Bonjour Joseph,
J’ajouterais que, si on fait un petit bon en arrière, quand la société « libérale » n’étranglait pas toute créativité et n’avait pas encore détruit la culture populaire, la Vie était du côté du peuple ; en deux mots : on s’ennuyait ferme dans les milieux bourgeois, et on se marrait bien dans les milieux populaires.
C’était au temps où l’on pouvait être pauvres et heureux ; aujourd’hui, la misère est ce vide culturel laissé partout, qu’à mes yeux l’argent ne compense pas chez les riches.L’absence de culture chez les riches est littéralement ahurissante.
L’argent comme seul preuve de réussite a vidé notre société de tout contenu, et je crois vrai qu’une bonne partie des pauvres et des « déclassés » ont, eux aussi, admis qu’il n’y avait que le fric le fric le fric qui valait !