« Issus pour la plupart de milieux favorisés, ils n’ont jamais eu à travailler pour vivre, ou financer leur études,... »
Je ne doute pas que cette affirmation repose sur quelque étude sociologique sérieuse.
On peut avoir un lien ?
Parce que moi, je croyais stupidement que, hormis pour les facs de médecine et de droit dans lesquelles atterrissent beaucoup de « fils de », pour la plupart, les bacheliers issus des « milieux favorisés » préféraient intégrer des instituts privés « de prestige » dans lesquels le montant exorbitant du droit d’entrée opère une sélection par le fric qui leur garantit un entre-soi et limite par voie de conséquences la concurrence.