Hors d’ Europe, point de salut.
C’est une réalité avec laquelle les partisans du Frexit ne supportent pas de devoir faire.
La France réalise les 2/3 de son commerce extérieur avec le reste de l’ Union.
En sortir serait se mettre grandement en danger : qui peut croire un instant que 66 millions de grenouilles pourraient impressionner 500 millions de boeufs ?
Plutôt que de laisser voir ce petit handicap pour leurs théories, les partisans parent leurs paroles de bleu-blanc-rouge et font miroiter une pseudo-indépendance économique et monétaire qui n’a jamais existé avant dans les faits.
Il faut bien cela pour attirer le chaland.