« Je vous emmerde ! » Dixit, Sabrina Ouazani
par George L. ZETER
jeudi 6 février 2025
Voilà ce que nous lance cette « actrice », suite à l’énorme flop du film où elle joue le rôle de Athos, dans « Toutes pour une », une adaptation biscornue de l’œuvre de Dumas, qui hésite dans son style entre le western spaghetti et la pizza calzone.
Ayant déjà écrit à ce sujet sur le « film »,[i] j’y reviens, car franchement, je vais pousser un coup de gueule. Il est insupportable d’entendre ces petites personnes qui passent leur temps futile à nous cracher dessus et souvent en pleine g… Voilà comment cette sans cervelle fait la promo du film dans lequel elle se commet : « Moi, Sabrina Ouazani enfant d’émigrés d’origine algérienne, française que vous le vouliez ou non, banlieusarde de confession musulmane, ben j’interprète Athos d’Alexandre Dumas, dans toutes ?... Je vous emmerde ! » Suivi d’un petit rire bien niais, encouragée qu’elle est par une potiche assise près d’elle nommée Daphnée Patakia, Made in Belgium, supposée interpréter le pauvre Aramis en l’occurrence…
Sabrina, je vais te tutoyer,[ii] car, aux vues de tes remarques et déclarations, on ne peut que te morigéner comme une sale gamine pourrie-gâtée qui aurait besoin d’un peu d’apprentissage du respect des autres. Tout d’abord, toi qui te réclames de tes origines algériennes, je vais te donner quelques infos sur ton pays d’origine concernant les femmes : « En 2020, les femmes souffrent en Algérie de préjugés défavorables et croissants parmi les jeunes générations. » Ainsi, 88 % des Algériens (hommes), selon le PNUD, seraient « favorables à l’atteinte à l’intégrité physique des femmes » et 37,17 % contre leur accès à l’éducation. » Pour te donner un peu l’ambiance locale : « En mai 2021, des hommes cagoulés et armés de couteaux pénètrent les logements de fonctions d'une école à Bordj Badji Mokhtar, où résidaient neuf institutrices, dont une avec son bébé âgé de 18 mois. Pendant deux heures, elles ont été frappées, agressées aux couteaux et violées. Cet acte sauvage provoque une vague d'indignation en Algérie et rappelle à l'opinion publique qu'une femme vivant seule en Algérie n'est pas en sécurité ».[iii] Bref, ces exemples pour t’expliquer que ce pays épouvantablement raciste qu’est la France, où tu es née, t’a au moins évité certains désagréments : tes braves parents ont eu l’idée de traverser la méditerranée et t’offrir à ta fratrie et toi une vie, ou tu as pu aller à l’école et à l’université (gratuitement), et où tu as pu rencontrer le monde du cinéma par l’entregent du réalisateur Abdellatif Kechiche qui te fit tourner dans son merveilleux film, L'Esquive qui te mit le pied dans l’industrie et qui te fait superbement vivre depuis, grâce notamment à ces spectateurs que tu emmerdes… Dont moi, qui avais aimé ta prestation dans cette fiction, d’où mon courroux.
Ta filmographie est impressionnante, de 2004 à aujourd'hui, pas moins de 40 tournages de fiction dont des hits, plus de la TV, des courts métrages, du théâtre et même un César en 2005 du meilleur espoir féminin. Bravo ! Alors, que tu te sois fourvoyé dans cette panade de mousquetaires qui n'a ni queue ni tête, c'est de TA responsabilité, et au mieux, tu aurais dû la boucler, t’asseoir dessus et passer à autre chose, sachant que toute actrice se retrouve parfois dans des galères infréquentables. Au lieu de ça, tu joues les pétroleuses et nous craches dessus, nous les machos franchouillards sans cervelle qui oppriment les femmes, grossophobes et racistes et en plus bas du front, certainement en votant extrême droite anti-immigration et en t’en voulant à mort à cause de tes origines magrébines… Faire le lien entre le bide de ton film et le racisme, te rends-tu compte de ta connerie monumentale, Sabrina ?
NON ! Car le pire, c'est que tu t’enfonces dans ton argumentation victimaire, sans fondement, voila un de tes extraits : « évidemment on savait que bah, on prenait un classique français, qu’on est des femmes, qu’on est des enfants d’immigrés et donc qu’on n’attend pas ça de nous et en fait pourquoi eux et pourquoi pas nous ? » Là, bravo, tu coches toutes les cases de la bien-pensance victimo/wokiste qui a débusqué son ennemi, plutôt son hainemie. D’ailleurs, il se nomme « eux »… Ce sont tes mots ! Et tu con-tinue : « pourquoi je ressens cette même puissance quand je suis une femme ça m’a renvoyé finalement à mon insécurité à ma fébrilité, et réinterpréter ces personnages et les réfeminiser c’est se réapproprier certains codes et sorties de certaines injonctions pour nous en tant que femme, mais aussi sur la masculinité, la virilité toxique ce qu’on attend d’être un homme, d’être fort, de ne pas pleurer… Blablabla bla ! » Ton jargonnage est imbuvable et apparemment, tu t’aventures sur des terres incognita. Parle de ce que tu connais, serait mon conseil, et contente-toi de faire ton taf, sans devenir une donneuse de leçon qui emmerde son public.
Car voilà, tu l’as dit. Je vous emmerde, et ça, tu vas t’en souvenir, parce que, les bons cons qui payent pour te voir sur écran ou les planches ne sont pas prêts d’oublier, sachant qu’indirectement tu es rémunérée grassement par de l’argent venant de subventions DE NOTRE argent, nous, ces minables contribuables, afin que toi, tu ais la belle vie et puisses jouer à la « star » capricieuse et gâtée.
Chez les chrétiens, ne dit-on pas suite à une agression : « Tend l’autre joue ! »… Comme il n’y en a que deux, tu as dû frapper la troisième sans doute, celle de l’invisible, indicible rancune...
À ciao Bella, bonne continuation et moi aussi… Je te renvoie à ton mot !
Georges ZETER/février 2025
Infiniment merci à toi Demisotrik de Guyane, pour ton site sur lequel j’ai trouvé ces infos qui m’ont fait monter le piment au nez et permis d’écrire ce papier. Matez sa vidéo, elle vaut 100 !