@charlyposte
Grosse consommation d’imojis, qui semblent montrer chez le patient, soit une incapacité à verbaliser autrement ses problèmes, tout en évoquant le risque d’autres addictions, liées à sa culture.
Je pencherai pour la consommation de vodka, en raison que le whisky serait pour lui le recours à une boisson qu’il taxerait d’« impérialiste ».
Une mutation de la plate forme d’influence vers une unité du front serait sans doute adapté à lui permettre d’exprimer plus facilement pour lui son agressivité, dans les bataillons wagner, qu’ils semblent tenir en haute estime.
Reste le risque de répression liée au retour du réel sur le terrain, et à un risque d’effondrement mental.