Tous les ressortissants de pays musulman reçoivent à leur naissance de leurs parents :
1) Une nationalité qu’ils n’ont pas le droit d’abandonner.
2) Une religion qu’ils n’ont pas le droit d’abjurer.
Il est à noter que ces deux interdictions découlent l’une de l’autre. C’est l’interdiction de l’abjuration de la religion musulmane qui entraine l’interdiction du changement de nationalité.
Ce sont donc tous des mineurs juridiques, ou des incapables juridiques, qui ne disposent pas de libertés que nous considérerions nous-mêmes comme fondamentales.
Mais c’est leur problème et non le notre.
Nous devons nous contenter de constater qu’ils sont mineurs ou incapables et qu’ils ne peuvent donc pas devenir citoyens français.
S’ils veulent devenir français, ils leur appartient de se retourner vers leurs autorités politiques d’origine et de leurs réclamer la fin de leur incapacité juridique.