A l’Ouest rien de nouveau
par politzer
mercredi 28 mai 2025
diviser pour régner !
Le patronat immigrationniste : diviser pour régner
Depuis 1981, le patronat, avide de profits, a orchestré une immigration de masse porteuse d’une religion obscurantiste – l’islam rigoriste – et d’une politique communautaire impérialiste, pour contrer la baisse de la profitabilité et diviser les travailleurs européens, majoritairement athées. Le MEDEF et ses alliés ont sciemment importé cette main-d’œuvre pour briser l’unité des ouvriers dans les usines et les cités. Nous, communistes, avec Georges Marchais, avions dénoncé ce danger dès 1981 : une immigration incontrôlée, porteuse de valeurs incompatibles avec nos principes laïques et égalitaires, allait semer le chaos.
Lénine, dès le début du XXe siècle, avait prévenu : le nationalisme arabe et l’Ummah, en unifiant les masses sur des bases ethniques ou religieuses, sont des outils bourgeois qui détournent les prolétaires de la lutte des classes, comme il l’a analysé dans Le droit des nations à disposer d’elles-mêmes (1914) et les Thèses sur la question nationale et coloniale (1920). Ces idéologies, manipulées par les élites et les impérialistes, divisent les travailleurs au lieu de les unir contre le capital. On nous a traités de racistes – le PS et ses sbires en tête – dans une vague d’anticommunisme féroce, portée par tous les partis, de la droite à la fausse gauche, aveuglés par leur haine antisoviétique et leur soumission à l’impérialisme américain.
Les Frères musulmans : fer de lance d’une invasion culturelle
Les Frères musulmans (FM) incarnent cette offensive. Leurs réseaux – 130 à 140 mosquées, 280 associations, écoles comme Averroès à Lille – s’infiltrent en France, dopés par des fonds qataris, pour imposer la charia, un ordre patriarcal rétrograde. Leur discours démagogique promet justice et dignité, mais s’appuie sur l’Ummah pour fédérer une partie de la jeunesse immigrée manipulée et achetée, surtout en rupture scolaire et avec les valeurs républicaines.
Lénine dénonçait déjà le panislamisme comme un frein à la conscience de classe, une illusion religieuse qui maintient les masses dans l’obscurantisme au lieu de les rallier à la révolution prolétarienne. Cette incompatibilité culturelle se traduit par une explosion de la criminalité, majoritairement commise par le lumpen-prolétariat issu de cette immigration : 900 homicides en 2023, dont 315 liés au narcotrafic (60 % par des gangs maghrébins, ex. : DZ Mafia à Marseille) ; 77 % des viols publics à Paris par des étrangers (2023) ; 48 % des interpellations à Paris et 75 % des mineurs au Parquet (origines étrangères). Le lumpen préfère le deal (5 000-10 000 €/mois) à 8 €/h sous une voiture, aggravant un climat de violence qui préfigure un avenir encore plus explosif.
La manipulation de la bourgeoisie arabe
La bourgeoisie arabe, en alliance avec le patronat occidental, joue un rôle clé dans cette stratégie de division. Sous couvert de panarabisme et d’Ummah, elle manipule les masses immigrées pour servir ses intérêts économiques et impérialistes. Les élites du Golfe, comme le Qatar, financent les réseaux des FM (mosquées, associations) pour exporter leur vision rigoriste, tout en signant des contrats juteux avec l’Occident (ex. : PSG, gaz). Ces bourgeois arabes exploitent leurs propres prolétaires – souvent des ouvriers maghrébins ou sahéliens – en les poussant à migrer vers l’Europe, où ils deviennent une main-d’œuvre docile pour le patronat européen (8-10 €/h dans le BTP). En promouvant des idéologies comme l’Ummah, ils détournent les travailleurs immigrés de la lutte des classes, les enfermant dans un communautarisme qui les oppose aux ouvriers européens.
Lénine avait vu juste : dans L’impérialisme, stade suprême du capitalisme (1916), il expliquait que les bourgeoisies des nations opprimées s’allient aux impérialistes pour exploiter leurs propres peuples, tout en utilisant le nationalisme ou la religion pour briser l’unité prolétarienne. La bourgeoisie arabe, avec les FM comme bras armé, est complice de cette guerre contre les travailleurs, des deux côtés de la Méditerranée.
La complicité des partis bourgeois
Tous les partis français sont responsables. L’État feint de combattre les FM tout en ouvrant grand les vannes de l’immigration, servant le patronat qui exploite cette main-d’œuvre à bas coût (25 % d’immigrés dans le BTP). Cette politique est censée apaiser les électeurs tout en renforçant la division. Mélenchon, faux rebelle social-démocrate, pousse une partie des classes populaires au suicide culturel, flattant les communautaristes (ex. : soutien à des figures comme Traoré) pour capter leurs voix, tout en accompagnant la politique migratoire du patronat. Depuis 1981, la bourgeoisie – occidentale et arabe – mène une guerre totale contre la classe ouvrière française, divisée par cette immigration incompatible et manipulée par l’anticommunisme.
Reconstruire l’unité ouvrière
La solution est radicale : stopper l’immigration de masse, démanteler les réseaux des FM, et unir les travailleurs contre le patronat, qu’il soit européen ou arabe. Grèves massives pour 15 €/h pour tous, manifs unitaires ouvriers-gilets jaunes contre le MEDEF et les prêcheurs de charia, éducation laïque pour briser les illusions communautaires. Le lumpen, produit de cette immigration mal intégrée, doit être ramené dans le rang par une politique ferme et une réintégration ouvrière. Sans cela, l’avenir sera une guerre civile larvée. Le communisme, fidèle à Lénine et Marchais, est la seule voie pour sauver la classe ouvrière et la République, en rejetant les mirages de l’Ummah et du nationalisme qui divisent les prolétaires.