De l’individualisme à la négation de la lutte des classes

par Jules Seyes
lundi 28 avril 2025

Bonnes feuilles du du roman ADI-4 Les pêcheurs de Krill. La partie de réflexion sur l'individualisme et la contrainte sociale. En quoi la modernité change-t-elle la donne.

Un voyage de l'évolution du primate humain à la crise actuelle, vu par un homme qui juge depuis notre futur.

L’homme est-il fait pour vivre en groupe ? Nous avons pris l’habitude de répondre à cette question en termes politiques, et selon les époques, les différents partis et idéologies ont fourni des réponses tellement variées que, si une bonne réponse existait, elle eût sans doute été trouvée. En réalité, comme souvent, faute de bien poser la problématique, les débats s’enlisent dans l’idéologie.

Tentons de reprendre à la lumière des différents éléments : Tout d’abord, l’homme n’apparaît pas sur Terre, armé de pied en cap  ; il est le fruit d’une longue évolution et, même si cela nous dérange, le primate a encore son mot à dire dans sa formation. Ensuite, l’époque agraire imposa ses contraintes. Et si le rôle de la philosophie des Lumières fut de libérer l’individu des carcans de la société dans un lent mouvement d’émancipation qui s’étend de la fin du Moyen Âge à la seconde moitié du XXᵉ siècle, cela doit autant pour autant condamner l’ordre antérieur ?

Avait-il ses mobiles, sa grandeur ? Et pourquoi est-il devenu obsolète ?

 

 

Pendant longtemps, toute analyse sur le rôle de l’homme nia l’aspect animal en lui, vu comme dégradant pour l’œuvre de Dieu. Hélas, si cette vision divinisée est sûrement agréable pour notre égo, les poèmes d’Homère ou si nous nous réjouissons d’un Athéna sorti armé de pied en cap de la cuisse de Jupiter, ces visions ont toujours eu peu à voir avec l’analyse scientifique et seul le XXᵉ siècle commença à poser le débat en termes paléographiques.

L’analyse des caractéristiques physiques de l’hominidé humain et de son évolution poserait les bases du nouveau raisonnement : Les caractères de la spécialisationi,

notamment la vue binoculaire stéréoscopique, accordent une meilleure acuité pour séparer les éléments et percer les camouflages, mais elle se paie d’une réduction du champ de vision. Le primate s’expose à un prédateur venu de l’arrière et la vie en groupe permet de compenser ce désavantage. Elle offre aussi de nouvelles opportunités pour mieux gérer les sources de nourriture : Par exemple, la spécialisation entre cueilleurs et chasseurs.

Autre différence, l’humain et le chimpanzé sont des mammifères où le petit se développe dans le ventre de la mère. Elle investit d’ailleurs une très large part de ses capacités dans la reproduction et s’en trouve fragilisée. Il faut donc la protéger, mais, plus essentiel, ils appartiennent au groupe des rares animaux où la femelle est aidée pour s’occuper de son petit par une partie des autres membres du clan. L’humain naît dans un état de vulnérabilité totale. La bipédie, utile pour nous permettre de dominer notre environnement, se paie d’une complexité à l’accouchement, surtout en combinaison avec le cerveau développé caractéristique de notre espèce. De longues années de maturation seront nécessaires pour le rendre capable de survivre dans la natureii.

Finir cet humain, incapable de se nourrir, exige un investissement énergétique important et, là encore, la mère a un besoin impératif du support du groupe. La tribu apporte d’ailleurs une diversité de savoirs, de connaissances qui permettent au petit de trouver des modèles et de transmettre les modèles d’un savoir et d’une vision du monde partagée à la base de la culture. Enfin, la multiplicité des petits permet le jeu, instrument de socialisation supplémentaire inaccessible aux animaux isolés.

On le constate, la tribu, ou la vie communautaire, est inscrite au plus profond des lois de l’évolution de notre espèce. En ce sens, elle ne saurait être négociée, sauf pour des isolés pour un temps ou, au prix d’un renoncement à la reproduction. L’instinct de groupe, le besoin de société sont inscrits au cœur de l’homme et Margaret Mead fit remarquer à bon escient que le premier signe de civilisation était un os soigné, car cela signifiait que quelqu’un était demeuré auprès du blessé le temps qu’il récupère, alors que dans la nature, les animaux meurent.

 

Si le groupe est non négociable, sa taille l’est-elle ?

Les humains s’agrègent donc en groupes, mais ceux-ci ne sont pas condamnés à être figés. Ils évoluent par fusion, fissioniii où la taille du groupe évolue en fonction des ressources de l’environnementiv.

Sans surprise, la ressource alimentaire domine les choix, mais l’homme y ajoute un second élément : la régulation sociale.

La séparation des groupes permet de gérer les désaccords  ; à l’inverse, la parole permettra d’établir ou de maintenir la communication entre les groupes, prélude aux sociétés claniques. Déjà, l’homme est un animal politique, comme le concevait Aristotev.

En ce sens, cette structure de fusion-fission pose les termes du débat moderne : Si la nature contraint l’homme à vivre en groupe, il conserve la liberté de choisir son rattachement, voire d’errer un temps avant de trouver celui qui lui convient.

Autre avantage, l’évolution du groupe permet de gérer la nécessaire exogamie à l’époque où les tribus étaient trop petites pour assurer une variété génétique suffisante. Bien vite, les groupes humains tissent des liens profonds, des parentèles, et déjà pointe la notion d’ethnie, prologue de la nation et de l’État. Alors, de vastes territoires peuvent être occupés par des groupes humains unis par des similitudes culturelles profondes. Modes de vie, liens familiaux tissent alors des solidarités pas toujours sensibles pour l’observateur extérieur.

 

Le groupe Horizon, indépassable.

La civilisation agraire maintient ces liens, mais la sédentarisation impose sa loi. Les tribus cessent d’être mobiles et les groupes humains se rattachent désormais à un territoire dont la mise en valeur assure la subsistance de la communauté.

Sortir du groupe, partir, revient alors à renoncer à cet actif commun et à abandonner les autres. À l’inverse, à entrer les mains vides dans une autre communauté. Autrefois, le chasseur pouvait apporter un gibier, sa compétence. Dans la civilisation agraire, l’investissement marxiste, au sens d’un travail accumulé et immobilisé, est bien plus conséquent. Il existe des maisons, des champs, souvent des systèmes d’irrigation, dont la mise en place a exigé des efforts conséquents. Par exemple, ceux nécessaires pour défricher et arracher le territoire à la forêt en Europe occidentale.

De là se développent des pratiques d’entrées et sorties du groupe. Les logiques de dots, d’achats de vies traduisent cette subordination relative de l’individu à la communauté, mandataire de ce précieux actif. On remarquera d’ailleurs l’importance des lois et règles d’héritage à compter de cette époquevi.

La tribu disparaît d’ailleurs au profit du concept de village qui ne marque pas seulement la sédentarisation du groupe, mais la mise en place de services de première nécessité permettant une forme de vie communautairevii.

Le temple religieux, église, mosquée, vient naturellement à l’esprit, mais aussi certains commerces ou artisans : poterie, tanneur, dinanderie pour le travail des métaux essentiellement à froid pour réaliser des objets utilitaires, teinturerie et bien d’autres. Souvent aussi, le village se conçoit avec des installations défensives : palissade, castel… Toutes choses inaccessibles à un individu ou à une famille.

Le terroir, les exigences de la terre imposent leurs contraintes pour profiter des avantages de cette spécialisation du travail, mais l’individu doit se couler dans ce moule, ses règles et ses obligations. Il abdique donc sa liberté et une fois tout le territoire colonisé par les communautés paysannes, il ne reste aucune place pour les individus forcés d’accepter de rentrer dans le jeu.

En ce sens, le passage à l’ère agraire, considéré comme la naissance de la civilisation, marque un recul pour les individus : Plus d’échappatoire, un labeur harassant pour l’essentiel de la population, car la culture exige un travail bien plus intensif que la chasse (bien souvent, d’ailleurs, les nobles se la réserveront).

La ville naît de territoires assez riches pour dégager des excédents suffisants pour assurer l’entretien de la population urbaine, tributaire des zones agricoles avoisinantes pour sa subsistance. Les villes apparaissent dès la période néolithiqueviii

et permettent de concentrer les excédents de régions entières pour créer des centres marchands, des concentrations d’artisans spécialisés et des dirigeants. Nourrie par les régions avoisinantes, la ville jouit d’un statut à part, en raison de ses sources de revenus : Impôts, flux d’affaires des princes marchands. Sa finalité est la production de richesses et non la solidarité, comme souvent dans des communautés plus petites et exigeantes sur le plan social. Surtout, elle est trop grande pour enfermer les individus dans un carcan social, car il est possible de se dissimuler dans la masse.

On le constate lors des grandes urbanisations : par exemple, la chute de l’Empire romain est parfois attribuée à la perte de sens moral des élites romaines urbaniséesix. De même, la croissance numérique de l’Europe après la Renaissance et les grandes pestes mènera à une augmentation des populations urbaines. On peut corréler le phénomène avec la philosophie des Lumières, émancipation de la population de la morale classique. Ce phénomène se développera d’autant plus durant les siècles suivants que la richesse conférée par la modernité rendra ces modèles sociaux viables. Ainsi, au début du XXIᵉ siècle, des millions de foyers monoparentaux constitueront un élément de la norme dans les sociétés occidentalesx sans pour autant provoquer un effondrement de la société. Un siècle et demi plus tôt, les femmes hors couple subissaient un mépris social considérablexi.

On peut donc sans peine établir l’hypothèse que l’augmentation de la taille du groupe conduit à des changements de comportements. L’anonymat rendu possible par un grand groupe conduit à l’établissement de sous-groupes, à une socialisation choisie et à la préférence des avantages pour l’individu.

En ce sens, l’urbanisation porterait un changement de valeurs et la modernité rendit physiquement possible l’approvisionnement de ces immenses métropoles. Soit par l’augmentation des zones d’approvisionnements étendues à la terre entière au début du XXIᵉ siècle, mais surtout grâce à l’augmentation des rendements agricoles qui réduit le besoin de populations ruralesxii.

 

Un mouvement inéluctable ? Selon nombre d’écopoètes, seul un retour à la terre et de petites communautés pourraient corriger les déséquilibres du mode de vie moderne. Si l’argumentaire peut sembler attirant de prime abord, constatons qu’une large partie de la population est demeurée fidèle à la ville et à ses luxes. Bien souvent, le retour à la terre s’accompagne d’une peine physique pour réhabituer le corps à l’effort et, s’il peut être compensé par une libération psychique, ce ne fut pas toujours le cas.

Surtout, plus important au plan social, malgré toutes tentatives, il fut rare d’observer le retour à des communautés soudées sans imposer de force cette unité. La libération de la contrainte du travail de la terre fut pour une large partie de la population synonyme d’un abandon des solidarités villageoises.

Abandon voulu ou choisi ? Question intéressante, constatons qu’au XVIIIᵉ siècle en France et en Angleterre, briser les solidarités permettait de mettre la main sur les terres administrées en commun par le village. Il en alla de même dans les territoires coloniaux où nombre de communautés furent spoliées de leurs biens communs, car la propriété du village n’était pas reconnue. Chose étrange, l’URSS procéda de la même façon pour établir ses kolkhozes. Difficile en tout cas de séparer la cause et la conséquence, mais la dispersion du patrimoine du village fut concomitante à celle de nombreux liens locaux.

Beaucoup de ruraux venus en ville conservèrent encore pendant une certaine période une partie des liens du village, mais les générations suivantes les perdirent.

 

On le constate, la disparition des caractères contraints fit disparaître ces solidarités et la morale liée. Peut-on en déduire que celle-ci correspondait à une société odieuse et interpréter favorablement sa disparition au profit de la liberté pour les individus.

La philosophie des Lumières, la Déclaration des droits de l’homme et les textes postérieurs considèrent en effet que la volonté de l’individu devait primer sur celle du groupe tant qu’il ne causait pas de dommage aux autres citoyens.

Notons toutefois que si cette conclusion semble évidente, les mouvements fascistes tentèrent de mettre en place une autre vision du monde où l’individu cède le pas aux besoins du groupe. Les fascistes rassemblèrent un temps des centaines de millions d’individus qui se considéraient comme les ultimes défenseurs d’une société organisée.

Le communisme pratiqua finalement la même philosophie, avec un simple changement d’objet politique où la classe sociale remplaça race et nation. Beaucoup trouvèrent dans ces idéaux une cause digne de leurs sacrifices et ce dévouement ne saurait être nié. Pourtant, ces organisations furent aussi la couverture d’un égoïsme féroce et de pillage par des individus sans scrupules qui profitèrent du masque doctrinal pour s’enrichir démesurémentxiiixiv.

Reste au fond d’une partie de la population ce besoin d’une cause plus grande, transcendante, à laquelle se dévouer. L’effondrement du communisme fut l’occasion d’un triomphe de l’individualisme, avec d’autres conséquences…

Cela pourrait se traduire par le besoin d’une participation au groupe plus importante, ou peut-être moindre. Certains sont faits pour vivre en famille et y trouvent leur bonheur, d’autres s’investissent dans des causes plus larges. Ou peuvent y être contraints, car les facteurs socioéconomiques les empêchent de fonder une famille. Après la Seconde Guerre mondiale, la misère sociale fut identifiée comme l’une des causes ayant mené aux horreurs du nazisme. Toujours est-il qu’une société équilibrée doit offrir des débouchés à tous, quitte à créer des incitatifs discrets et peu contraignants pour corriger les macrodéséquilibres trop voyants.

 

 

Le passage du groupe à l’individu, l’exemple du crime suprême.

En moins d’un siècle, l’Occident effectua sa transition d’un modèle social fondé sur une morale communautaire empreinte de la religion chrétienne à une structure largement dominée par l’individualisme.

L’évolution sociale trouve un écho dans l’opinion publique. Au début du XIXᵉ siècle, le crime le plus condamné par l’opinion est le parricide, l’assassinat du parent. Il traduit la condamnation qui place son intérêt égoïste avant le respect dû aux anciens.

À la fin du XXᵉ siècle, qui en parle encore ? Le viol, rapport sexuel non consenti, l’a remplacé dans l’échelle de la réprobation. Il traduit la place accordée à l’individu victime dans son intimité.

De la même manière, le devoir conjugal sera vidé de toute obligation et la notion de viol conjugal finira par occuper les cours. La justice, autrefois élément pour contraindre à respecter les obligations dues au couple, se place désormais au milieu pour protéger l’individu.

Le droit criminel suit ainsi l’évolution de la société et les emphases mises sur tel ou tel type d’actes marquent symboliquement le rôle attribué au groupe comme à la personne. Les droits de l’homme prennent de l’importance, là où autrefois il s’agissait de protéger la société contre l’individu, désormais, il convient de protéger l’individu contre la société.

Certes, les grands totalitarismes ont montré la nécessité de telles barrières, même si elle demeure des tigres de papier reposant sur une limitation par l’État lui-même dans l’utilisation de ses forces répressives. Leur existence témoigne cependant du nouvel équilibre dans les structures sociales et économiques. Elles sont concomitantes du libéralisme économique où le rôle, l’engagement de l’individu doivent être reconnus pour l’inciter à s’investir au moment où le monde accumule le gigantesque capital nécessaire pour entrer dans la modernité.

 

 

Le rôle économique de l’individu.

Dans les sociétés traditionnelles, le travail manuel l’emporte par son importance. Peu d’outils, des années d’apprentissage pour finalement gagner une maigre pitance. Les textes religieux sont honnêtes : Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front, la terre est une vallée de larmes. L’homme maudit doit, par ses sacrifices, acquérir la faveur du paradis où il sera libéré des contraintes matérielles, ou, dans le catharisme ou l’hindouisme, par un détachement du monde, acquérir la possibilité d’arracher son âme à l’univers de la matière. En ce sens, les religions cautionnent simplement la faiblesse des rendements agricoles.

La modernité change cela. La machine travaille pour l’homme et les rendements horaires explosent. Inutile de punir, de réprimer, il devient possible de récompenser. Jusqu’à un certain point, Marx montrera que le système capitaliste conduit à la baisse des salaires pour augmenter le profit.

Seulement, Joseph Schumpeter mettra en évidence un second phénomène qui contrebat les effets du premier : L’entrepreneur qui réalise de nouvelles combinaisons de facteurs et permet ainsi une augmentation de la productivité. Dès lors, inutile de pressurer les salaires, il suffit d’augmenter le rendement pour diminuer la part relative de la rémunération du personnel dans les coûts de production.

L’auteur invente ainsi un monde gagnant-gagnant où tout le monde a un avantage, et bien sûr la théorie de l’entreprenariat sera reprise pour combattre les idées marxistes dérangeantes dans un monde de grandes fortunes privées transmises par l’héritage.

Seulement, cette théorie, si elle contient une certaine vérité, impose d’au moins nourrir le faux-semblant. L’entrepreneur réalise une disruption, la société doit lui accorder la liberté nécessaire pour le faire. D’où l’accent placé à la fin du XXᵉ siècle sur les droits fondamentaux des individus : droit de l’homme, liberté de conscience et d’expression. Les droits de l’homme sont promus comme fondement du développement économique et, dans une certaine mesure, il existe une réalité derrière.

Le long délai exigé pour passer à la fusion allait cependant en mettre les limites en exergue. Durant cette période, les entrepreneurs n’auront que peu de nouveaux moyens à combiner, donc les progrès diminuent. Le corollaire est de ramener l’analyse marxiste en avant avec ses baisses de salaires, ses reculs des droits sociaux et la violence sociale prévue par la théorie du rendement décroissant du capital. La lutte des classes revient sur le devant de la scène.

Sans surprise, les humains de ce temps auront l’impression de vivre dans un monde devenu fou, car la machine se fausse au moment où les formules magiques semblent se réaliser. Alors, l’individualisme exacerbé passera pour la solution, sans qu’il produise d’autre avantage économique que d’empêcher les luttes collectives. D’émancipateur, il devient surtout un outil de lutte contre la conscience de classe des salariés. Ainsi instrumentalisé, il livre les travailleurs et les citoyens isolés à la pression globale, et l’époque sera marquée par un appauvrissement des populations occidentales parallèle à d’immenses profits.

On comprend que les pouvoirs de notre époque ne soient pas été pressés de percer ce brouillard.

 

 

NB : Ce texte est extrait du roman suivant :
https://www.atramenta.net/lire/adi-4-les-pecheurs-de-krill/100180

i Primates — Wikipédia

ii Les bébés australopithèques avaient besoin de soins parentaux - Sciences et Avenir

iii What Influences the Size of Groups in Which Primates Choose to Live ? | Learn Science at Scitable

iv Société à dynamique de fission-fusion — Wikipédia

v Animal politique — Wikipédia

viPar exemple le code d’Hamourabi codifie l’héritage : Code de Hammurabi — Wikipédia

viiVillage — Wikipédia

viiiHistoire urbaine — Wikipédia

ix La chute de l’Empire romain : Quels coupables ? – Crescendo

x Les familles en 2020 : 25 % de familles monoparentales, 21 % de familles nombreuses - Insee Focus - 249

xi Louise lyrics by Gérard Berliner | Paroles-musique.com

xiiD’une France rurale à une France urbaine : les conséquences de l’exode rural | L'Observatoire des Territoires

xiiiCarinhall — Wikipédia

xivLes oligarques et le pouvoir : la redistribution des cartes | Cairn.info


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