Derrière la Charia : l’enjeu inconnu dont personne ne parle
par politzer
jeudi 22 mai 2025
Derrière la religion : le patriarcat
Les Frères musulmans (FM) veulent imposer la charia en France – un code islamique rigoriste – non par des bombes, mais par un entrisme sournois dans 130 à 140 mosquées, des écoles comme Averroès (Lille) ou Al Kindi (Lyon), et 280 associations dopées aux fonds qataris. Leur promesse : justice et dignité pour des prolétaires musulmans écrasés. Mais derrière ce vernis religieux, la charia est l’outil d’un patriarcat tribal, une illusion pour des ouvriers humiliés par le capitalisme et la perte de leur autorité masculine. Cette crise anthropologique, ignorée par les élites comme Retailleau, alimente à la fois l’islamisme et la criminalité des fils déracinés.
Le patriarcat, carburant de la charia
Le prolétaire musulman, souvent maghrébin ou sahélien, est broyé par deux forces. D’abord, le capitalisme : il trime dans le BTP (25 % d’immigrés, 8-10 €/h, Bouygues, Vinci) pour des clopinettes, logé dans des HLM corrects (60-70 m², 3-4 personnes, Seine-Saint-Denis), loin des squats infâmes des clandestins (10-15 personnes dans 30 m²). Mais la vraie blessure, c’est l’humiliation patriarcale. Dans une France laïque (loi 1905), ses filles refusent les mariages forcés, ses fils, plus à l’aise en français, gèrent les démarches CAF ou préfecture. Le père, autrefois chef incontesté, devient un vieillard dépendant, sa dignité en lambeaux. [Un père maghrébin, terrifié que sa fille échappe à un mariage arrangé, espionnait ses allées et venues au lycée, brisé par son impuissance et sa dépendance à son fils pour des formulaires].
Les FM exploitent cette douleur. Via des mosquées, des écoles (ex. : Institut de Château-Chinon, perquisitionné en 2024) et des associations (ex. : ex-CCIF, replié en Belgique), ils promettent de restaurer le patriarcat : hijab obligatoire, mariages arrangés, contrôle des femmes, et, pour une minorité extrême, excision (80 000 cas, surtout maliennes/sénégalaises). Leur chef, comme Mohsen Ngazou (Musulmans de France), joue les démocrates en public, vantant le voile comme « liberté », mais prêche la soumission en privé. Ce discours attire environ 100 000 fidèles (sur 6 millions de musulmans), séduits par l’illusion d’un retour à l’ordre patriarcal, et vise les municipales 2026 pour placer des candidats avec des « paquets de voix ».
Les fils du patriarcat brisé : le lumpen criminel
Les fils de ces ouvriers, dégoûtés par un père sans pouvoir, rejettent les mosquées et basculent dans la criminalité. Ce lumpen immigré domine les crimes graves : 900 homicides en 2023, dont 315 liés au narcotrafic (60 % gangs maghrébins, ex. : DZ Mafia à Marseille) ; 77 % des viols publics à Paris par des étrangers (2023) ; 48 % des interpellations à Paris et 75 % des mineurs au Parquet (origines étrangères). Le deal (5 000-10 000 €/mois) est plus tentant que les 8 €/h sous une voiture. Les « de souche » délinquent aussi (20 % des gangs à Marseille), mais le lumpen immigré, poussé par la précarité capitaliste et l’effondrement du patriarcat, est en première ligne.
Retailleau : un aveugle dans la tempête
Bruno Retailleau, ( dont on ne peut mettre en cause ni l 'honnêté ni la constante détermination), ministre de l’Intérieur, a publié le 19 mai 2025 le rapport Gouyette-Courtade, qui cartographie l’entrisme des FM. Il promet perquisitions, surveillances, et une loi contre l’« islamisme à bas bruit ». Mais il rate la cible. La charia n’est pas un complot de barbus : c’est le cri d’un patriarcat agonisant, attisé par le capitalisme qui broie les ouvriers. Retailleau ménage les patrons (MEDEF) et le Qatar (PSG, gaz), et sa posture sécuritaire vise surtout 2027. Il combat des ombres, pas la racine : l 'immigration !
Briser le patriarcat, abattre le capital
La charia est le pansement d’un patriarcat tribal pour des ouvriers aliénés. Le lumpen, fruit de ce naufrage, ensanglante les rues. Les élites aggravent tout : Macron tolère les sans-papiers pour le BTP, Mélenchon prêche pour davantage d'immigration et flatte des voyous comme Traoré (égérie du lumpen en Louboutin à 3000€ la paire, qui traita les gilets jaunes de fascistes), et la justice chouchoute les émeutes (1 000 condamnations, 2023) plus que les gilets jaunes (3 000, 2018-2019).
La solution, c’est la lutte ouvrière et la fin de l'immigration contre Macron Mélenchon et les FM !
- Grèves dans le BTP pour 15 €/h pour tous (ex. : CGT 2024).
- Ateliers pour libérer les femmes du voile et des mariages forcés (ex. : grève des nettoyeuses 93, +10 % salaire).
- Manifs unitaires ouvriers-gilets jaunes contre les patrons et les prêcheurs de charia.
Capital et patriarcat divisent les prolétaires. Leur unité les vengera