Le mythe du réchauffement climatique enfin prouvé !

par gruni
mardi 2 mai 2023

Enfin la vérité sur le mythe du changement climatique d'origine anthropique éclate au grand jour. Certes, année après année le thermomètre planétaire indique toujours des records de températures. Mais l'homme moderne, avec sa femme et ses gosses ne sont responsables de rien, puisque bien évidemment l'origine du réchauffement n'est rien d'autre que simplement naturel. Alors pourquoi s'inquiéter pour son mode de vie consumériste ! L'élévation de la température a été un bon prétexte pour ce repaire de conspirationnistes qu'est le Giec, qui n'a de cesse de nous faire croire que nous sommes responsables du réchauffement dans le but de nous taxer encore plus, pour quelques malheureux petits degrés de rien.

Heureusement, Bruno David, auteur du livre "Le jour où j’ai compris" m'a ouvert les yeux et je sais maintenant que les climato-sceptiques avaient raison de douter de la religion du dérèglement climatique. Du coup, l'auteur de ce texte s'est miraculeusement transformé en un farouche négationniste qui réfute toutes les fadaises des écologiques, ainsi que le pain quotidien du catastrophisme servi par des médias aux ordres du capitalisme vert et d'un Etat taxateur de nos pseudos excès en carbone. Cependant, face à la complexité du phénomène climatique en cours, personne ne peut prétendre avoir tout compris !

C'est l'heure du méa culpa de votre auteur de science-fiction préféré, mais également multi-récidiviste réchauffiste pendant de longues années où il a véhiculé avec confiance tous les poncifs carbocentristes. Il se repend d'ailleurs de son arrogance vis-à-vis des sages climato-sceptiques qui eux au moins possèdent des sources honnêtes et claires d'informations sur l'évolution du climat. Alors que, comme d'autres incultes, l'auteur a cru aveuglément "au rapport de synthèse du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) publié le 20 mars 2023, à l’issue d’une session d’approbation qui s’est tenue du 13 au 17 mars en Suisse avec les représentants des 195 pays membres du GIEC".

Pas besoin de preuves pour comprendre que la majorité des scientifiques réchauffistes sont des charlatans et que les innombrables études réalisées ne sont que de grossiers tissus de mensonges.

Tenez, même Météo France reconnaît que décennie après décennie depuis le début du 20e siècle : "les deux premières décennies, années 1900, puis années 1910 sont les deux plus froides, suivies par les années 1960 et 1970. Cela implique que le climat fluctue, donc il suffit d’attendre la prochaine oscillation à la baisse - La démonstration de vérité enfin ! -

Sauf que "un premier niveau de réchauffement intervient avec les années 80. À ce stade on pouvait encore parler de fluctuations naturelles, mais ensuite tout s’emballe et les décennies qui suivent sont non seulement plus chaudes, mais elles sont bien, bien plus chaudes et l’on bat record sur record été après été, hiver après hiver. Les biologistes rajoutent même que les espèces se déplacent, changent de comportement. Des oiseaux auparavant migrateurs ne migrent plus, les plantes fleurissent plus tôt, les vendanges sont beaucoup plus précoces, des espèces tropicales s’installent plus au Nord..." 

Allons donc, ou sont les preuves, rien n'est vérifiable ni vérifié. Il est pourtant tellement évident que la responsabilité des désastres écologiques n'a rien à voir avec le trop plein de CO2, mais trouve son origine dans la pollution industrielle qui décime les animaux, je ne vous parle même pas des tonnes de produits chimiques qui tuent la biodiversité. Le réchauffement climatique n'est pour rien non plus dans les mégafeux de forêts, tout ça est la faute des incendiaires qui ne sont peut-être pas tous des déséquilibrés. Ce n'est donc pas le CO2 produit par les profiteurs capitalistes qui est responsable du changement climatique, c'est la pollution pour leurs profits qui est la cause de la destruction du vivant sur la planète, puisque le CO2 n'est pas un polluant. C'est quand même simple à comprendre. Le citoyen ordinaire qui paie sa voiture à crédit grâce à l'argent prêté par les banques, ne devrait donc pas devoir changer ses bonnes habitudes consommatrices et ne pas être la victime de l'ignoble écologie punitive que des écologistes radicaux voudraient lui imposer. Oui, il faut sauver le soldat diesel du tout électrique !

Les climato-sceptiques à force de douter de tout, avaient tout compris bien avant tout le monde. Tenez, au sujet du CO2, ils savaient très bien "que quelques parties pour million de CO2 en plus ou en moins dans l’atmosphère ne changent pas grand-chose à sa composition". Et tant pis si des hommes de science ne sont pas de cet avis. Tout au plus 0,025 % ; une goutte d’eau ! Ce serait confondre la dose et l’effet. Seriez-vous partant pour avaler la même proportion (une vingtaine de grammes) d’amanite phalloïde, ou une petite capsule de cyanure ne pesant rien par rapport à la masse de votre corps ?"

Bof, vraiment du grand n'importe quoi cette métaphore avec un champignon mortel, du pur sophisme du niveau Giec !

Un second niveau de contestation consiste à dire que la Terre a traversé dans son histoire des périodes bien plus chaudes que celle que nous vivrons dans les décennies à venir. C’est rigoureusement exact.

La vérité oblige à dire que dans le passé déjà il faisait plus chaud qu'aujourd'hui. Les scientifiques peuvent le prouver et par la même occasion ils se tirent une balle dans le pied, car voilà bien la preuve que la planète a toujours été capricieuse. D'ailleurs, les climato-sceptiques ont un argument imparable, "il y a 1000 ans le Groënland était une terre verte". - Les escrocs du climat sont enfin démasqués ! -

Mais, la fausse science mainstream ne renonce jamais à son catéchisme et avance d'autres arguments pour nous faire prendre un pastis sans glaçon. Selon eux, "si l’on ne considère que les 500 millions d’années,, c’est-à-dire en remontant au début de l’ère primaire, seules trois périodes se signalent par d’importantes calottes de glace aux pôles."

"Le problème est que la phase fraîche que nous traversons a débuté il y a environ 30 millions d’années et qu’elle est plus intense depuis environ un million d’années. Au cours de tout ce temps, la biodiversité a évolué pour s’adapter à cette fraîcheur. Cela s’est fait progressivement, laissant le temps à la vie de suivre le mouvement. Aujourd’hui nous jouons avec le thermostat à une vitesse folle, folle pour la capacité de réaction du vivant, et sans doute même de nos sociétés. La véritable préoccupation est bien celle de la vitesse et pas celle de l’amplitude seule".

Selon les sachants, nous serions donc une civilisation en excès de vitesse permanent qui roule vers l'extinction des espèces. Encore du vent pour ces horribles éoliennes que de chez moi je vois tourner même les jours sans vent avec de l'énergie nucléaire. 

Pour finir par une note optimiste, j'ai un argument massue pour vous convaincre que le danger ne vient pas du CO2, qui contrairement à la pollution est indispensable à la végétation et à la vie sur Terre. Et puis, nous avons les puits de carbone (forêt, océan, etc.) qui capte le CO2 en excès. Les climato-sceptiques, comme je le suis devenu moi-même, sont aussi des puits de science, mais là encore il suffit de le dire et de choisir ce que l'on veut croire, c'est une preuve suffisante.

Un certain nombre de scientifiques prétendent que le réchauffement climatique ralentit, ce qui prouve au moins qu'il existe, même si d'après eux les activités humaines auraient une influence dérisoire sur le climat. Je vous dis ça, histoire de causer pour ne rien dire.

Ce texte très souvent parodique est largement inspiré par cet article.

 


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