Dernières nouvelles sur la présence étrangère

par jjwaDal
samedi 19 avril 2025

L'entreprise « Skywatcher » vient de terminer sa seconde saison d'étude des objets volants anormaux dans le ciel d'un désert .

Fondée il y a quelques mois par Jake Barber, un ancien militaire, ancien contractant pour l'armée américaine, pilote d'hélicoptère entre autres, cette entreprise fondée sur le mécénat vise à étudier scientifiquement les objets volants anormaux rapportés essentiellement sous forme de témoignages depuis les années 1940.

Le but n'est pas d'apporter la preuve de leur existence, qui est faite, y compris pour la Science au moins depuis les années 1950 (une étude d'Hermann Oberth en 1954 d'une cinquantaine d'enregistrements radar d'ovnis avait montré des vitesses entre Mach 10 et Mach 55, excluant l'origine humaine, une de Kevin Knuth il y a quelques années sur l'incident « Nimitz » impliquait que l'engin observé au radar devait disposer de la puissance de 1000 réacteurs nucléaires pour exécuter la manœuvre observée), mais bien de déterminer scientifiquement leur nature, leurs capacités réelles, et via un faisceau croisé d'observations avec des instruments calibrés de produire des études « peer-reviewed » pour interpeller la communauté scientifique et développer ce champ d'études.

L'étude doit notamment faire un recensement des types d'objets observés et essayer de les classer par catégorie.

Le fondateur de l'entreprise sait dans quoi il s'engage. Il a reconnu il y a quelques mois et témoigné sous serment auprès d'une commission d'étude des UAPs (nouveau nom, d'ailleurs aussi mal approprié que le précédent « ovnis »), qu'en qualité de contractant pour l'armée, une de ses spécialités était la récupération par hélicoptère d'objets souvent expérimentaux crashés lors de vols souvent des tests de nouveaux matériels et qu'en deux occasions on lui a demandé de récupérer deux objets qui ne pouvaient être par leur aspect et la procédure employée, d'origine humaine.

L'étude va mettre en pratique toutes les connaissances que nous avons sur la meilleure façon d'identifier un objet volant de taille modeste (moins de 10m), à distance (km voire dizaines de km) en le regardant sous tous ses aspects (sonore, visuel, radar, IR, cinétique, etc...).

Pour cela elle a choisi d'opérer dans un désert où l'atmosphère est sèche, ce qui réduit l'opacité de l'atmosphère avec la distance et de jour, car faire de l'imagerie de nuit sur un objet fortement lumineux interdit en pratique de bonnes prises de vues.

Faire de l'imagerie haute résolution sur un objet de quelques mètres à 10km par ex, exige des téléobjectifs qui eux mêmes nécessitent un support stable pour éviter le bougé qui dégraderait la résolution théorique de la caméra.

Qui dit grossissement dit aussi difficulté à suivre tout mouvement en particulier s'il est non linéaire, un problème potentiel qui demande de gros moyens pour être résolu.

Ces objets qui savent pour certains être invisibles au radar, qui peuvent produire des accélérations fulgurantes et sont souvent observés à distance sont en effet hors de portée des amateurs pour l'imagerie fine, ce qui est leur ambition à court terme.

 

Ils ont déjà un début de classement qui comporte 9 catégories, huit observées pendant la campagne et une (la classe IX, de forme ovoïde) ayant été récupéré antérieurement via un Bell 212 sous élingue. Curieusement aucune forme de soucoupe ou cigaroïde observée mais le bestiaire n'est probablement pas complet.

 

Les objets filmés sont encore étudiés sous la supervision scientifique de Gary Nolan, et les prises de vues obtenues n'ont été montrées que partiellement sous la forme de petites vidéos, probablement pas au grossissement optimal déjà obtenu, mais le but premier n'est pas de produire des films à sensation, mais bien de croiser les observations d'instruments multispectraux calibrés pour définir de façon définitive l'étrangeté de ces objets volants.

 

L'entreprise n'est pas sans risque, car par ex, lors d'une session où trois catégories différentes d'objets évoluaient dans le ciel (dont une « raie manta » et une « méduse » , classe 5 et 7 respectivement), l'hélicoptère envoyé à la rencontre de l'un d'entre eux a vu en approche ses commandes de vol complètement bloquées (la scène a été filmé), dans l'incapacité de bouger en direction de sa cible, un événement que le pilote confesse ne lui est jamais arrivée en 4000h de vol.

 

Ce n'est que le fer de lance d'un ensemble d'entreprises privées fondées par le mécénat pour prendre en charge un sujet, trainé dans la boue par une campagne massive de désinformation depuis les années 1950.

Le projet « Galileo », la SCU (Coalition des scientifiques pour l'étude des ovnis », la fondation « SOL », tous ont pris acte que le secret sur cette présence étrangère sera probablement maintenu encore longtemps et comme le ciel est à tout le monde, autant l'observer avec les moyens modernes disponibles.

 

 

De plus en plus de scientifiques sont intrigués par le sujet pour des raisons de curiosité intellectuelle. Nos observateurs et nos instruments semblent indiquer que ces objets se moquent des lois de la physique, telles que nous pensons les connaître, sans parler de toutes les problématiques annexes qu'une présence étrangère implique qui selon eux vont très au delà de la sociologie ou de la défense.

 

 

En pratique la Science nous dit que nous pourrions partager la Terre avec une espèce non indigène arrivée il y a des milliers sinon millions d'années et ayant choisi d'évoluer à l'écart de ce qui fut notre écoumène jusqu'au début du 19ième siècle, à savoir 20% de la surface terrestre. Un espèce s'installant dans les océans auraient pu esquiver sans peine l'espèce humaine, y compris en occupant un ciel où jusqu'à peu nous étions absents.

Une part du phénomène pourrait relever de la prise de conscience balbutiante que nous avons des colocataires. Mais la complexité du phénomène semble exclure que ce soit autre chose qu'une partie de la réponse aux observations.

 

Nous pourrions être dans la situation des fourmis qui pour des raisons évidentes ignorent la présence de notre civilisation, nous pourrions être dans une cour d'école sous la surveillance d'adultes, nous pourrions être les pensionnaires d'un zoo, que l'on visite pour les loisirs, qui sait ?

 

Vu le potentiel de pouvoir avoir accès à des informations cruciales sur le monde dans lequel nous vivons et ce que nous sommes en réalité, il paraît indispensable d'interroger ce phénomène et de le tirer au clair.

 

 

 

1/ Audition de 2023

 

2/ Audition de 2024

 

3/ Conférence de Kevin Knuth

 

4/Intervention de Christopher Mellon

 

5/ Témoignage de Jake Barber

 

6/ Deuxième campagne de « Skywatcher »

 

7/ Topo général en français n°1 sur la période 1897/1960

 


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