Marche contre l’antisémitisme « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. »

par moderatus
vendredi 22 février 2019

 

De défilés en lamentations, de condamnations en promesses d'actions non tenues, de bougies allumées en petits mots touchants, les marches contre l’antisémitisme comme celles contre le terrorisme se succèdent.

Comme la plupart de mes concitoyens je suis en colère, révolté par cette haine de l'autre, mais je comprends ceux qui ne sont pas allés pas manifester. La résilience a des limites.

 

 

ça suffit ! les paroles, les mascarades et les 'grands' rassemblements soi-disant d'unité nationale, les discours stéréotypés, les 'plus jamais çà', les 'nous allons punir sévèrement.

les initiateurs de ces manifestations, sont ceux qui se sont partagé le pouvoir depuis des décennies et qui n'ont rien fait pour combattre ce fléau.

74% de progression de l’antisémitisme en France en 2018

qu'ont fait ce qui défilent et avaient et ont le pouvoir pour freiner la progression de cette horreur ?

 

Non seulement rien n'a été fait pour freiner ce racisme odieux, mais on l'a laissé s'étendre, prospérer. Le mur des lamentations en compagnie des responsables de cette situation, merci, on a déjà beaucoup donné.

 

Alors sur les plateaux télé c'était le bal des faux culs, des représentants des partis politiques.

 

Péroraient autour d'une table ceux qui n'ont rien fait et qui étaient aux manettes, ceux qui veulent noyer le poisson en taisant les vraies raisons de ce désastre, ceux qui se donnent des prix de vertu, ceux qui condamnent mais...... cette conjonction qui permet de dire une chose et son contraire et que l'on devrait s'interdire dans certaines situations.

Ceux qui se refusent dans d'autres circonstances à l’amalgame, mais qui concernant les gilets jaunes, font sans vergogne le lien gilets jaunes - antisémitisme.

Ceux qui sont Islamo-gauchistes et qui ont le cul entre deux chaises, la langue fourchue et qui condamnent bien sur, mais du bout des lèvres, mais...... toujours ce 'mais.'...

 

Bien sur qu'il faut combattre tous les antisémitismes, d'extrême droite comme d'extrême gauche, qui pourrissent la vie des juifs au quotidien, avec une fermeté exemplaire, il faut sûrement dissoudre ces mouvements racistes, mais il ne faut pas se cacher que l'antisémitisme qui tue, qui détruit le vivre ensemble est celui des islamistes qui le répandent en toute quiétude et liberté dans certaines banlieues. Ces banlieues où l'on a abandonné les populations à la férule des caïds trafiquants d'armes et de drogue et qu'on a livré aux incantations des extrémistes salafistes.

 

Aujourd'hui, la France est le seul pays du monde occidental où des Juifs sont assassinés simplement parce qu'ils sont juifs. Depuis 2006, onze Juifs français ont été tués - hommes, femmes, enfants. À l'école Ozar Hatorah de Toulouse, en mars 2012, des enfants de trois, six et huit ans ont été abattus à bout portant. '

 

Le noyautage commence parfois dès l'école, dans nombre d'écoles, les professeurs ne peuvent ni évoquer la Shoah ni le conflit Israélo palestinien.

 

Cela se poursuit par des prêches par lesquels des imams extrémistes alimentent la haine du juif.

 

Cela continue par les islamo-gauchistes , qui pour expliquer le conflit Israélo-Palestinien condamnent et appellent à la haine du sionisme qui en réalité se transforme chez nombre de gens en haine du juif car antisioniste et antisémitisme sont devenus frères synonymes.

 

Si l'antisionisme est condamner l'expansion d’Israël et la politique de Benyamin Netanyahou , c'est justifié , mais la plupart du temps l'antisionisme est la condamnation de l'existence même d'Israël, ce terme devient le cache sexe de l'antisémitisme.

 

Alors si le communautarisme est devenue la règle de vie, si le rejet de l'autre est le quotidien, si l'école ne fait plus son travail , si la justice ne sévit pas, si l'état a déserté des territoires entiers,

qui sont les responsables ?

 

Une grande partie de ceux qui ont appelé à défiler et qui se sont succédés au pouvoir.

 

 
 

Il n'y a plus en France que 467.000 juifs, ils fuient dans un premier temps les quartiers difficiles, les quartiers de non droit, là où les enfants juifs ne peuvent plus fréquenter l'école de la république, où l'état est incapable d'imposer les lois et les règles de la république, puis ensuite quittent le pays.

 

Doit-on attendre qu'il n'y ait plus de juifs en France pour se vanter d'avoir réglé le problème de l'antisémitisme ?

 


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