Médecine Interne et Médecin Externe : Une redéfinition logique de leur domaine spécifique

par hugo BOTOPO
lundi 31 octobre 2022

La spécialiation médicale permet d'approfondir les connaissances dans chaque domaine pour être plus efficace. L'intégration holistique de tous les organes, de toutes les intéractions avec le monde externe et les réponses internes est spécifique de l'homme, avec son corps et son esprit. Aujourd'hui, avant d'espérer une rapide convergence dans le monde médical en crise, déconnecté de sa noble fonction de maintien en bonne santé de chaque être humain en prodiguant les soins adaptés au retour en bonne santé et en luttant contre les origines des dégradations de la bonne santé, il est nécessaire de remettre de la logique dans l'ordonnancement d'une politique de la bonne santé humaine.

Dans l'architecture, dans l'ingéniérie, le maître d'oeuvre (architecte, ingénieur chef de projet) se doit de bien connaître les diverses technologies nécessaires à la réalisation du projet, sans en être un grand spécialiste : il coordonne, donne des directives et construit un ensemble compatible et harmonieux le mieux adapté. C'est le grand chef, le vrai responsable, mieux rémunéré que les spéciaistes sous ses ordres : et, à de rares exceptions près, ç'est efficace et le projet est mené à son terme selon le cahier des charges du maître d'ouvrage.

Dans le monde médical, le médecin généraliste, (dit médecin référent) n'est pas l'architecte de la bonne santé de son patient/client : il ne peut qu'avouer -dans certains cas- son manque de compétence et d'envoyer le "maître d'ouvrage" (patient/client) vers des spécialistes, bons dans leur discipline mais déconnectés des diverses interactions activées dans le corps du patient. Parfois les résultats sont acceptables, parfois ils ne le sont pas : dans ce dernier cas aucune responsabilité ne peut être imputée au spécialiste qui "a oeuvré selon les connaissances de son art", contrairement à ce qui se passe lorsqu'un ouvrage d'art s'effondre ou lorsque des défauts de conception ou de réalisation d'une machine entraîne un sinistre ! Transformer les médecins généralistes actuels (les moins bien rémunérés) en de véritables architectes de la bonne santé n'est pas évident, même si ce serait souhaitable ! A voir les Agences de Santé (nationales ou régionales) démunies devant la puissance économique et financière des entreprises (industrielles, médiatiques, maffieuses) incitant à la (sur)consommation de produits générateurs de maladies chroniques telles que le diabète, l'obésité, l'hypercholestérolémie, sans oublier les effets délétères du tabac, de l'alcool, de diverses drogues et des pollutions de l'atmosphère et de l'eau ! 

 

Une nouvelle organisation pour la prise en charges des pathologies

La saturation des urgences déjà patente avant les vagues de la CoViD-19, oblige à revoir la prise en compte des pathologies en séparant celles qui relèvent d'une médecine "externe" de celles qui concernent la médecine interne !

 

La séparation actuelle manque de logique :

- la médecine externe est reléguée à la dermatologie (affections de la peau), la "bobologie" (microblessures cutanées, divers légers symptômes), la podologie, la kinésithérapie, la chirurgie esthéthique, l'ophtalmologie, les affections de l'oreille, (parfois l'ensemble ORL), les implantations de cheveux, la dentisterie, .... 

- la médecine interne concerne le fonctionnement de tous les organes (coeur, foie, reins, pancréas, estomac, tube digestif, système respiratoire avec les poumons et les voies respiratoires, le système sanguin, le système lymphatique, les os et les muscles.... et tout ou partie du système nerveux.

- nota : en ce qui concerne le cerveau, il y a un partage mal délimité entre les fonctions physiologiques et les fonctions "psys" (psychologie, psychiatrie, conscience et "intelligence").

 

LA NOUVELLE  SEPARATION

Elle se veut plus logique, en considérant le domaine des interactions entre le milieu extérieur avec le corps, d'une part, et le domaine des comportements malades, défectueux ou impactés des différents organes internes et les intéractions entre ces organes, d'autre part.

- le domaine nouveau de la médecine externe :

Ce domaine comprend toutes les actions du milieu extérieur sur le corps humain, sur sa frontière externe. Le milieu extérieur étant l'atmosphère avec ses différentes pollutions (gaz, particules, fumées (y compris du tabac), l'eau, les nourritures (y compris drogues, bactéries et virus). La frontière est naturellement la peau, mais aussi toutes les muqueuses (nasales, buccales, vaginales, respiratoires (larynx, trachée artère, bronches, cavités pulmonaires), digestives (bouche, oesophage, paroi stomacale, villosités de l'intestin grèle, du gros intestin ou côlon). Le système respiratoire et le système digestif sont en contact direct avec l'extérieur (atmosphère pour l'un) (boissons et aliments pour l'autre). Ce domaine comprend aussi les actions des pollutions visuelles (dont les flash) et sonores (cris, bruits excessif des explosions, des musiques, des paroles, des engins mécaniques...)

Si antérieurement le système digestif était considéré comme interne, depuis la découverte du microbiote et du virobiome associé, les bactéries et les virus colonisent massivement la peau, les mucosités et surtout le système digestif (de la cavité buccale jusqu'à l'anus). La population bactérienne (une centaine de milliers de milliards) est 5 à 10 fois plus nombreuse que le nombre de cellules du corps humain !!! Et les virus seraient aussi de 5 à 10 fois plus nombreux que les bactéries (hypothèse probable, non vérifiée). Tout ce monde a une vie propre, il interagit aussi bien entre ses individus microbiens qu'avec les éléments extérieurs (nourritures, invasions de microbes étrangers...) Ce microbiote, au sens large, est indispensable au fonctionnement du corps humain pour le protéger et pour rendre assimilable la nourriture. Les composantes du microbiote (virus et bactéries) sont présentes dans la biosphère depuis un bon milliard d'années et ont une vie propre, tandis que l'ensemble des cellules constitutives de l'homme n'a que plusieurs millions d'années (en y associant les hominidés). L'homme n'a pu se développer que "enrobé" dans une mégagalaxie de bactéries et de virus :

- Les bactéries organismes très développés (ADN, reproduction, production d'énergie, fabrication de diverses molécules (acides aminés, enzymes, protéines...), élimination des déchets...) servent à la dégradation des aliments principalement en phase anaérobie pour les rendre assimilables à l'organisme interne de l'homme, et au nettoyage de certains déchets (sur la peau, dans la bouche,...).

- Les virus organismes simplifiés (ADN ou ARN et membrane extérieure) associés aux bactéries, servent à éliminer les bactéries (les utiles en surnombre et les inutiles pathogènes) : leur action est dite "bactériophagique" et pour les bactéries pathogènes ils sont parfois appelés "phages". Toutefois, comme sur la peau, des bactéries pathogènes (s'ils sont en contact avec les chairs ou le sang), tels les staphylocoques dorés, peuvent séjourner librement sans entraîner des infections : par contre en cas d'une plaie, d'une blessure dans une zone de présence de ces bactéries, une infection se produit, et même devient une maladie nosocomiale si la bactérie pathogène est devenue résistante aux antibiotiques ! Actuellement il n'y a pas de données scientifiques sur la composition et les effets des virus du virobiome sur la peau, les muqueuses et dans le tube digestif.

 

Quelques exemples de maladies dues à des bactéries relevant du domaine externe :

- 1- Quelques sous-espèces des familles Escherichia Coli provoquent des gastro-entérites (tourista) chez des touristes dès leur entrée sur des territoires exotiques : cependant ils mangent comme les autochtones qui eux ne présentent aucun symptome. Après 2 à 3 jours les symptomes de diarrhée disparaissent, alors qu'il y a eu une infection alimentaire. L'explication tient à la différence des microbiotes : les autochtones sont pourvus d'un microbiote avec des virus destructeurs des EC pathogènes incriminés. Dans leurs selles il y a en particulier des traces de la EC contaminante et des phages associés. Ces derniers associés et présents lors de la contamination des nouveaux touristes vont se multiplier chez leur nouvel hôte en détruisant les bactéries pathogènes incriminées jusqu'à leur élimination quasi complète. Les autochtones, eux, disposent déjà d'un bon stock de phages adaptés à l'élimination des EC pathogènes considérés !

-2- Le choléra est une infection bactérienne par le vibrion cholérique. Il sévit de façon endémique en Inde et les Hindous (Indiens de religion hindouïste) se baignent dans le Gange, grand fleuve sacré, pour, en particuier se guérir ou se prémunir du choléra. Il y a un siècle, Félix d'Hérelle, de l'Institut Pasteur, découvreur des premiers bactériophages, s'est rendu aux Indes à Bénarès traversé par le Gange : il a procédé à des analyses d'eau du fleuve pour y trouver de très fortes quantités de vibrio cholérique (à des doses diminuant des berges vers le centre du fleuve) doses devant rendre malade les pélerins/baigneurs/curistes et cela ne se produisait pas. De plus, les pélerins faisaient provision de bouteilles d'eau du Gange, afin de pouvoir les utiliser comme traitement anti-choléra à leur retour et pendant quelques mois. Félix d'Hérelle a filtré à la bougie de porcelaine (qui arrête le bactéries) des prélèvements d'eau "polluée" par les bactéries. A son retour à L'Institut il a testé les filtrats sur des cultures de vibrio cholérique : les bactéries de la culture ont été rapidement détruites par ce filtrat bactériophagique ! Il faut noter qu'à l'époque les microscopes ne permettaient pas de voir les virus ! Ainsi , l'eau du fleuve sacré contenait aussi les bactériophages du choléra, et dans les bouteilles ils continuaient à se multiplier en détruisant les bactéries cholériques.

Les malades du choléra dans les cas habituels après de violentes diarrhées (qu'il faut compenser en buvant jusqu'à 10 litres d'eau par jour) guérissent après 6 à 10 jours : ce sont les phages qui étaient associés en nombre insuffisant au moment de la contamination, qui se sont massivement développés en détruisant les bactéries jusqu'à leur élimination définitive !

nota 1 : dans les deux cas ci-dessus l'administration d'antibiotiques adaptés pour détruire les bactéries pathogènes, peut contribuer à la guérison, mais avec l'énorme effet secondaire de détruire un grand nombre d'espèces de bactéries du microbiote intestinal : sa reconstruction naturelle peut être longue !

nota 2 : les virus et bactéries du microbiote intestinal sont dans l'obscurité permanente ; ils sont insensibles à la lumière du jour et ne sont pas pilotés par le cycle veille-sommeil (qui régit la "déconnection" des organes internes par le pilotage du cerveau, avec, de plus, un effet anesthésiant). Tout au plus, par la sécrétion de sucs digestifs pilotés par le nerf vague parasympathique, dit parfois second cerveau, il est possible que la digestion, qui se poursuit pendant la phase de sommeil, soit légèrement modifiée pendant le sommeil, mais cela reste à confirmer ou infirmer.

-3- Les maladies nosocomiales doivent être l'objet des soins spécifiques de la médecine externe  :

Les maladies nosocomiales principalement détectées dans les centres hospitaliers procédant à des actes chirurgicaux sont dues à des bactéries multi-résistantes aux antibiotiques, en particulier les SARM (Staphylococcus Aureus Résistant à la Méticilline), Pseudomonas Aeruginosa. Les traitements sont limités à des actes chirurgicaux (extraction de la zone infectée, drainage et parfois amputation du membre (partie infectée)) et à la recherche de nouveaux traitements (comme la phagothérapie en mode discret). En France, on dénombre 750 000 cas par an dont 9000 mortels et plus de 1.3 millions de décès dans le monde (soit plus que la somme des décès dus au paludisme et au VIH). C'est pourquoi il est impératif de libérer la phagothérapie de son carcan réglementaire imposé par des Agences de Santé plus soucieuses de réglementations que de la vie des gens.

La phagothérapie utilise des processus naturels existant depuis l'apparition des bactéries et des virus ; elle ne peut être brevetée et toute étude la concernant tombera dans le domaine public : donc il faut trouver des formules de financement adaptées auprès de la Sécurité Sociale qui finance la santé publique et ses intervenants médicaux. La liaison laboratoire biologique des hopitaux et cliniques, avec le médecin traitant de médecine externe doit être envisagée. La production de phages contre les maladies nosocomiales nécessite une culture préventive des quelques espèces de bactéries incriminées dans les maladies nosocomiales, culture suivie de l'ensemencement de phages "traitants" se nourrissant des bactéries à éliminer, puis comme le faisait Félix d'hérelle de procéder à la filtration à la bougie de porcelaine (avec quelques séquences de dilution/filtration) pour éliminer les bactéries. Qui plus est, il n'est pas nécessaie d'utiliser des cultures de bactéries multirésistantes, même si cela renforce la viabilité du procédé. Cette producion de phages peut se contentr des équipements classiques des laboratoires d'analyses biologiques, au sein del'établissement hospitalier ou en dehors ;

-4- L'élimination ds virus pathogènes par la Médecine Externe

Les virus pathogènes comme les bactéries proviennent de l'extérieur. Ils s'infiltrent principalement par les systèmes digestifs et respiratoires, et accessoirement par la peau et par des blessures. La bonne élimination des virus se fait par le système immunitaire de l'infecté. A défaut ou en complément leur élimination par des médicaments antivirus est relativement limitée : Alors la bonne solution est la mise au point de vaccins spécifiques et donc la vaccination. La recherche du ou des virus incriminés, et la vaccination sont du ressort des Médecins Externes. La mise au point de vaccins et leur fabrication est du ressort de laboratoires de recherche et d'industriels de la pharmacie biologique.

 

Le domaine nouveau et restreint de la médecine interne :

Actuellement c'est la grande médecine des spécialités tant les complexités de chaque organe (rein, foie, coeur, pancréas...), de chaque fonction (circulations sanguine et lymphatique, immunités naturelles et provoquées, circuits nerveux de détection et de pilotage, respiration, assimilation/digestion de la nourriture...) sont grandes. A cela s'ajoutent certaines pathologies de dérèglements de cellules provoquant des tumeurs et des cancers.

D'une façon synthéthique, la très grande majorité si ce n'est la totalité des pathologies de la médecine interne sont dues aux effets délétères en provenance de l'extérieur, soit en direct, soit au travers des systèmes digestifs et respiratoires : ces derniers sont du domaine de la médecine externe selon notre nouvelle définition. Cependant certaines attaques physiques et physiologiques à la santé en provenance de l'extérieur sont à traiter en association avec la médecine interne. 

La Medecine Interne est très efficace pour soigner les pathologies des organes par des médicaments, de la chirurgie, des greffes d'organes ou d'orthèses (pace maker, rotules, broches,), de thérapie génique, de renforcement de l'immunité... Elle est efficace et en constante amélioration ! Elle devient si complexe qu'elle doit développer des spécialités indispensables. 

Affections externes à traiter par la médecine interne :

- En dehors des égratignures et petites blessures, les graves blessures consécutives à des accidents sont du ressort de la chirurgie. Cependant l'assistance de la médecine externe, en particuier pour éviter les affections nosocomiales est indispensable.

- les piqûres des insectes injectant des virus (dengue, chikungunia...) des parasites (paludisme) ou des bactéries sont du ressort des deux médecines, selon les types d'infections. De même pour des morsures d'animaux transmettant des bactéries (et des virus ?).

- par contre les morsures de serpents injectant des venins virulents ou poisons violents, sont surtout  du ressort des urgences médicales tant les délais d'intervention sont limités. Il en est de même pour les tentatives d'empoisonnements par des produits chimiques.

- lorsque les bactéries introduites en externe (blessures) ne sont pas rapidement traitées, elles migrent en interne : leur traitement utilisera un mix de phages et d'antibiotiques. Les antibiotiques pouvant être préconisés et administrés par la médecine externe.

 

Utilité de la séparation des deux médecines interne et externe

Toutes les deux agissent pour maintenir le corps humain en bonne santé. Elles sont complémentaires face aux maladies. Elles se diférentient dans leur "état d'esprit" tout en collaborant si nécessaire.

- La démarche de la médecine externe se préoccupe des microbes, des parasites, des "pollutions" (atmosphère, eau, nourriture inadaptée, drogues ,médicaments ...) affectant la santé et agit de deux façons :

+ la première en sélectionnant dans la nature les virus ou phages destructeurs des bactéries pathogènes et de certains parasites. C'est un simple travail à faire en collaboration avec les biologistes et les centres de recherches existants et concernés  (Université Laval au Québec, Institut Pasteur, Institut Eliéva à Tbilissi et quelques laboraoires agissant discrètement (avec ou sans ATU des agences de santé)

+ la seconde en définissant les bonnes doses des diverses nourritures et leurs associations optimales, et naturellement en combattant auprès des consommateurs et des organismes de régulation et d'interdiction légales l'usage et la commercialisation de certains produits  (antibiotiques dans les élevages comme facteur de croissance, alcools et boissons alcoolisées, tabacs, drogues naturelles et de synthèse, pesticides, diverses pollutions de l'air et de l'eau,...). Et surtout en régulant et même en combattant les consommations excessives de sucres et glucides, de matières grasses, de sels, pour éviter les maladies chroniques (diabète, hypertension, hypercholestérol, obésité...) touchant une grande proportion des populations et très onéreuses en soins et allocations. Actuellement sur les réseaux informatiques circulent des offres de probiotiques (bactéries utiles du microbiote) alors que la composition normale (optimale ?) de ce microbiote est inconnue à la fois en nombre d'espèces de bactéries et en leurs répartitions en nombre ou en pourcentage : ce n'est que du charlatanisme commercial suscptible d'augmenter les déréglements de la composition du microbiote. Le lancement récent de la FrenchGut, opération (étalée sur 5 ans ?) visant à analyser les microbiotes de 100 000 Français, suite à des prélèvements "à la maison" de selles, couplées à un vaste questionnaire sur les conditions de vie physiologique de chaque volontaire, est une excellente initiative pour caractériser le microbiote intestinal. 

Cette médecine externe de la bonne santé doit être pratiquée par des biologistes/médecins généralistes capables de suivre les personnes en bonne santé, de les y maintenir par leurs conseils et de détecter/diagnostiquer les attaques extérieures (microbes, virus...) et lorsqu'il y a une attaque posssible sur un organe, d'accompagner son patient vers les spécialistes à même d'intervenir efficacement. Cette médecine externe de la bonne santé devrait à la fois revaloriser le médecin généraliste, améliorer la santé de la population et réduire la fréquentation des urgences. 

En outre, la Médecine Externe pourrait être pratiquée et autorisée par des assistants, des personnels spécialisés avec une durée de formation de 5 à 6 ans (2 ans supplémentaires pour la reconversion des infirmières). En effet le médecin généraliste classique, dans ses visites et consultations de routine se contente des prises de tension, du pouls, du taux d'oxygène, de la palpation des jambes et d'auscultation au stéthoscope des poumons et du coeur. Sous son contrôle, sa supervision les assistants de médecine externe et des biologistes des laboratoires pour caractériser les bactéries et choisir les bons phages pour les cultiver et les utiliser en bactériophagie.

- la démarche de la médecine interne sera simplifiée et renforcée dans son efficacité. De même que les anesthésistes assurent des fonctions indispensables en chirurgie, les médecins "internes" en prenant en charge les attaques extérieures virales et bactériennes, y compis les maladies nosocomiales, seront des collaborateurs efficaces et indispensables.


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