Face à face ?

par moderatus
samedi 2 décembre 2023

"JE CRAINS QUE DEMAIN ON NE VIVE FACE À FACE" : GÉRARD COLLOMB.

Les propos tenus par l’homme politique, lors de son départ fracassant du gouvernement en 2018, résonnent prophétiquement après l’attaque de Crépol par des délinquants issus de l’immigration et les incidents du week-end à Romans-sur-Isère.

Après la mort de l'ancien maire de Lyon, ce samedi 25 novembre, et dans un contexte de fortes tensions depuis le décès de Thomas lors d'un bal à Crépol, l'extrême droite s'empare de l'une des plus emblématiques déclarations de l'homme politique : "Aujourd'hui on vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face". On vient de passer un cap, de la résilience depuis des décennies à la riposte.

Personne ne peut souhaiter une guerre civile, mais alors comment l'éviter ?

Nombre de personnalités nous préviennent : nous allons dans le mur si en urgence des mesures ne sont pas prises.

On parle en France de face à face comme s'il y avait deux camps opposés, mais en réalité la France est partagée, divisée en 3 mouvements.

---Une minorité de Français musulmans issus de l'immigration qui sont sont attirés par un islamisme extrémiste qui ont la haine de la France, et qui pratiquent délinquance, violence et trafics en tous genres. Une immigration pléthorique qui fait que les immigrés récents trop nombreux ne peuvent être pris en charge et une grande partie verse dans la délinquance multiforme. Les MNA sont un danger permanent et une filière d’immigration expansive et délétère.

Dans l'entourage des tueurs de Crepol, la francophobie est quelque chose d'assumé et de revendiqué : "J'aime bien le pays moi, vive la CMU, la carte vitale, le dentiste gratuit mais j'aime pas les Français, les Français racistes".

---Une autre minorité de Français identifiée comme étant d'extrême droite ou identitaire, qui n'accepte plus la résilience la soumission à l'ensauvagement, la violence, et qui commence à manifester son intention de s'affronter. Là le clignotant guerre civile s'allume. Le pouvoir l’a bien compris en prenant à l’occasion d’une manifestation de 80 personnes des sanctions plus sévères et plus rapides qu’à la suite de récentes émeutes qui ont secoué le pays

---La troisième fraction est la plus importante, c'est la masse de la majorité silencieuse, qui subit mais ne réagit pas. La prudence, la peur, l'indifférence, la soumission, les paralysent, et ceci dans tous les quartiers.

La crainte qui grandit est que cette situation Orange mécanique ne conduise les deux entités agissantes à guerre civile ? De nombreux observateurs parlent de guerre civile en gestation ou à bas bruit et assurent que les événements actuels en sont les prémices.

Ce sont souvent les minorités actives qui écrivent l'histoire et non les majorités silencieuses. les majorités silencieuses regardent et subissent. 

Les raisons de cet état critique de notre pays sont variées et nombreuses, mais incombent principalement à la politique menée depuis des décennies par nos dirigeants.

—Raison essentielle, une politique migratoire absurde qui a fait de l'immigration une cause de malheurs et de situations ingérables, violentes et néfastes pour ceux qui arrivent et ceux qui reçoivent, alors qu'une immigration peut et doit être une chance pour ceux qui arrivent et un apport pour ceux qui reçoivent, comme cela l'a été autrefois.

—Ce sont aujourd'hui les migrants qui décident de qui vient en France, aidés en cela par une UE qui veut imposer sa tendance intégrationniste, et qui a dépouillé les nations de toute souveraineté pour régler ces problèmes vitaux. A ce sujet, il faut noter qu’un nombre croissant de pays ont choisi de prendre en mains la gestion de leurs flux migratoires, menaçant même de quitter l’UE.

—Puis des raisons internes, le déni récurrent des politiques et des médias refusant de dire les réalités de peur justement de rébellion de certains quartiers. Ils pensent qu'en cachant les réalités ils vont éviter toute conséquence violente, alors que c'est l'inverse. L'omerta, la dissimulation sont impossibles avec les réseaux sociaux. En voulant par exemple dissimuler les noms de certains délinquants ou agresseurs, il ne font qu'augmenter la colère de ceux qu'ils veulent gruger et généraliser le problème.

Que faire alors pour éviter le pire, tous les pays qui sont déjà passés par une guerre civile le savent, c’est une situation peu enviable, elle se termine souvent par des pertes humaines et matérielles considérables.

C'est simple à dire et difficile à faire, il faut changer tous les logiciels actuels qui ont conduit à une situation explosive et cela dans les mois qui viennent sinon il sera trop tard prédit Thibault de Montbrial.

Il faut surtout redonner la parole au peuple par des référendums sur les sujets essentiels, le pouvoir ne peut continuer à imposer une politique à laquelle dans presque tous les domaines, le peuple est opposé. Le torchon brûle,

Est-il midi moins cinq ou midi cinq ?

Est-il encore temps,ou trop tard. Il peut être encore temps si les mesures sont rapides et fortes.


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