Le pire n’est pas que le maître gave ses animaux domestiques et passifs ; pourri comme il l’est par le fric, il les pourrit puisqu’ils se laissent faire, prêts à venir manger dans sa main, ou pis encore. Les Chinois disent que le poisson pourrit par la tête...en 1789 nos ancêtres français l’avaient compris.