La Loi de la Nature a dit : « Non, aux hommes d’Europe, et a instruit Donald Trump de mettre fin à la guerre en Ukraine. » Donald le sait-il ?

par Hamed
vendredi 21 février 2025

 Daniel Pipes, journaliste et figure médiatique du courant néoconservateur américain, écrit dans un article « Israël, l'Amérique et les délires arabes » daté de mars 1991 : « Cette guerre qui est menée contre nous est une guerre sioniste", a déclaré Saddam Hussein à un journaliste de télévision à la fin de Janvier, « le sionisme est seulement ici en train de nous combattre à travers le sang américain. » Mais quand Bagdad veut peindre le président Bush comme « un archi-Satan  » à la Maison Blanche, Israël, alors se rapetisse en devenant la dupe du mal de l'Amérique. »

 Evidemment, seule une de ces caractérisations d'Israël peut être vraie : soit elle dirige la politique du Moyen-Orient de Washington, soit elle sert les intérêts impériaux américains - mais pas les deux. »

 Des contradictions similaires ont été avancées depuis le début de la crise du golfe Persique. Le 24 Juin 1990, un peu plus d'un mois avant l'invasion irakienne du Koweït, un journal de Bagdad s'est plaint que le gouvernement des États-Unis simplement faisait écho des décisions prises en Israël, qu'il manquait d'une « politique d'indépendance  » sur le conflit israélo-arabe. Puis, quatre jours plus tard, le 28 Juin, un autre quotidien de Bagdad a proposé exactement la thèse contraire, proclamant que les Etats-Unis depuis des décennies « ont utilisé l'entité sioniste comme instrument pour protéger ses intérêts dans la région. »

 Les Irakiens ne sont pas seuls à adopter ces positions contradictoires. Gamal Abdel Nasser, le leader égyptien charismatique, avait l'habitude de déclarer que, si ce n'était pas dû à l'aide britannique, l'idée d'un Etat sioniste serait restée un « fantasme fou.  » Dans le même temps, il souscrivait à une forme extrême de théorie du complot juif : « trois cents sionistes, dont chacun connaît tous les autres, gouvernent le sort du continent européen. » Son successeur, Anouar El-Sadate avait même pu décrire Israël comme le « gendarme  » de Washington dans le Moyen-Orient, tandis qu'à d'autres occasions il maintenait que la politique américaine met « les intérêts d'Israël avant ceux des Etats-Unis eux-mêmes. »
 En quoi c’est choquant ou faux de dire qu’Israël dirige la politique du Moyen-Orient de Washington, ou qu’elle sert les intérêts impériaux américains ? Pourquoi une seule prémisse est vraie, et non l’autre ? Dire qu’Israël dirige la politique moyen-orientale américaine pour dominer la région moyen-orientale, ou dire que les USA utilisent Israël, pour le même objectif, revient à poursuivre les mêmes buts, la même domination, tant pour Israël que pour Washington. « Les USA et Israël ont besoin de l’un et l’autre pour dominer, via le Moyen-Orient où sont entreposées les plus grandes réserves pétrolières, le monde ».

 Une vérité d’ailleurs perçue sur le terrain par la force même des événements qui ont fait l’Histoire du XXe et ce début du XXIe siècle. Sinon comment expliquer le soutien inconditionnel des États-Unis à Israël ? Comment expliquer cette baisse rapide et excessive du pétrole en moins de 6 mois ? Le baril de pétrole WTI de 105 dollars à moins de 50 dollars, parce que la Banque centrale américaine (FED) a décidé de fermer le robinet monétaire des pétrodollars (Quantitative easing) au premier semestre 2014.

 On peut comprendre ce que laisse entendre Daniel Pipes dans ce qu'il écrit « la perplexité arabe tenace - pourquoi le gouvernement américain semble privilégier 4 millions de juifs sur 150 millions d'Arabes. » 

 Comment est-ce possible, un Etat, à peine né en 1948 par la volonté des grandes puissances, a pu mettre en échec les forces armées de quatre pays arabes (Egypte, Irak, Liban, Transjordanie) ? Un prodige de David contre Goliath ? Bien plus, dans ce conflit, Israël a encore conquis 26% de territoires supplémentaires par rapport au plan de partage.

 Peut-on un seul instant penser « que si l’inverse s’est opéré », que ce sont les forces armées arabes coalisées qui ont défait les forces israéliennes, que serait-il advenu de ce nouvel Etat ? Les Palestiniens seraient-ils restés sur leur terre ? Et les communautés juives ? C’est une possibilité, vu le rapport des forces. Qu’en sera-t-il du plan de partage de la Palestine, voté par l’Assemblée générale de l’ONU, à New York, le 29 novembre 1947 ? Sera-t-il lettre morte, comme tant de résolutions qui n’ont pas été suivies d’effet ?

 Il est évident que tout a été prévu, tout a été planifié par les puissances occidentales, en particulier par les États-Unis. Même l’URSS a courtisé Israël dans la perspective d’avoir un pied dans cette région centrale du monde, qui se trouve au confluent de trois continents, l’Afrique, l’Asie et l’Europe. Deux cartes majeures y recèlent, le canal de Suez et les plus grands réservoirs de pétrole du monde.

 D’ailleurs, en 1956, la donne a changé, l'équilibre des forces de 1948 s'est transformé. Le deuxième conflit israélo-arabe se limite à la seule Egypte. Fait nouveau, ce n’est plus seulement Israël mais « une alliance tripartite entre deux puissances coloniales, la France et le Royaume-Uni et Israël pour agresser un seul pays arabe, l’Egypte ». La guerre qui éclata en 1956, suite à la nationalisation du canal de Suez par l’Egypte, fait ressortir une nouvelle fois la politique impérialiste sioniste, comparable à celle des puissances coloniales. Non seulement Israël a chassé plusieurs centaines de milliers de Palestiniens de leur patrie, et les a traités en réfugiés dans les autres pays, les a exproprié de leurs maisons, de leurs terres et de leurs biens personnels, et a construit des colonies sionistes à leur place, mais cette fois-ci, cherche à mettre la main sur le Canal de Suez. Un lieu géostratégique qui opère une jonction de la mer Méditerranée à l’Océan indien.

 Sauf que, cette fois-ci, les deux puissances coloniales et le nouveau Etat sioniste « n’ont pas tenu compte de l’Histoire ». L’Histoire ne donne pas à tous les coups la victoire sinon l’humanité serait sans sens. Pour la première fois, le rappel à l’ordre de l’Occident est intimé par l’Union soviétique. L’URSS menace la France, le Royaume-Uni et Israël d’une riposte nucléaire, en cas de poursuite de l’offensive. Que l’OTAN rappelle à l’URSS qu’il riposterait ne change rien à la crise. L’URSS s’est engagée publiquement et mondialement à une riposte militaire, ce qui ne pouvait que s'opérer au cas où les puissances-agresseurs n'obtempèrent pas. Une telle menace ne pouvait que faire sortir les États-Unis de leur passivité encline à l’agression tripartite, et l'amener à demander le retrait des forces occidentales. Bien plus, devant le danger soviétique, les États-Unis envoient leurs forces interférer dans le dispositif franco-britannique.

 En juin 1967, l'Histoire du monde ne surprend pas outre- mesure. « Fidèle à elle-même, elle ne fait que confirme ce qui était en puissance ». En effet, la guerre-éclair des Six Jours a cherché à laver l’affront arabe et de l’Union soviétique de ce qui s'était produit en novembre 1956. Il était évident que, pour mener une telle guerre-éclair contre l’Egypte, la Jordanie et la Syrie et qui s’est soldé par une victoire éclatante pour Israël, c'est que cette guerre a été minutieusement préparée dans les officines occidentales, notamment américaines.

Israël n'a été qu'un exécutant et probablement en jonction avec les forces US. Des avions de guerre occidentaux peuvent être facilement repeints. Qui va contrôler les aérodromes militaires d’Israël et des bases US au Moyen-Orient ? Une « guerre préventive sans déclaration de guerre », à la suite du blocus du détroit de Tiran aux navires israéliens, et qui a mis hors de combat l’aviation militaire égyptienne au sol, pratiquement en une journée. Ce qui ne pouvait qu’octroyer la victoire d’Israël sur les armées arabes, Mais cette guerre a été une leçon pour les pays arabes, qui ont démontré, six ans plus tard leur savoir-faire, en prenant par surprise Israël, le 5 octobre 1973, balayant la ligne de Bar-Lev jugée par les Israël et les États-Unis infranchissables.

La logique naturelle de la marche du monde est là ; Israël armé puissamment par les États-Unis et même les États-Unis sont de la partie si Israël est en difficulté, les États-Unis ne lésineront pas d’être de la partie, le faire sans le dire. Pourquoi ? Ce n’est pas qu’il aime Israël, non il aime l’argent massif que rapporte les pétrodollars, comme il aime et il protège les monarchies arabes dont en premier l’Arabie saoudite, depuis le Pacte du Quincy qui lie l’Arabie aux États-Unis. Et au fond, c’est tout à fait naturel que les États-Unis veulent maintenir leur emprise sur les plus grands gisements de pétrole de la planète.

Et ironie de l’histoire, ce pétrole, il se trouve dans le monde islamique qui n’est pas très en sainteté avec les Chrétiens depuis la huitaine recensée de croisades jusqu’à la mort du roi Saint Louis à Tunis, touché par une épidémie, on a parlé de typhus, dysenterie, de peste, etc. En vérité, on suppute seulement, la vérité on ne sait pas ; il faut rappeler que c’est la Mort noire qui a arrêté les croisades ; on estime que la pandémie qui a sévi en Europe entre 1347 et 1350 a tué 25 millions de personnes, soit un tiers de la population européenne de l'époque.

Force de dire qu’il y a une justice divine sur terre qui régit la marche de l’humanité ; lorsque le bol est plein, cette justice divine se met en marche ; et c’est là le comble de la bêtise humaine en particulier celle des grands États qui dominent comme le sont les États-Unis et les pays d’Europe et auxquels s’ajoute l’État hébreu et qui se disent démocratiques mais sèment partout la guerre pour rester dominant sur le monde

Ils ne comprennent pas s’ils sont laissés maîtres du monde, l’humanité n’aura pas de sens dans son existence, l’humanité évolue ; des empires ont existé puis ont disparu Et combien d’empires depuis des millénaires ; ils se comptent par dizaines. Et il faut le dire : « L’histoire est fidèle à elle-même ; elle dépasse l’humain ; elle est l’homogénéité même dans ce qui fait avancer l’humanité ; sauf que les humains ne le comprennent pas ou peu le comprenne. »

 Et par cette homogénéité, on comprend que rien n’est pérenne en Histoire, la tactique militaire s’apprend. Et surtout ce que l’Occident et Israël oublient, c’est que « La puissance engendre la puissance ; une défaite aujourd’hui prépare une victoire demain ». C’est une loi de la Nature, une loi de l’histoire. S’il y a un équilibre-déséquilibre ; de nouveau un autre équilibre apparaît dans les forces qui maintiennent les structures de l'humanité-monde.

Prenons la guerre en Ukraine. Trois années durant, l’Occident soutenait Kiev contre la Russie ; et l’Ukraine a tenu, son armée constamment approvisionné en armements par l’Occident ; l’Objectif des États-Unis et de l’Europe était de mettre tous les moyens matériels et humains pour ces derniers, des forces étrangères sous le vocable volontaire. La marche de l’humanité se déployait ainsi ; l’aspiration de l’Occident d’avoir l’Ukraine de son côté était naturelle ; l’Ukraine, par ses centrales nucléaires, par sa population importante par rapport aux autres pays européens de l’Est et une superficie importante aussi, et a une frontière terrestre et maritime de plus de 2000 kms, font d’elle un pays stratégique pour contrebalancer la Russie-Chine, qui sont alliés.  

Cela a marché pendant trois ans, mais cette aspiration de l’Occident d’avoir l’Ukraine de son côté, bien qu’elle était naturelle mais naturelle uniquement humainement. Puisque cette guerre a provoqué un blocage, une impasse ; oui, la question est très pertinente : « Où va-t-elle mener cette guerre qui n’en finit plus ? Trois ans, après quatre ans, cinq ans ?

Et l’Histoire fidèle à elle-même ne pouvait cette guerre devenue « contre-nature » par rapport à la loi de la Nature, la loi de l’histoire que ne comprennent pas les décideurs du monde ; précisément la loi de la Nature a tranché en faisant élire Donald Trump et en l’investissant de mettre fin à la guerre en Ukraine. Et c’est ce que fait Donald Trump. Le sait-il ? C’est-à-dire sait-il qu’il est l’instrument de la marche naturelle de l’histoire, non celle des hommes, mais celle qui en a la responsabilité de l’humanité tout entière. 

Il est possible que Donald Trump le sait ; il y a mille moyens pour la Nature de parler à l’être qui en a la charge, qui a été désigné ; les autres humains ne le voient qu’en président élu, ils ne peuvent le voir autrement ; en clair, ils penseront ce que leurs pensées leur suggéreront. Il en va autrement pour Donald Trump ; il peut savoir comme il ne peut pas savoir. Une chose est sûr, c’est qu’il a pris à contrepied les pays d’Europe qui étaient habitués à voir Joe Biden à leur côté. Le problème est que les pays d’Europe n’ont pas très bien compris le conflit russo-ukrainien ; ils ne le voient que sous l’angle de leurs intérêts immédiats, et qui repose essentiellement sur la stature qu’ils veulent se donner pour en imposer aux autres grands pays du reste du monde.

Mais, dans cette guerre russo-ukrainienne, la Russie, en tant que puissance nucléaire mondiale comme le sont les États-Unis, reste patiente, poursuit cette guerre, mais sait qu’un jour si le conflit après quatre, cinq ans, si le conflit armé ne cesse pas, elle sera obligée à utiliser de grands moyens ; moyens qui mettront immédiatement fin à la guerre. Utiliser les armes nucléaires ce n’est pas un problème pour la Russie, le problème c’est « Quand ? » qui pose prend problème pour la Russie et c’est la raison pour laquelle, la Russie patiente. Et bien que le facteur temps contre elle comme il joue aussi pour l’Ukraine et l’Occident.

Précisément, Donald Trump qui a eu affaire à la Corée du Nord, et il a pu négocier et fait tomber les hostilités qui allaient déboucher sur une guerre nucléaire a donc un plus que n’ont pas les pays d’Europe ni Joe Biden lorsqu’il était président. Et qui a mis fin au mandat de Joe Biden et à Kamala Harris face à Donald Trump lors des élections présidentielles ? Pour les deux, c’est la Loi de la Nature qui est presque incompréhensible pour la majorité des humains ; seule une infime minorité peut comprendre. C’est vrai que Donald Trump a été élu par le peuple américain ; mais qui a fait pencher la balance sur Donald Trump, n’est-ce pas le choix du peuple américain qui a « pensé » ce choix ; il aurait pu penser le contraire le peuple américain. Mais qui commande aux pensées des humains ? Les humains ne font que penser ; mais la Loi de la Nature peut faire penser le plus grand nombre pour le candidat déjà arrêté, déjà choisi.

Précisément, Donald Trump a été choisi par la Loi de la Nature parce qu’il y a réellement danger dans la demeure ? Et « danger dans la demeure, où ? » En Occident. Donald a compris et c’est sa pensée qui l’a averti, des explosions nucléaires vont venir, ce sera inévitable, et la Loi de la Nature ne veut pas de ce gâchis humain ; utiliser l’arme atomique, une arme naturelle par excellence et l’utiliser contre sa « Création ». Et on comprend qu’en un mois après son discours d’investiture le 24 janvier 2025, beaucoup d’événements se sont passés. Du premier appel téléphonique de Donald Trump invitant son homologue russe Vladimir Poutine de mettre fin à cette guerre absurde. 

Donald Trump sait que l’Europe comme l’OTAN relève de la puissance américaine. Si demain, la Russie recourt à la force nucléaire en Ukraine ou contre un pays de l’OTAN, l’Europe ne pourra rien faire ; la France et le Royaume-Uni sont certes des puissances nucléaires mais par rapport à l’arsenal nucléaire russe, elles sont extrêmement faibles ; et leurs territoires est si exigües, moins de 500 ou 600 000 km2 alors que la Russie pèse territorialement 17 millions de km2, et 5 ou 6000 ogives nucléaires contre 100 ou 200 ogives nucléaires respectivement pour la France et le Royaume-Uni.

Une guerre nucléaire, la France et le Royaume-Uni sont vite saturés ; un rapport déclassifié au Royaume-Uni fait état, en cas de guerre, dans les années 1980, en un jour ou quelques jours de 36 millions de morts. Soit plus de la moitié de la population de la Grande-Bretagne. Pourquoi ce gâchis bête il faudrait dire pour l’Ukraine. Donc, la France et le Royaume-Uni, en cas de guerre nucléaire, s’en remettront sur les États-Unis. Ce sera aux États-Unis qui décideront pour l’Europe, pour l’OTAN, et donc seuls les États-Unis qui sont à parité avec la Russie sur le nombre de vecteurs et d’ogives nucléaires et un territoire très vaste sur 9,8 km2.

Les États-Unis voudront-ils se suicider et riposter avec des armes nucléaires contre la Russie ? Et pour quel motif ? L’Ukraine touchée par des armes atomiques et même en supposant un pays d’OTAN touché aussi par des frappes nucléaires, les États-Unis vont-ils riposter par des armes nucléaires ? Chercheront-ils à provoquer des dizaines de millions d’Américains tués en un jour ou plusieurs jours et de même pour la population russe ? Et pourquoi ? La guerre nucléaire est en Ukraine ou contre un pays européen. Que gagneront les États-Unis à riposter par des armes nucléaires contre la Russie ? A détruire les États-Unis, avec des villes Washington, New York, Chicago, Los Angeles, et d’autres villes. Une semaine après, la première puissance mondiale est détruite avec 60 ou 80 millions de morts.

On comprend donc pourquoi la Loi de la Nature a dit : « Non, aux hommes d’Europe, et a instruit Donald Trump de mettre fin à la guerre. » Donald Trump le sait-il ? Peut-être. Comme on comprend que lorsque Donald Trump s’est mis en colère contre Zelensky et l’a qualifié de « dictateur pour ne pas avoir organisé d'élections présidentielles et qui veut continuer la guerre. Il l’a exhorté à « se dépêcher » sinon il n'aura plus de pays. » Force de dire que tout est homogène sur terre bien que cela ne paraît pas par les conflits et les guerres y compris dans l’existence des humains, des riches, des pauvres, des moins pauvres, des méchants, des envieux, des malades, des savants, des boxeurs, des footballers, des vedettes de cinéma, etc. L’humanité est un tout ; mais un point qui la décrit, elle progresse. Et de qui se passe aujourd’hui en Ukraine se passera en Palestine occupée. Israël apprendra à être normal et à moins parler d’antisémitisme et de terrorisme palestinien parce que c’est comme Zelensky, c’est Israël avec ses relais, en Occident, qui le créé, pour paraître aux yeux du monde qu’il est une victime alors que c’est lui qui créé des victimes par centaines de milliers. Et la Loi de la Nature est en train de dire à Israël : « C’est assez ! » Donald Trump et ses protégés israéliens le comprendront-ils ?

Donald Trump comme Israël le comprendra avec d’autres événements aussi éprouvants s’ils n’arrivent pas à le comprendre. Donald Trump éclairé sur l’Ukraine et agit en conséquence compte tenu du risque nucléaire, le sera éclairé s’ils poussent la Loi de la Nature à intimer l’Ordre à l’Iran de rejoindre le club des trois (Inde, Pakistan, Corée du Nord) qui ont procédé à des essais nucléaires. Ce ne sera pas l’Iran qui voudra devenir une puissance nucléaire de facto mais la Loi de la Nature qui l’aura décidé. L’Iran ne fera qu’exécuter sans en prendre conscience de l’ordre de juré de la Loi de la Nature.

Qui aura tranché, ce sera toujours « la Loi de Nature, la Loi de l’Histoire qui relève d’elle et fait avancer le monde humain. » Les puissances le comprendront-elles, il faut en douter parce que c’est ainsi la marche du monde. Un équilibre-déséquilibre ; de nouveau un autre équilibre qui vient supprimer le déséquilibre, et de nouvelles forces apparaissent et de nouvelles frictions et ce sont ces forces et frictions toujours nouvelles qui structurent tout en faisant avancer l'humanité-monde.

 

Medjdoub Hamed
Chercheur


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