Il ne s’agit aucunement de ce qui se définit comme « une manifestation » et qui par essence 1. est déclarée à la préfecture et par icelle autorisée ou pas ; 2. est annoncée et regroupe éventuellement divers corps professionnels et/ou politiques/sociologiques ; 3. se déroule à l’extérieur de toute réunion publique sans quoi elle constitue, encore une fois, un trouble à l’ordre public, mais d’une interruption d’un conseil municipal.
Le trouble à l’ordre public occasionné par les prières de rues a perturbé Mme Segurane. Pas celui des masques porcins.