CO2 et réchauffement climatique : pas si simple

par ALARIC
mercredi 27 mai 2009

Depuis quelques années, les médias et les politiques de tous bords n’ont de cesse de nous rabâcher que le réchauffement climatique terrestre actuel est imputable à notre société de consommation, boulimique d’énergie.
 
Mais qu’en est-il vraiment, qui croire ?
 
Oser réfuter la thèse du CO2 devient une hérésie et cela est en soi inquiétant.
 
A bien y regarder, toutes les soi-disant preuves fournie par les plus et les moins éminents scientifiques, du GIEC notamment, se débalonnent assez rapidement par la confrontation d’indices et d’observations simples, mais réel.
 
Tout d’abord, il suffit de faire une recherche sur la toile, pour constater que Mars se réchauffe elle aussi. Quid du genre humain sur cette planête ?
 
Ensuite quelques scientifiques, Russes notament comme Khabiboullo Abdoussamatov, estiment que le réchauffement global du climat de la Terre que l’on observe est dû non pas au rejet des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, mais à un niveau particulièrement élevé et à un essor prolongé, pendant pratiquement la totalité du siècle dernier, de l’intensité de l’énergie diffusée par le Soleil.
 
Et que l’augmentation de la concentration de gaz carbonique que l’on observe dans l’atmosphère est la conséquence, essentiellement, de l’élévation de la température de l’océan mondial, due à l’augmentation de l’intensité du rayonnement solaire.
 
Par conséquent, l’idée, largement répandue, du rôle déterminant de l’activité industrielle de l’homme dans le réchauffement climatique global, est due au fait que l’on a pris la conséquence pour la cause”, explique le chercheur.
 
Les russes ne sont pas les seules à réfuter une la thèse du GIEC, élevée au rang de dogme, il existe un site http://www.pensee-unique.fr/index.html entretenu par un ancien scientifique à la retraite, qui est très détaillé et très instructif, je vous conseille de vous y rendre car apparemment il commencerait à être mis sur liste noire par certains FAI.
 
Une dernière analyse, cette fois personnelle mais partagée par quasiment toutes mes connaissances, familles et amis, et qui se révèle subjective évidemment, mais que l’on constate depuis les années 1999-2000, un soleil plus chaud, qui se remarque surtout l’hiver, je vous laisse juge ...
 
Alors si ce n’est pas le CO2 qui nous réchauffe, et les politiques comme les scientifiques du GIEC doivent pertinemment le savoir, à qui profite le crime ?
 
Eh bien comme dans toute chose, il y a le bon et le mauvais coté.
 
Commençons par le bon.
 
Le fait d’entretenir une culpabilité et une peur au sein d’une population sur une écologie future potentiellement moribonde, peut permettre de développer des technologies écologiques et respectueuses de l’environnement qui n’auraient jamais vu le jour autrement.
 
Mais le revers de la médaille, permet aussi de taxer encore plus et d’imposer ses idées politiques, par des médias entièrement dévoués au pouvoir en place, au nom du sauvetage de l’humanité.
 
Mais aussi et surtout de manipuler la population mondiale par le biais de cette vieille connaissance qui côtoie l’homme depuis ses premiers pas : La peur
 
On peut se permettre aussi nous "riches" occidentaux de dicter la conduite des pays pauvres, il ne faudrait pas qu’ils nous rattrapent !
 
Je vous laisse réfléchir sur les bienfaits et les méfaits d’un dogme pareil...car il y aurait sans doute beaucoup à dire, mais une réflexion est plus salutaire qu’une litanies de preuves et de chiffres.
 
CO2 et crise économique, deux peurs pour l’uniformisation mondiale...
 
ALARIC
 
 
 

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