Quel bonheur de ne pas être de gauche
par Spartacus Lequidam
mardi 24 juin 2025
Qu’il est jouissif d’être un libertarien face aux névroses de la gauche
Quel délice de regarder les gens de gauche s’agiter, prisonniers de leurs tares idéologiques ! Ces âmes tourmentées rêvent d’arracher plus d’argent au riche, plus de droits que leur voisin, plus d’avantages sociaux que le péquin d’en face, plus d’idées pour dépenser l’argent des autres, plus de pouvoir pour contraindre et spolier. Leur obsession ? Mettre l’autre en dépendance, régenter sa vie, trouver normal que chacun vive aux crochets des autres. Toujours définis par l’autre, ils se pavanent avec une prétendue supériorité morale, bercés par l’hypocrisie, la division, les stéréotypes et une mentalité de victime. Ils étouffent les minorités sous leur pensée de groupe, tuant toute indépendance, tout dialogue, toute ambition.
Qu’il est bon, en revanche, de ne pas se définir par l’autre, de ne pas rêver de le plier par la force de l’État ! Qu’il est doux de vouloir sa liberté et celle d’autrui, de savourer son libre arbitre, de ne pas prétendre savoir ce qui est moral pour les autres sans l’appliquer à soi-même. Le socialisme, le communisme, les Verts : tous partagent cette culpabilisation maladive de l’autre, ce dogme rigide face au pragmatisme libéral.
Une pauvreté intellectuelle consternante
Leurs politiciens et programmes sont d’une vacuité affligeante. L’individu de gauche n’existe que par opposition : écoutez leurs leaders, tous "anti-libéraux" jusqu’à la nausée, avec leur pitoyable parti "anti-capitaliste" qui ne tient que par des ennemis réels ou inventés. L’argent ? Un tabou pour eux, sauf quand il s’agit de rafler une prime sans effort.
Le CO2, bouc émissaire de leur délire
Ils nous accusent de prendre la voiture, de consommer "mal", de respirer et rejeter du CO2 – ce gaz qu’ils diabolisent, oubliant qu’il est essentiel à la chlorophylle, le moteur de la vie sur Terre ! En 2025, les données satellitaires confirment : grâce aux émissions, surtout chinoises et indiennes, la couverture végétale a gagné 5 % depuis 2000, soit 1,5 fois l’Amazonie (NASA, 2024). Mais non, pour eux, nous sommes coupables. Chaque semaine, un nouveau péché écologique nous tombe dessus : consommer, respirer, vivre. Sauf eux, bien sûr, qui se drapent dans leur morale de pacotille, persuadés d’incarner le "bien" humaniste.
Le gauchiste adore contraindre
Mais toujours l’autre. Il rêve d’un monde meilleur avec des interdictions, des taxes, des obligations. La voiture ? Un crime. Les États-Unis ? Le diable incarné – même si le plus pauvre Américain vit mieux que 70 % de la planète. L’énarque de gauche vante notre "formidable système éducatif" tout en expédiant ses gosses étudier à Harvard, ce satanisme yankee. Quant aux autocrates – Staline, Castro, Chavez –, il les excuse : des "dégâts collatéraux" pour la révolution. Les 100 millions de morts ? Un détail. Le Venezuela, hier encensé dans L’Humanité ou Libération, est aujourd’hui un désastre économique, mais la faute est aux Américains, pas au socialisme.
La censure systémique, arme de l’intolérance
Cette intolérance de gauche s’exprime aussi par une censure systémique, incapable de répondre aux objections autrement que par des attaques personnelles. Au lieu d’arguments rationnels, ils déversent une avalanche de termes disqualifiacateurs pour cacher leur défaite sur le fond – « extrême droite », « raciste », « fasciste » – pour clore le débat. Ces étiquettes, brandies comme des armes, ne visent pas à réfuter mais à réduire au silence, à discréditer toute voix divergente. Cette stratégie, loin de promouvoir le dialogue, polarise et étouffe la liberté d’expression, remplaçant la raison par une moralisation agressive qui trahit leur faiblesse intellectuelle.
L’idolâtrie des tyrans et l’alliance toxique
Leur fascination pour les pires autocrates de l’Histoire révèle leur dérive morale. Staline, Pol Pot, Che Guevara, Maduro : ces figures, responsables de millions de morts ou de désastres économiques, sont glorifiées comme des héros de la "résistance". Hier, ils vantaient les purges staliniennes ou les camps khmers rouges ; aujourd’hui, ils excusent le chaos vénézuélien de Maduro, toujours sous le prétexte d’un "idéal révolutionnaire". Pire encore, certains s’allient désormais à des islamistes radicaux, injectant le poison de l’israélophobie et de l’antisémitisme dans leurs discours. Cette convergence malsaine, drapée dans une rhétorique de "justice", recycle les vieux tropes haineux contre les Juifs, masqués sous un vernis antisioniste, pour mieux alimenter leur croisade contre l’Occident.
Prince de l'amnésie et roi du déni
Le gauchiste est un champion de l’amnésie. Corée du Nord vs Corée du Sud, Allemagne de Est vs Ouest Allemagne, Venezuela vs Norvège : à chaque fois, le socialisme s’effondre, mais "ce n’était pas le bon". En 2024, le Venezuela s’enfonce dans la pénurie, et pourtant, ils persistent, rêvant d’un "vrai socialisme" celui c'est le bon, celui du 21eme siècle. Leur solution ? Plus de contraintes, plus de coercition, toujours pour le "bien commun" – c’est-à-dire pour l’autre, jamais pour eux. Eux, les bobos aux privilèges bétonnés et passagers clandestins de l'état, veulent partager… les richesses des autres.
Libéralisme vs égalitarisme délirant
Pour le libéral, l’égalité, c’est le même traitement pour tous, comme la loi de la gravité : droits et devoirs identiques, résultats propres à chacun. Pour le socialiste, c’est l’égalitarisme forcené : traiter différemment pour égaliser les résultats, au prix de la spoliation légale. Leurs lois, bourrées d’exceptions clientélistes, nourrissent une bureaucratie tentaculaire. L’entrepreneur, libre de son destin, les horrifie ; ils préfèrent le fonctionnaire corseté, dépense inutile se prenant pour un créateur de richesse.
Mon libre arbitre, leur cauchemar
Le gauchiste veut modeler l’homme par la force, anéantir les différences, instaurer une dictature déguisée en égalité. Merci, mais je refuse. Ma solidarité est volontaire, pas imposée par leurs lois. Ma morale est libre, pas un mimétisme moutonnier. Ils peuvent restreindre ma liberté, ils n’auront jamais mon libre arbitre, forgé par mes efforts. Leur zoo de contraintes ? Je préfère la jungle de la liberté.
Alors non, je ne serai jamais de gauche. Leur monde est une illusion utopique qui les a transformé en secte d’hypocrisie ; le mien, une quête de sens.
Méfiez-vous des gens de gauche qui vous veulent du bien, ils préparent souvent votre malheur.et sont les artisans de vos pires ennuis "pour votre bien".