@ Maxim
Le Canada a été, sous Pierre-Elliot Trudeau, un des premiers pays à reconnaître Cuba et à transiger avec le gouvernement en place. Cela au grand déplaisir, il va sans dire, de notre voisin, les États-Unis. Comme ce fut le cas pour la Chine. Nous n’avons pas à l’égard de Cuba une vision manichéenne, sans toutefois perdre de vue notre sens critique.
Rendre compte n’est ni approuver ni désapprouver. Fidel Castro est maintenant un vieillard grabataire qui livre ses réflexions. Il importe que tout lecteur de ces réflexions garde un esprit critique à l’égard de l’auteur et de sa vie politique.
Ces réflexions ont été diffusées et traduites dans le monde entier. Alors pourquoi se refuser la curiosité de les lire ?
Pierre R.