• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


Hervé Hum Hervé Hum 31 mai 19:45

@olivier cabanel

Bon, je viens très rarement maintenant sur agoravox où je préfère pousser celui que j’ai choisi plutôt que de papillonner.

Bref, une fois notre petite discussion terminée, je ne posterais plus de commentaires pendant un petit moment.

Voyez, j’ai ridiculisé la phrase d’Arthur Keller en montrant qu’il disait une connerie.

idem pour le PIB, une notion qui n’a de sens qu’en système capitaliste actuel, mais perd tout sens dès lors où on change de système économique.

Techniquement, on peut résoudre les problèmes liés à l’activité humaine relativement facilement, car tous les outils sont déjà en place, et sa mise en oeuvre peut se faire en quelques mois à peine, juste le temps de la conception qui peut se faire très rapidement.

Le hic, c’est la conscience humaine totalement manipulée et dont vous en êtes un exemple « à l’insu de son plein gré ». Moi aussi d’ailleurs, mais pas à ce niveau là

Votre commentaire en est un exemple, car le problème n’est pas le niveau de taxation, c’est totalement absurde, mais son usage et donc, quels intérêts elles servent. Les gens oublient l’impôt privé car il est présenté comme un « bénéfice », un « dividende », un « intérêt », des mots positifs mais qui sont fondamentalement une forme d’impôt prélevé sur l’activité générale.

Le principe de la taxe carbone consiste à conserver le système de prédation actuel qui ne gène pas les capitalistes dans la mesure où ils conservent les moyens de prélever l’impôt, ils peuvent donc payer cette taxe d’autant plus facilement qu’ils peuvent prélever l’impôt via les dividendes et autres intérêts financiers et ainsi, justifier comme je vous l’ai dit le droit de polluer l’air des pauvres, tandis que les pauvres ont le devoir de ne pas polluer l’air des riches. Bien entendu, s’agissant globalement du même air, il s’agit donc d’une taxe de maintient de domination.

Alors, cette taxe trouve une forte résistance, aussi, ils appliquent la politique de la grenouille, il faut la chauffer doucement.

reste que si la population dans son ensemble réagit « mollement », c’est de mon point de vue en raison de la cohorte d’idiots utiles qui croyant dénoncer et combattre l’élite prédatrice, la soutiennent parce que agissant par réaction et non sur l’action fondé sur le seul raisonnement logique.

Car si votre raisonnement est contradictoire, cela crée une interférence qui s’annulent. Principe physique parfaitement connu et qu’on appelle au niveau humain « état de sidération ».

dans un commentaire précédent sous votre dernier article, je met en évidence le fait que le problème n’est pas l’outil tel que l’OMS et encore moins l’ONU en tant qu’organisation mondiale nécessaire pour gérer des problèmes mondiaux, mais de savoir qui en a le contrôle et pour quels intérêts. Particuliers ou général. Ainsi, accuser l’ONU ou les juges concernant ce qu’il se passe à Gaza est totalement absurde, puisque cela revient à dire que ce n’est pas à la police d’arrêter les délinquants, mais le juge en personne ! Voilà où on en est rendu avec cette cohorte d’idiots utiles.

Mais rejeter l’outil sous prétexte qu’il sert des intérêts particuliers, cela s’appelle jeter le bébé avec l’eau du bain. Or, de la part d’intellectuels supposés raisonner de manière logique, c’est impardonnable et fait d’eux les pires idiots utiles de ceux qu’ils prétendent combattre, puisque ils place les cogito en état de sidération, donc, qui paralyse la réflexion au lieu de la nourrir.

Etc...

Libre à vous de réfléchir à ce que je vous écris ou pas, mais vous ne pouvez pas en même temps militer pour une conscience mondiale sur les problèmes climatiques, de pollution ou d’injustice sociale et soutenir la souveraineté des nations qui n’a jamais été et ne sera jamais celle des végétariens (ceux qui aspirent à vivre du fruit de leur propre travail sans voler ou vivre au dépens des autres) mais uniquement de l’élite prédatrice qui domine la nation, alors qu’une gouvernance mondiale implique la soumission des natures prédatrices, qui ne peuvent pas êtres supprimées, mais remisent à leur place sociale, c’est à dire, ne pouvant plus exercer leur prédation sur la vie d’autrui mais uniquement dans leur capacité à servir la société.
etc..


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès