@Reza Hiwa
Vous pourriez aussi bien écrire : « je prends mes désirs pour des réalités parce que je crois à la réalité de mes désirs ».
C’est ce qu’écrivaient sur les murs, à vingt ans, en 68, les crétins de ma génération avant de devenir avec empressement les bobos des « années fric » et du mitterrandisme ultra-libéral.
Vous pourrez faire croire ces choses-là à des petits enfants qui en sont encore à l’âge où on aime les contes de fées, mais pas à des vieux cons un peu moins cons à soixante ans qu’ils ne l’étaient à vingt.