@Daniel PIGNARD
Il y a incohérence du personnage mais il n’y a pas incohérence de l’homme. Il est comme çà. L’homme est comme on le voit : autoritaire, arrogant, et cynique.
Il devient cynique quand son envie n’est pas suivie par les citoyens ou quand ses décisions, prises en cachette en conseil de défense, ne font pas l’objet d’une application immédiate et sans réserves.
Il devient cynique quand les représentants de la démocratie au Parlement osent débattre.
Il devient cynique quand d’autres que lui s’autorisent à penser.
La liberté de pensée n’est soumise à aucun devoir préalable.