Lady Di, Princesse Occidée

par lisca
mardi 18 octobre 2022

« Je savais que quelque chose allait me tomber dessus. (…) Je n'aurais jamais dû jouer avec le feu. Je m'y suis brûlé les ailes. (…) Je pataugeais dans la purée de pois, m'attendant à tout et n'importe quoi. Où la chose aurait-elle lieu, et quand : le mois prochain, l'année d'après ? J'ai toujours ce sentiment que je ne suis pas comme mes amis. Eux savent à quoi ils peuvent s'attendre.  »

 

C’est Diana Spencer, alias lady Di, alias « la princesse du peuple » qui cherche à s'expliquer en 1992 lors d'une interview filmée sur Channel 4 (à 1h.14mn.38s).

Elle parle un peu comme les confinés de 2020, les submergés de 2022. Qu’est-ce qui va encore nous tomber dessus ? Et qu’est-ce qui nous différencie tant des « amis » qui savent, eux ?

La reine Elizabeth du Commonwealth a sauté le pas, hop ! Les médias en font tout un pataquès parfois sinistre ‒ mais que se passe-t-il réellement pour que les proches lors de l’enterrement aient l’air si défaits ? Ils l’aimaient à ce point la grand-mère, la belle-mère ? Quel chant des abîmes ont-ils lu dans leur livre de cantiques ?

 

C’est le moment de se souvenir. De l’ancienne Europe. De la fin brutale de lady Di la princesse oubliée. Sa destinée ressemble à celle entrevue (programmée ?) pour nos pays du Soleil Couchant.

 

Comme le comprenait Bob Dylan, en chantre grinçant des trafiquants (businessmen) « aux yeux d’entrepôt et aux tambours arabes  » :

 

« À présent, dame des plaines aux yeux tristes, tu te retrouves avec ton voleur, qui décide de ta liberté conditionnelle. Avec ton médaillon sacré au bout des doigts, ton visage de sainte et ton âme de spectre. Lequel d’entre eux a pu croire qu’il pourrait un jour te détruire ? »

 

Subirons-nous le même sort ? Sous quel contrôle, quelle impulsion, quel prétendu gouvernement ?

Nous sommes ciblés, mais nous ne savons exactement ni qui nous cible ni qui parmi nous en réchappera. Les vaxx grouillent d’animalcules qui bougent et qui luisent, mais il n’y a pas que ces pauvres microbidules. Le corps humain a ses ressources, la pensée scientifique aussi, et, à deux, ils finissent par chasser l’intrus.

Qu’importe, la mafia inventera autre chose ! Inventer d’ailleurs n’est pas le terme exact. Ces gens se répètent. Pour conserver nos néo-palaces, dit le roi du poulet.

 

Qui tombera le premier ? Eux ?

Après tout… à tout saigneur, tout l’honneur.

 

Loin là-haut (ou tout en bas) les sacrifiés méditent autour de la lady. La réduction de moitié de la population, c’est bien possible pour 2030 ; il y a tant de façons d’y parvenir. Mais pourquoi pas un resserrement de la peau de chagrin ? Celle reptilienne de nos tourmenteurs que jamais rien ne satisfait, aux quels on n’arracherait pas un sourire dans ces sphères paradisiaques dont ils nous privent, où ils se ratatinent de l’intérieur ? Et qui veulent pour le monde entier leur propre misère animique.

 

Diana a rendu l’âme dans la nuit du 30 au 31 août 1997. C’était officiellement un accident. Accident, oxydant, on se méfie automatiquement des ouatcheurs de conspirassises, accros à l’angliche en vrais parigols ; tandis que les gribouilles de grimoires nous font part de leurs zinformations.

 

Reprenons l’affaire et son historique, a dit l’inspecteur virtuel Raoul Tabille, toujours sujet au doute, et raisonnablement ému par la sveltesse et la fragilité de la disparue. Les vieux tambours n’y verront pas malice, ils tiennent le haut du pavé.

Par ici ma loupe et ma gabardine. Par ici les documents.

 

La question était de savoir si Diana avait été ou non très aidée à passer dans l’autre monde.

L’inspecteur Raoul Tabille a conclu qu’elle y avait été puissamment poussée par divers acteurs de différents pays.

 

Il a fait tout un travail de recherche, avec de nombreux liens. Cette recherche n’a été appréciée par aucun éditeur. Raison d’État sans doute. Quel État ? Ah ah. C’est un peu comme l’affaire du 11 septembre : trilatérale et plurinationale, pas mal tabou, avec assez peu de vieux gus aux commandes, au bout du compte ; et pas toujours ceux qu’on croit.

 

Un article de Wikistrike, publié par wikistrike.com le 21 Janvier 2014 émet l'hypothèse des services secrets anglais à l'origine de la mort de lady Diana, par téléguidage de voiture.

Et selon le Daily Star du 30 juillet 2017, une lettre écrite en 2011 accuse le SAS d'avoir été impliqué dans la mort de Diana.

Nous nous arrêterons là, il faut lire les livres traitant du sujet, recensés dans l’enquête dédaignée de l’inspecteur Raoul Tabille. Diana appartient à l'histoire d'Angleterre, au même titre que lady Jane Grey ou l'ingénue Catherine Howard, épouse-éclair de Henri VIII ; un peu aussi, toutes proportions gardées, comme Alexandra, tsarine et quelque peu cousine par alliance.

Kate Middleton, bru posthume de Diana qui la remplaçait jusqu’en 2020 dans les médias, a eu très peur, paraît-il, de connaître un sort similaire. Sa belle-sœur Meghan n’a peut-être été embauchée que pour servir de mouchoir en papier elle aussi.

 

La monarchie anglaise, la république française et d’autres pays encore... Main dans la pogne déjà en 1997 ? En 2020 l’ennemi héréditaire c’est, très ouvertement, le peuple, de préférence européen, mais aussi, pour sa classe « dirigeante », japonais, australien, argentin, néo-zélandais, et plus. Nous sommes, tous ces gens-là, un peu cousins de lady Di, par le sang bleui, la veine et la déveine confiés aux bons soins de gouvernements sanitaires.

 

Le fabuleux destin de Diana préfigure notre histoire actuelle de dé-civilisation. Téléguidage du véhicule, crash, photos, samu, hosto..., médias chasseurs ou brouilleurs..., piquouze fatale ? Avortement par choc automobile ?… L’époque n’a pas été tant que ça pro-femme après tout.

Toute l’ancienne Europe jusqu’à l’Oural, parfois aussi bien traitée qu’une petite dame en EHPAD-2020 ou une fillette dans une cave, te rend hommage juste avant la fête des morts, Diana Spencer.

 

Repose en Paix dame Europe Continentale, repose en paix lady Royaume-Uni, repose en paix … princesse France ? Vous aurez votre flamme-souvenir à côté du zouave du pont de l’Alma, s’il n’a pas été explosé d’ici là.

Mais du calme. Les dés ne sont pas encore jetés. Il y a de la marge entre la coupe de fiel et nos lèvres gercées.

 

Notons que le roi Charles 3, ex-mari de feue la princesse, n’a aucun pouvoir identifiable actuellement, mis à part celui de la figuration. Sa Camilla, dite « reine consort » est vêtue depuis l’enterrement d’Elizabeth II comme une veuve victorienne sans falbalas, et ne rigole pas plus que si elle faisait le deuil de bien autre chose que de sa belle-doche (ô saisons, ô châteaux… ?).

 

Pourquoi la famille royale n’est-elle apparemment présente qu’au château de Windsor et à Balmoral, jamais à Buckingham Palace, siège officiel du pouvoir royal ?

Pourquoi Harry qui s’occupait d’œuvres en Afrique et la duchesse de Wessex, très impliquée dans les associations s’occupant d’enfants du tiers-monde, dînent-ils ensemble, comme mis à l’écart du nouveau « monarque » ?

Pourquoi Harry n’est-il pas apprécié (dit la presse) par ses voisins californiens car ils l’invitent et il ne vient jamais (donc personne ne l’a vu près de chez lui) et songe-t-il à se faire la malle ? Pour aller où ? Que craint-il ?

 

Pourquoi, lors de l’enterrement officiel de la queen, sa progéniture a-t-elle dû défiler au pas de l’oie (ou presque) ? Tous en noir corbeau, comme des condamnés.

Pourquoi Meghan a-t-elle, vue de face sur les photos récentes, l’apparence d’une trentenaire ( elle a en fait 40 ans ) ? Existe-t-elle encore ? Elle est assez floue dans les vidéos. On l’aperçoit de dos seulement lors d’épisodes filmés de serrage de mains populacières. Pourquoi s’y risquerait-elle ? C’est dangereux et inédit, un tel contact physique.

 

Pourquoi presque tous les membres de la famille royale sont-ils apparentés au commerce, à la banque, aux médias, à l’aide humanitaire (époux, épouses, père ou mère roturiers ou anoblis sans combat ni risque ni sang versé) ? Et depuis longtemps.

 

C’est une royauté de locataires peut-être ; en tout cas pas de décideurs, depuis Edouard VIII qui refusa un destin de poupée chamarrée dans les nombreuses pognes avides des nouveaux possédants.

C’est pourquoi cette Elizabeth II, dont les médias célèbrent l’absolue passivité, a tout toléré dans l’omerta, n’a jamais défendu les intérêts du peuple anglais, l’a laissé sombrer, se dévoyer, se désindustrialiser et se faire traiter en troupeau de moutons Shetland, a laissé ses fillettes les plus démunies se faire déshonorer ou massacrer par des minables non insulaires.

 

Cette monarchie maintient une tradition cérémoniale et ses femmes y tiennent le rôle d’actrices de cinéma. Elles doivent aussi participer aux bonnes œuvres qu’on leur désigne, dévoyées souvent par de douteuses ONG. Celles-ci peuvent, quand Soros s’en mêle, être mêlées à des scandales récurrents de trafics en tout genre à prétexte humanitaire.

 

Il paraît que le moindre des discours du « roi »est écrit par le premier ministre. Et qui est ce premier ministre ? Liz Truss, dont une sorte de secte écrit aussi les discours depuis les tours de la City ou d’autres lieux sécurisés.

 

Ainsi donc Charles 3 relaie bien autre chose que ce qu’il pense ou croit. Que pense-t-il ? Rien de très drôle, quand on voit les têtes qu’il fait.

D’ailleurs on ne l’a pas vu au balcon, Charles. Il n’a pas discouru publiquement. On dirait qu’il est prisonnier.

De temps en temps, la presse communique qu’il est maniaque sur le cirage de ses lacets et la température exacte de son thé bergamote. De l’invention fort probable en vue de le décrédibiliser. Il y avait eu des précédents. Tout ce qui est ancien, européen, traditionnel, structurel, doit être ridicule et devenir insignifiant. C’est la règle depuis le début du 20e siècle au moins, progressivement et sournoisement appliquée.

Il s’agit alors d’écarter les gens capables, pour que des incapables à mains de taupes ou bouche d’or dur puissent prendre leur place sans que ça se voie trop.

 

C’est fait. Hello Liz Truss. Mais elle sera bientôt remplacée, elle aussi. Au secours Mandarine, euh non, Clémentine ! Les femmes ne sont pas des kleenex ! Encore moins des bonniches, des potiches et des godiches, hé.

Que les jolies dames du temps jadis et d’aujourd’hui aient disparu dans des crashes et des agonies, on leur trouvera une remplaçante de 75 balais pour la parer de diadèmes et dentelles, jusqu’à sa prochaine injection.

 

Prince, n’enquérez de semaine Où elles sont, ni de cet an,
Qu’à ce refrain ne vous ramène : Mais où sont les neiges d’antan !

 

Comment, vous n’êtes pas contentes de tant de pouvoir, femmes de 2022 ? Nous avons trois reines actuellement au Royaume-Uni : une qui fut et n’est plus mais qui reste omniprésente dans les médias et expos, une « consort » qui aurait dû être lady Diana mais ne l’est pas, et une qu’on dit « première ministre » : une influenceuse.

 

S’entendra-t-elle avec monsieur Macron, personnage romanesque, un rien burlesque mais otanesque supposé gouverner la France ? EM semble le souhaiter. Les Français y ont-ils intérêt ? En quoi ? Pour bénéficier de plus d’horribles éoliennes encore ? Allons, pas de mauvais esprit.

Il existe un projet commun d’EPR de nouvelle génération à Hinkley Point entre la France le R-U et la Chine. Ce serait bien s’il était fini ce projet, et en France, et pas trop chinois ni trop anglais, de préférence.

 

Liz Truss, c’est à dire divers intérêts pharmaceutiques, pétroliers proche-orientaux et autres, est bien sûr très pudique sur le sujet, si toutefois elle y comprend quelque chose. Elle trouve que le RU importe beaucoup trop de fromage.

Elle a raison, le fromage britannique doit revenir aux Britanniques et il faut très généralement encourager les productions et consommations locales de nourriture.

 

En Europe, mais ça la Truss ne le dit pas, nous avons les climats tempérés qu’il faut pour la prairie à bestiaux. Pourquoi vouloir changer ce « climat » si bénéfique, forcer la puissante nature ? Le vent décide où il va souffler. Bon vent, le vent ! Pas touche. Aucune danse de la pluie des Pawnies verts ne t’a jamais influencé.

 

Si j’habitais le Sahara ou le Pôle Nord, ah oui que je me plaindrais du climat, et je chercherais à importer des nuages ou du soleil ; je supplierais le projet Haarp ou le projet Sura de dévier la trajectoire de l’astre du jour. Ho, mon cher Haarp, ma chère Sura, bougez-moi un peu ce soleil vers le haut, non plus bas ! Clic éteins, clic rallume ! Visez la lune et ses nuées ! Qu’elles crèvent !

Les phoques ou les fennecs ne seraient pas d’accord. Il vaut mieux ne pas (trop) déranger les plans célestes.

Qui sait ce qui vous tombera dessus si vous vous prenez pour le Père Éternel ?

 

L’enterrement de la reine Elizabeth 2 ressemble, au vu des photos, à l’enterrement de la monarchie, dite anglaise mais plutôt hybride de fait, Commonwealth oblige et sang-mêlé aussi.

La Couronne possède ou possédait un grand nombre de propriétés terriennes sur de vastes territoires, anglais ou non. S’agirait-il d’ôter à cette Couronne (qui incluait en théorie le peuple anglais) ses prérogatives ? A qui appartient Buckingham Palace aujourd’hui ? Et Balmoral le beau château sévère en Écosse ? Aux monstres du Loch Ness ?

En fait, nous apprend Wikipedia :

« L'histoire des terres domaniales en Angleterre se résume, entre le règne de Guillaume le Conquérant et celui de la reine Anne, à une aliénation progressive.  » 

 

La famille royale n’est probablement qu’usufruitière de luxe, ce qui lui ôte toute indépendance. Elle est constamment sous menace d’expulsion. Le vrai propriétaire, c’est le fonds de ceci ou de cela.

Chacun s’accorde à prédire la prochaine « abdication » de ce roi du polo, entr’aperçu, en faveur d’une génération plus jeune, qui assurera au mieux le service communication, en obligée. Le fils de William aurait été choisi pour cela paraît-il. Gardera-t-il même un quelconque titre de noblesse ?

Souvenons-nous de « la veuve Capet ».

Dans quelles mains concrètes seront entre-temps complètement passées les propriétés et privilèges de la Couronne ? Le prochain gagnant de la dette ou le prochain vainqueur de la guerre souterraine et sous-marine.

 

Jimmy Savile l’arbitre partial des disputes conjugales entre Charles et Diana, amateur d’orphelins qui mourut sans soucis, fut un ami paraît-il de l’actuel « souverain » britannique , de même que Ghislaine Maxwell qui, dit-on, détestait Diana et son petit cœur vite offert. Diana, quant à elle, détestait Savile.

Mais on le sait, quand la finance s’en mêle, les puissants deviennent leurs otages. Il faut pouvoir leur tirer la sève à partir d’une grosse casserole qu’on vous attachera à la redingote si vous n’en voulez pas. Ce Savile a peut-être été imposé à la famille royale. Les accusations de satanisme et d’enlèvements qu’auraient pratiqué la reine et son consort ne reposent que sur des témoignages, des indices et des spéculations, ce qui n’est pas suffisant.

 

Diana était une vraie princesse du XXe siècle, dans la mesure où elle a incarné avant l’heure le peuple anglais et européen, en cochant toutes les cases de la dépossession de soi, de sa famille, du métissage et de la mésalliance, d’une certaine forme d’emprisonnement dans la tour de Londres, de la désillusion et de la confiance trahie.

Au moins aura-t-elle profité des derniers rayons : beaux paysages, belles croisières, belles robes et beaux logements.

Le « peuple » qui s’est reconnu en elle ne peut pas en dire autant.

 

Si encore il pouvait espérer grimper d’un étage, comme au temps du rêve américain.

En attendant de changer radicalement le paradigme, la finance prétend qu’il s’en aille corps et âme ce peuple, tout soucieux, tout abîmé, tout ruiné, plus vraiment désinvolte sauf avec sa santé.

Tout baigne, qu’il vous dit, j’ai trop peur du déluge ; alors j’ouvre mon parapluie.


Lire l'article complet, et les commentaires