'observateur omniscient est un mythe, un observateur est limité dans l'espace, et la notion de simultanéité n'a pas de sens. On peut aussi citer Heisenberg qui a montré qu'il était impossible de connaître exactement à la fois la position et la vitesse d'une particule avec le principe d'incertitude. Et pour achever le tableau, Ruelle dans les années 80 déboulonne la théorie du chaos, en théorisant que la moindre erreur de mesure sur la position ou la vitesse, peut avoir des répercussions catastrophiques sur la prévision et ce - même en mécanique classique.

En fait, envers et contre tous, l’auteur du livre "La physique de la conscience" réhabilite la notion de libre arbitre, c’est en quelque sorte aussi un fil conducteur du livre. Pour ce faire, Philippe Guillemant « enterre le temps de la mécanique pour mieux faire émerger le temps réel de la conscience. Il nous décrit les processus conscients, les efforts et les états d’esprit par lesquels nous pouvons reprogrammer notre destin, déjà actualisé dans l’éternel présent de la création. Il réhabilite en chemin notre bien le plus précieux ; notre esprit et sa conscience immortelle, indépendante de notre corps physique ».
Pour ne pas faire trop long dans l’article, je passe sur la déconstruction érudite des mystères de la mécanique quantique par l’auteur où je vous conseille la lecture du livre plus approprié. Cela concerne essentiellement, l’indéterminisme, discrétisation, superposition d’états, non-localité, intrication, irréversibilité.

À présent, il est possible d’aborder le modèle cybernétique de la conscience, en fait un réseau de neurones virtuel, dans cette architecture on ne coupe pas le cordon ombilical avec le déterminisme dans le processus d’échange d’informations. En bonus, ce modèle d’évolution atemporelle de l’espace-temps résout le problème de la mesure en mécanique quantique. Le vivant (la biosphère) communique avec l’extérieur de l’espace-temps, à ce stade, il est normal de se poser la question, quel principe fondé sur une mécanique atemporelle pourrait décrire l’évolution de l’espace-temps réalisée par la conscience. En fait, le premier niveau de l’état de conscience est appelé soma, l’information introduite dans l’espace-temps n’est pas conscientisée, elle reste captée au stade instinctif, elle correspond à une faible entropie d’évolution. Le deuxième niveau de l’état de conscience est appelé registre du moi, l’information introduite dans l’espace-temps est conscientisée, ce qui permet un apprentissage par appropriation d’une intention extérieure. Le troisième niveau de l’état de conscience est appelé soi, l’information introduite dans l’espace-temps serait conscientisée et parfaitement distingue d’une source intérieure, permettant de réaliser théoriquement le programme du soi. En fait, nous avons au total neuf dimensions vibratoires de l’espace-temps qu’il nous faut affecter à la conscience, même si elle semble en comporter que trois (Soma, psyché instinctive, conscience mécanique – Moi, psyché consciente - Soi, psyché spirituelle, subconscience).

Ok, mais où se cache l’information, en physique, le vide est l'absence de toute matière, de ce fait, le vide absolu est donc un milieu statistiquement sans particules élémentaires. Oui, mais le vide classique n'est pas vide ! Donc, quand on a supprimé toute la matière et le rayonnement thermique d'une partie de l'espace, le vide de la physique contient encore des champs électromagnétiques, des particules fugaces, et possède une certaine énergie (l’énergie du vide, théorie issue du principe d’incertitude d’Heisenberg...). La mécanique quantique nous apprend que le vide est un réservoir d’énergie, soit de l’information quantique, la notion d’information physique à laquelle l’auteur fait allusion pour décrire l’évolution de l’espace-temps correspond à la réalité manifester dans ses quatre dimensions. « Si l’information physique varie en sens inverse de l’information quantique, dont la densité correspond de façon complémentaire à celle du vide, qui est en réalité un océan quantique contenant une myriade de potentiels non manifestés. Ainsi, lorsqu’une intention semble densifier l’information physique, elle diminue inversement l’information quantique mémorisée dans le vide ».

À présent que l’on a vu sommairement le temps réel de la conscience et l’information introduite dans l’espace-temps, il est temps de se poser la question de comment fonctionne cette superbe "machine de Rube Goldberg :)".
Je cite : « Notre destin exerce une influence sur nous sans même que nous en connaissions encore la nature, c’est notre avenir qui détermine notre présent » fin de citation de Friedrich Nietzsche (Humain, trop humain). Finalement, si l'on approfondit le raisonnement de Nietzsche pour que la rétrocausalité avenir-présent soit possible et en toute logique pour modifier une ligne d’Univers, je dois ajouter le passé à la citation, le présent modifie le futur, le futur modifie le passé (rétrocausalité), le passé actualise le présent. Vous remarquez en passant que l’on a réhabilité le libre arbitre, ce qui n’est pas rien, l’humain n’est plus une machine sans foi ni loi au sein de l’Univers. Dans ce schéma et dans le cas qui nous intéresse (le livre), il est plus juste de parler du futur qui renvoie un écho dans le présent (rétrocausalité), informations de faibles probabilités = moins d’informations physiques = instabilité ou informations de hautes probabilités = plus d’informations physiques. La rétrocausalité ou causalité inverse fait partie des fils conducteurs du concept de la physique de la conscience, « En rétrocausalité, les effets précédents les causes au lieu de les suivre ; la rétro causalité est observée en mécanique quantique, mais qualifiée d’apparente, car la mécanique quantique est fondée sur la causalité stricte. Toutefois, une partie de la communauté des physiciens de plus en plus importante tend à admettre une vraie rétrocausalité pour différentes raisons ; l’indéterminisme quantique, la possibilité de faire fonctionner les équations dans les deux sens du temps. Dans ce modèle cybernétique de la causalité elle-même : dans le temps réel, une cause future d’un événement présent continue de précéder cet événement, même si elle lui succède dans le temps ordinaire ».

À la fin du livre l’auteur termine par une note d’espoir en direction de l’humanité, avec le neuvième chapitre "La maladie des systèmes du pouvoir", je vous livre un passage qui m’a fait sourire en guise de conclusion.

« Nous avons là des destins complètement différents. Quel est le bon scénario ? Mais tout d’abord, un événement aussi important peut-il être attribué au hasard ou à un simple accident ? Après avoir lu ce livre, on est forcément amené à comprendre que l’espace-temps n’est pas dénué de mécanismes de stabilisation permettant d’éviter que le destin de toute l’humanité puisse dépendre de si peu de choses, en l’occurrence d’une rencontre entre une chauve-souris et un pangolin ou plus récemment , un vison. Si c’est bien le cas, un simple papillon aurait même pu transmettre le virus d’un animal à l’autre et nous aurions ainsi observé, pour la première fois dans l’histoire, un véritable effet papillon aux conséquences bien plus gravissimes qu’une tornade au Texas. Que l’on se rassure, ce n’est qu’une métaphore issue de l’imagination du grand théoricien du chaos Edward Lorentz. Nous avons vu que l’espace-temps possède un mécanisme qui bloque ce genre d’effet, en conséquence du fait que le futur est plus ou moins déjà réalisé dans l’avenir et qu’il peut alors influer sur notre présent. On peut même en conclure que si le cours des événements change accidentellement dans le présent, cela n’impacte pas nécessairement notre futur à long terme. Il existe bien un effet stabilisateur, inverse de l’effet papillon, qui permet à ce futur de continuer de nous attirer vert lui, même si nous changeons notre destin peut être déjà déterminé, mais sans pour autant résulter d’une causalité reposant sur des lois physiques connues ».

Annexe
J’ai la lucidité que cet article n’a pas pour ambition de résumer le livre "La physique de la conscience" trop complexe. Le but est de faire le parallèle entre, mes connaissances (vulgarisation) en science et des théories en adéquation avec le livre qui pourront potentiellement aidé le lecteur, surtout de vous donner l’envie de plonger dans ce type de littérature un peu borderline en science, il faut bien le dire, mais passionnante.
Mes sources, ma bibliothèque papier et Wikipédia sont mes seuls réservoirs d’informations, je n’ai donc pas de liens à vous fournir en dehors de Wikipédia, désolé. Sachant, que des liens même issus d’organismes réputés ne constituent plus forcément une source fiable, la preuve a été faite avec la déferlante des rubriques contradictoires sur le/la covid réalisé par des scientifiques normopathes sorties du chapeau de big pharma, seul le doute et le croisement de données mener à bien grâce à notre microprocesseur neuronal peut nous aider dans nos recherches.
Le contenu de l’article n’engage que moi et en rien l’auteur du livre "La physique de la conscience", je le précise, même si je sais que cela n’a aucune valeur juridique.
« ... » correspondent à des patchwork issu de citations ou passage du livre.
Article Gérard Copin pour la tribune libre Agoravox.

 L'Univers-bloc, j’en parle dans une vidéo (ludique) sur YouTube intitulée "the sexy solution-interstellar" [pub :) ] pour ceux que cela intéresse.

 


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