Oui, je suis tout à fait d’accord avec vous Forest Ent sur l’équation économie = religion. J’ajouterai la doxa, les textes « sacrés », les idoles, l’excommunication, les anathèmes, les Panthéons, les temples avec leurs messes (bourses, bâtiments consacrés au dieu Capital), etc... et les prières incantatoires.
J’ajouterai, pour rebondir sur un des propos de l’article : l’écologique est-il commercialisable (ou peut-on faire du « business » avec ce nouveau concept ?). Oui, bien sûr. Nous entrons dans le paradigme de la « destruction créatrice », à savoir qu’on détruit d’un côté pour refaire de l’autre, créer des produits nouveaux et de nouveaux marchés... C’est le vieux combat du vice et de la vertu. L’écologique a déjà revêtu son aspect commercial, c’est évident et inévitable.