Il y avait un candidat loufoque aux élections, avant et après la guerre : Ferdinand Lop. A chaque élection, il faisait le plein lors de ses préaux d’école (meetings), dans le quartier latin plein d’étudiants (ce qui n’est plus le cas...). Il défendait (avec ses partisans, les lopistes, ou lopettes ! ) la prolongation du boulevard St Michel jusqu’à la mer. Les anti-lop, ou antilopes, défendaient sa prolongation jusqu’aux Pyrénées. Mes grands parents et mes parents m’ont raconté ces préaux en délire. L’histoire ne se répète pas de la même manière. Aujourd’hui, c’est triste...