Quand je pense à l’irak, c’est d’abord le dégoût d’avoir laissé faire. Les avions qui avaient lâché leur cargaison de bombes "exterminatrices" sillonnaient le ciel de France au retour direction la Grande-bretagne. On a manisfesté pour éviter le carnage mais ce n’était pas suffisant.
Et c’est ensuite le sentiment de haine contre ces ordures qui ont vendu la guerre et contre ceux qui ont relayé cette propagande tels les soi-disants intellos français les salopards de goupil, finkelkraut et autres bushers.
Et aujourd’hui c’est une immense tristesse quand on songe à tous ces pauvres irakiens qui étaient parmi les plus "évolués" du monde arabe, et qui ont tous perdu, un ou plusieurs êtres chers (PLUS d’1 MILLION DE VICTIMES !!!).
Des larmes voilà tout ce que nous pouvons produire pour parler maintenant de l’Irak.
L’histoire et son "révisonnisme" passeront et demain nos enfants liront que les bombes us "intelligentes" ont fait tomber un tyran, en ne faisant que quelques victimes.