Si un chien blessé à mort souffre, le laisseriez-vous souffrir sur le
bord du chemin à la seule justification qu’il est en vie ou
l’abatteriez-vous ?
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@samuel
Quand les pompiers interviennent après un accident, ils sont témoins de situations de détresse physique ou psychologique souvent horribles, mais il ne tiennent pas compte de la souffrance du blessé contre laquelle, immédiatement, ils ne peuvent pas grand chose. Ils se contentent, ces salauds, de transporter à toute vitesse la victime aux urgences de l’hôpital le plus proche dont il n’est pas du tout sûr qu’elle pourra sortir sans de graves séquelles dont elle souffrira peut-être jusqu’à la fin de ses jours.
Il serait évidemment tout à fait préférable que les pompiers soient munis d’un gros calibre du genre .357 Magnum pour achever sur place ceux qui souffrent trop et dont les gémissements offrent un spectacle qui, sur le plan de la dignité, laisse trop souvent à désirer.
Patience ! Ca viendra probablement : en matière de dignité, on n’arrête pas le progrès.