A noter, concernant Beethoven, qu’il a pris beaucoup de libertés avec la sonate. C’est ainsi que si l’opus 27 (Clair de lune) est grosso modo fidèle à la structure codifiée, c’est un retour car il n’en va pas de même dans l’opus 26 : cette autre sonate pour piano s’en dégage en effet presque totalement.