Je plussoie l’auteur quand il dit que la fidélité est une convention et rien d’autre qu’une convention.
Mais de là à parler de carcan moral, faut pas pousser, on doit pas vivre dans le même monde.
Par ailleurs, une révolution ne peux se faire que contre un ordre formellement établi. Le seul vestige qu’il reste de la fidélité dans la loi est qu’une infidélité est cause recevable de divorce pour cause de torts. Et je suis même pas sûr que ce soit le cas pour le PACS.
Ce serait assurément une bien petite révolution...